François Huber, le genevois qui mit au jour les secrets des abeilles

Conférences sur François Huber, 18 et 20 mai 2017

Société entomologique de Genève, Malagnou, jeudi 18 mai, 19h30

Nuit des Musées, Berges de Vessy, samedi 20 mai 2017, 19h

https://www.ville-ge.ch/culture/nuitdesmusees/programme.html#?inEnglish=false&hdcp=false

L’AVIS DE L’EXPERT Mardi 20 mai 2014

Il y a tout juste 200 ans, François Huber publiait un ouvrage qui révolutionna les connaissances de l’époque sur l’histoire naturelle des abeilles. Ce savant des Lumières n’a jamais vu l’objet de ses études puisqu’il fut atteint de cécité à l’âge de 20 ans.

Retour sur un destin d’exception, par l’apiculteur et biologiste Francis S
aucy

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…nous étaitent comptées…

Dans un article intitulé “Pertes hivernales à nouveau faibles en 2014-2015” publié dans la Revue suisse d’Apiculture, R. Sieber (de la revue d’apiculture suisse alémanique Bienenzeitung) et J.-D. Charrière (directeur du Centre de recherches apicoles, d’Agroscope-Liebefeld) se réjouissent des faibles pertes d’abeilles durant l’hiver dernier (16.5%). Un tableau récapitulatif des 8 années de l’étude (hivers 2007/08 à 2014/15) montre que ces pertes ont fluctué entre 12% (hiver 2008/09) et 26,3% (2011-12). Elles furent en moyenne de 17,7% par hiver, soit un peu moins d’une colonie sur cinq chaque année durant ces huit hivers.

… mais combien reste-il de colonies d’abeilles en Suisse?

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… ne piquaient plus…

… des débuts peu glorieux...

Je m’en souviens comme si c’était hier. J’ai acheté ma première ruche avec mon premier salaire, après un cours d’introduction au rucher école de Genève. Un ami, rencontré dans le même cours, m’avait invité à partager l’emplacement où il avait installé sa propre colonie.  Située à Soral, face à la France voisine, c’était une parcelle en pente, entre jardins, maisons traditionnelles et résidences d’été. Au contraire des abeilles douces et calmes que j’avais vues et manipulées lors de ce cours, mes “mouches à miel” étaient plutôt du genre “nerveuses”, au point qu’il m’est arrivé de m’enfuir (sans gloire), de sauter au volant de ma 2CV pour ne retirer mon voile qu’après avoir effectué quelques centaines de mètres, toutes fenêtres ouvertes dans la charmante campagne avoisinante, avec encore dans les oreilles les cris d’un client attaqué  sur la terrasse du café, bien trop proche du rucher…

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