Cette quiche se déguste chaude ou froide. C’est d’ailleurs ainsi que je l’ai mangée la première fois, chez ma tante Marie-Claude qui m’a transmis la recette. Le mariage courgettes et saumon est un classique, il est ici avantageusement relevé avec l’ajout de quelques zestes de citron. Miam. (suite…)
Mois : mai 2016
A la cueillette des aspergettes
La saison de l’ail des ours se termine; heureusement, le pesto se conserve longtemps. Pour les fans de cueillette sauvage, il reste des aspergettes dans les sous-bois romands. (suite…)
Un chou géant farci pour cent Alaskains
J’ai lu récemment avec intérêt et surprise que les plus gros légumes du monde poussaient en Alaska, une région qui pour moi est plutôt synonyme de froid et de saumon cru. Je me suis penchée sur la question et j’ai en effet constaté que la grande Foire de l’Etat d’Alaska récompensait chaque année des choux de 60 kilos, des carottes de 10 kilos ou encore des citrouilles d’une demi-tonne! (suite…)
Quatre sauces salade pour en finir avec la déprime
Remplir sa déclaration d’impôt. Faire la queue au supermarché. Ecouter un album de Christophe Maé. Utiliser toujours la même vinaigrette.
Tout cela est bien déprimant, avouons-le. Si je ne peux rien faire pour vous pour les trois premiers exemples, voici en revanche quatre recettes de sauces salade faciles et rapides qui vous feront oublier votre satanée vinaigrette. Beaucoup de pep’s, peu de matières grasses, elles sont parfaites pour étoffer son répertoire et varier les plaisirs. (suite…)
Des suprêmes d’orange, parce que vous le valez bien
Remballez la cerise sur le gâteau: la petite touche finale qui sublimera vos desserts ou vos salades, ce sont les suprêmes d’agrumes. Pour les obtenir, il suffit d’un petit geste technique très facile qui vous donnera la «classe américaine» devant vos amis. Je vous explique comment en vidéo.
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Une tarte aux asperges de Genève
C’est la saison des asperges. On est allés chercher les nôtres à Meyrin dans le canton de Genève au Domaine des Arbères, pour vous préparer cette tarte à dévorer à chaud ou à froid, à sec ou avec un petit ballon de rouge. (suite…)
Du curcuma frais, mais pour quoi faire?
J’ai remarqué récemment l’arrivée d’un nouvel ingrédient au rayon bio d’une société coopérative de distribution bien connue en Suisse: le curcuma frais. Je le connaissais déjà comme épice en poudre: d’un jaune vif, c’est lui qui donne sa couleur au curry indien, dont il est l’un des principaux composants. Voilà donc que le curcuma réapparaît en rhizome. Mais pourquoi l’acheter ainsi plutôt qu’en poudre? Est-ce que c’est bon… au goût, et pour la santé? Et au fait, çà se prépare comment? (suite…)
A la table du capitaine Nemo, lait de baleine et confiture d’anémone de mer
Pour inaugurer ces posts sur la nourriture en littérature, j’ai choisi une de mes épopées favorites: 20 000 lieues sous les mers. J’aurais pu vous parler de poulpe à la galicienne, en hommage à la terrible bataille qui oppose les hommes du Nautilus aux céphalopodes géants. (La taille des bestioles laisse songeur quand à la quantité phénoménale de nourriture qu’elles auraient pu fournir!). Mais je me suis intéressée à l’intégrisme culinaire du capitaine Nemo, qui veut qu’aucun met ou condiment, venu de la terre, ne soit servi à la table du Nautilus. D’où la présence de crème de lait de cétacé, de foies de dauphin et surtout de confiture d’anémone de mer. Pas de méduse dans ce repas concocté par Jules Verne. Dommage, sa texture est savoureuse… (suite…)
Cinq raisons pour remplacer votre vieux Tupperware par un Bento
Aimez-vous emmener votre repas sur votre lieu de travail? Avez-vous déjà été lassé par votre sempiternel Tupperware que vous traînez depuis des années? Aimeriez-vous mettre un peu de gaieté dans votre triste journée au bureau?
Si vous avez répondu «oui» à au moins l’une de ces questions, c’est que vous êtes prêt à passer au bento.
Mort aux lapins de Pâques!
Les envahisseurs sont toujours là. Pâques a remballé agneau et résurrection depuis un mois, la famille est rentrée chez elle, mais les lapins et les œufs continuent de dormir dans mes placards. C’est que mes enfants, comme bien d’autres, en ont reçu bien trop, et que je prône une certaine modération dans leur consommation. Résultat, je sors les bestioles au compte-gouttes. Après un mois de lapins par-ci par-là, je n’en peux plus! En même temps, je n’aime pas jeter. Que faire de ces envahisseurs? Les recycler!