Après la réforme de la FIFA, la Coupe du monde masculine 2018, voilà la brillante réussite de la Coupe du monde féminine 2019 à mettre à l’actif du bilan de Gianni Infantino.
Outre le fait que cette manifestation a été magnifiquement organisée et qu’elle a suscité un très grand élan de popularité, elle marque également une étape dans la lutte des femmes pour l’égalité.
Alors que les politiciens et les journalistes ont battu, à juste titre, des mains le 14 juin 2019 pour un événement important, mais purement suisse, on peut s’étonner que les mêmes ne félicitent pas le Président de la FIFA pour avoir su, même si le chemin n’est pas terminé, donner une grande dimension féminine à un sport qui durant des décennies fut le bastion des hommes.
Le titre est plus que mauvais.
Oui, en ce qui me concerne, je ne goûte pas fort les américains, encore que quelques-uns soient un peu civilisés.
En revanche, j’apprécie comme vous (même si pas foot) le succès des femmes.
On espère bientôt des équipes mixtes. Ceci sera la vraie parité “Great again, chapter II).
P.S. Les filles, quand l’on aura des équipes mixtes de polo, vous pourrez dire, on y est 🙂