Même les spécialistes officiels de la santé le disent à la RTS: on ne sait pas exactement quelle étendue d’immunité confèrent les vaccins à notre disposition ; on ne sait pas exactement quelle est la durée de l’immunité qu’ils fournissent ; on ne sait pas s’il est souhaitable de prévoir une 3e dose ni pour quelle catégorie de personnes. On ne sait pas encore les effets secondaires à long terme des vaccins et on n’a pas toujours les retours des effets secondaires à court terme.
On sait en revanche que le vaccin n’assure pas l’immunité annoncée au début, qu’il n’empêche pas de contracter la covid, ni même éventuellement d’en mourir, qu’il cause parfois des effets secondaires cardiaques pour les jeunes hommes au point que certains pays nordiques déconseillent par exemple le moderna pour ces personnes, et pour les jeunes en général.
Bref, avec un peu de bon sens, voire d’honnêteté intellectuelle, on conclut de ce qui précède :
- Qu’il ne peut être exercé de contrainte quelconque en faveur de la vaccination et que toute action publicitaire incitant à la vaccination engage la responsabilité de ses auteurs.
- Qu’il est inadmissible de punir un médecin traitant qui ne recommande pas le vaccin à ses patients.
- Que l’exigence du pass covid, qui est une forme de contrainte particulièrement vicieuse, doit être abandonnée en Suisse. Si d’autres pays veulent y recourir et en faire une condition de voyage chez eux, c’est leur problème, de même d’ailleurs que des pays ont le droit d’exiger un vaccin contre la fièvre jaune ou un vaccin quelconque pour qui se rend chez eux.
- Qu’aucune personne ne doit être vaccinée contre la covid sans avoir préalablement signé une déclaration de consentement éclairé.
Pourquoi ces règles ordinaires de pur bon sens, qui entretiennent la confiance en les responsables sanitaires et politiques ne sont-elles pas appliquées chez nous ?