Le sacrifice de la terre

Depuis l’été 2018, le sentiment d’un détraquage climatique mondial est devenu palpable. Nous sommes entrés dans l’ère d’une catastrophe écologique mondiale sans précédent.

La 6ème extinction de masse de la terre est là !

Les oiseaux disparaissent presque aussi vite que les insectes. Quant aux populations d’animaux, depuis 1970, elles ont chuté de 60 pourcents.

Malgré les cris d’alarme venant de toute part, le monde des hommes (sur le plan collectif) a décidé de continuer à détruire, piller et abuser de la terre.

L’homo economicus dirige les opérations, il faut se gaver la panse jusqu’à l’explosion finale. Il faut nourrir les désirs insatiables d’un monstre aux millions de têtes. Peu importe le prix. Peu importe la vie sur la terre et les générations futures.

Je souhaite à tous ceux qui décident de se battre pour sauver notre futur (et ils sont nombreux), ces quelques mots de Swami Vivekananda :

 

Lève-toi, soit audacieux, soit fort.

Prends l’entière responsabilité sur tes épaules,

et sache que tu es le créateur de ta destinée.

Toute la force et l’aide que tu veux sont en toi.

Par conséquent, réalise ton futur !

 

Fabrice Dini

Fabrice Dini est cofondateur de deux écoles et l’auteur d’un ouvrage préfacé par Matthieu Ricard "Une éducation intégrale pour grandir en s'épanouissant". Il intervient dans de nombreuses écoles et entreprises en Suisse romande. Fabrice s’est formé au CFM de l’Université du Massachusetts et enseigne la pleine conscience, la gestion du stress et l'éducation intégrale.

2 réponses à “Le sacrifice de la terre

  1. “le monde des hommes (sur le plan collectif)…” Voilà la clé.

    On a un peu le sentiment en lisant un peu tout de ce thème, que la faute c’est toujours les autres.
    Pour les jeunes, soit ils sont manipulés, soit ils manifestent mais… partent en avion, soit il faut les aider à faire valoir leur futur, c’est le leur.

    Ces jeunes sont inquiets et n’ont, pour une grande partie, pas le droit vote.
    Alors non, aux adultes et à leurs aînés d’assumer avec humilité et non arrogance, le monde qu’ils laissent aux jeunes et tous ensemble, enfin, de faire bouger les lignes urgemment, après ce sera un peu tard.

    “L’homme est le seul animal qui détruit son milieu”
    (auteur inconnu)

  2. Bonjour,
    Seule une limitation de la démographie permettra d’éviter le pire. Cette option reste malheureusement politiquement internable et ne risque pas de se réaliser. Dommage, nous avions tout pour bien faire. Game over, RIP.
    L’humain est le seul animal à croire qu’il n’est pas un animal….
    Je vous propose de lire “Effondrement”, de Jared Diamond.

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