Combien de temps encore faudra-t-il lire ce mensonge, cette malhonnêteté, qui consiste à affirmer sans rougir que « les femmes suisses gagnent toujours en moyenne 18 % de moins que les hommes » ? (voir LT du 24 avril, p. 10).
Ce pourcentage ne concerne pas une inégalité de salaire, c’est-à-dire une violation du principe « à travail égal salaire égal », mais est la résultante de plusieurs variables (ex. : pourcentage du temps partiel, pourcentage des postes cadres ; pourcentage de la formation professionnelle longue, etc…). Cette méthode profondément malhonnête nuit aux femmes car la réalité des différences salariales purement sexistes donc inadmissibles (au pire, probablement, de 7%) n’est pas prise au sérieux.
Le problème de la maternité : Dans l’article cité plus haut, on peut lire que « la parentalité n’a pas le même impact sur la carrière des femmes que sur celle des hommes ». C’est d’autant plus vrai qu’à mon souvenir la grossesse n’est pas l’état d’un homme mais celui d’une femme, que c’est plutôt rare qu’un homme allaite et qu’il y a incontestablement entre un enfant et sa mère un lien de nature charnelle différent de celui existant avec le père. Je dis bien de « nature charnelle » et non pas « affective ». Ce lien unit de manière très particulière l’enfant à sa mère ce qui explique que, pour bien des femmes, la maternité soit difficile à concilier avec un travail professionnel très absorbant, voire soit moins importante même qu’une carrière.
La faute aux femmes ! Toujours en parcourant l’article du Temps, j’y apprends que « les comportements négatifs de certaines femmes aux postes à haute responsabilité envers les jeunes femmes… peuvent créer des obstacles pour la carrière des jeunes femmes ». Je pourrais citer un certain nombre de cas dans lesquels on observe un phénomène identique chez les hommes ; la volonté de « rester le chef » ou « l’unique » ou « le seul en son genre » a causé certaines scènes dont je garde un souvenir vivace !
Comme je me réjouis que Le Temps tourne le disque de l’égalité pour faire l’apogée des différences, que l’on arrête d’obliger les femmes à se couler dans le moule des hommes pour atteindre l’« égalité », que l’on reconnaisse enfin la valeur et la richesse de leurs spécificités. La véritable égalité n’est possible que dans le respect et la valorisation des différences.
A l’apogée de sa carrière, universitaire ? médiatique ? il vaut mieux tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler.
Cette Dame qui a effectivement réussi une grande carrière dans des domaines plutôt réservés aux hommes n’y est certainement pas parvenue par miracle, et c’est probablement ce qui vous étonne le plus. Comble de l’histoire, elle émet une critique et des opinions qui ne s’accordent pas avec les regrets et les rêves du nouveau féminisme ambiant. Selon vous elle devrait se taire… Avez-vous oublié que les féministes des années 60 n’ont pas tourné leur langue sept fois dans la bouche avant de s’exprimer bruyamment ? Et que c’est ainsi qu’elles ont gagné la première étape de leur combat ? Contre le mari qui leur déclarait : “Femme, tais-toi !..” Contre leur Directeur : “Euh… Angèle, ayez un peu de tenue, soyez plus discrète…” Contre toutes ces anciennes règles qui aujourd’hui font rire parce que c’est si loin et dépassé. Combien de temps faudra-t-il pour que l’amertume des militantes de notre époque fasse place à un heureux humour ? A un beau sourire qui met tant en valeur le visage des femmes ! Hahaha !
Combien de temps faudra-t-il pour que l’amertume des militantes de notre époque fasse place à un heureux humour ?
C’est le temps que nous espérons tous voir arriver pour enfin cesser de subir toutes ces complaintes. Mais connaissant le tempérament féminin, nous ne sommes pas prêt d’y accéder…
„La véritable égalité n’est possible que dans le respect et la valorisation des différences.„ Tellement vrai et joliment formulé. Belle expression d‘humanisme de votre part.
Le Temps de s’engager.
Oui, sur les journalistes dans le monde, c’était très intéressant mais cette quotidienne et interminable complainte du féminisme occidental, c’est de plus en plus lassant ; surtout quand ce plaidoyer pour l’égalité déroule le tapis rouge à une féministe d’extrême gauche, comme Eléonore Lépinard ou à une reine du porno féministe…
Pour les féministes, les hommes doivent être des femmes comme les autres. Un écervelé dans “Le Temps” proposait récemment que les hommes aient un congé parental comme les mères pour gommer les différences salariales une fois pour toute, reconnaissant implicitement que c’est le coût de la maternité que les entreprises taxent sur le salaire des femmes. Cette différence salariale apparaissant d’ailleurs APRES la première naissance. Malheureusement pour les féministes enragées, les hommes ne porteront jamais dans leur ventre de bébé. La fécondité et la beauté dans ce monde naissent de la différence et de l’asymétrie. Le féminisme affadit le monde et les premières victimes de cette rage occidentale sont les enfants dont les pères efféminés par 30 ans de féminisme, laissent tomber leurs femmes et leurs enfants pour des plus jeunes, sur un “coup de coeur”, un moment de “passion”, concept volées aux femmes. Une fois de plus, les femmes voient leurs armes se retourner contre elles et se voeint abandonner par leurs hommes qui les échangent pour des plus jeunes en usant d’arguments féminins. Une société où il n’y a plus d’hommes sont des désastres : la société antillaise où polynésienne où le matriarcat domine et où les hommes ne sont bons qu’à féconder leurs femmes et disparaitre, vivotent dans des étas de pauvreté chroniques. Bon courage medames les féministes enragées, bientôt vous aurez tué tous les hommes ou plutôt, ils vous auront jetées pour des plus jeunes.
De toute beauté Thibeaut,
Je n’aurais su si bien dire. Ce féminisme enragé comme vous dite, je l’ai bien vécu par la rage contre les hommes que ma mère a eue envers moi. Comme dans bcp d’autres malversations psychologique auxquelles ces dames s’adonnent. On y passe facilement et rapidement l’éponge, car une blessure qui ne “saigne pas” est considéré presque avec dérision.
Je me réjouis presque de voir certaines femmes s’entraîner aux sports de combat. On est à l’aube de se voir démontrer la supériorité de leurs mesquinerie et violence psychologique
Dans tous vos articles, le même dénominateur commun : l’aigreur, le négatif, le ressentiment, les qualificatifs extrêmes, sur tout et sur tout le monde. Les éternels regrets nostalgiques d’un monde idéalisé, figé dans le passé, conservateur, moralisateur et interventionniste. Tout ce qui est excessif est insignifiant.