Adieu

Jacques Neirynck Non classé

Par suite de la décision du Temps, ceci est mon dernier blog.

Cette décision est désolante mais sans doute motivée en réalité par des considérations financières et donc compréhensible.

Selon Le Temps, je pourrais poursuivre mon blog sur WordPress.

Après de longues heures de travail soumises à la stupidité numérique, j’ai un accès ä ce site. Comme il requiert ma carte de crédit, je crains qu’il soit payant pour les rédacteurs et (ou) pour les lecteurs.

Provisoirement je m’abstiens en conséquence.

Si j’éclaircis cette question je reviendrai vous informer.

Jacques Neirynck

Jacques Neirynck est ingénieur, ancien conseiller national PDC et député au Grand Conseil vaudois, professeur honoraire de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), d'origine belge, de nationalité française et naturalisé suisse. Il exerce la profession d'écrivain.

39 réponses à “Adieu”

  1. Dommage . Comment peut-on faire taire un esprit libre de cette façon? Et après ça les Bobos du Temps continueront à donner des leçons. Bon courage malgré ce désaveu pitoyable!

  2. Bon vent pour de futurs blogs.
    Vous allez nous manquer et nous ne pouvons que regretter cette décision du Temps.

  3. Quelle tristesse pour le journal et pour ses lecteurs de perdre un penseur si (trop?) original.

  4. J’ai essayé WordPress. Cet outil numérique n’est pas convaincant du tout. Me suis donc rapidement désinscrit. N’y aurait il pas une option “chroniqueur” pour vous chez LeTemps ?

    1. Effectivement c’est ce que j’ai proposé. Sans réponse pour l’instant.

      1. Tamédia est la vrai alternative. (24 h et TdG). Ils vous accueilleront les bras ouverts.

  5. Grave décision très regrettable du Temps ! Et ça vaut pour tous les blogs… avec leurs points de vue variés et les profondes réflexions qui les accompagnent, ils remplissent une importante fonction!! Je ne suis pas sûr que la disparition des blogs n’obéisse qu’à des considérations économiques… peut-être y a-t-il aussi l’envie de ne pas donner de tribune à ce qui n’est pas dans la (nouvelle?) ligne du journal??? En attendant: merci M. Neyrinck !

  6. Les blogueurs, que l’on partage ou non leur point de vue, apportaient de la diversité et de la transparence dans l’information publiée par le Temps.
    J’espère dès lors que nous serons à l’avenir, mieux informés sur le “pedigree” des journalistes du Temps et qu’ils ne seront pas trop formatés et unicolores!

  7. Cher Monsieur Neirynck,

    Comment le Temps peut-il invoquer des raisons financières alors que tous les contributeurs aux blogs le sont à titre bénévole? En revanche, les raisons invoquées par la rédaction mettent d’abord en cause les dérives allant parfois jusqu’aux extrêmes, y compris aux insultes, calomnies et attaques personnelles dont certains intervenants – vous n’y avez vous-même pas échappé – se sont crus permis en considérant cet espace “invités” comme une zone de non-droits. Il est consternant de constater que ce sont les meilleurs qui fassent les frais du comportement imbécile de quelques irresponsables.

    Ce ne sont pourtant pas les alternatives qui manquent et je suis certain que la rédaction du journal s’emploie à les étudier. J’ai d’ailleurs cité sur le blog de Christophe Vuilleumier le site de “H-Net – Humanities and Social Sciences Online”, destiné en priorité aux universitaires, enseignants, chercheurs et étudiants ainsi qu’à toutes personnes intéressées par l’impact des connaissances sur la vie sociale. Ce site est accessible dans le domaine public à l’adresse suivante:

    “https://www.h-net.org/”.

    “H-Net” fonctionne avec la plateforme “Mastodon” (https://mastodon.social/explore), premier réseau social décentralisé (un peu à la manière d’une “blockchain”) qui se pose en alternative en source libre et gratuite aux réseaux sociaux commerciaux et centralisés tels que Twitter, Facebook et Instagram. Il s’est même acquis la réputation d'”anti-Twitter” et offre la possibilité de créer son propre serveur. Il est très facile de l’installer sur son propre PC ou portable, y compris en versions IoS et Andro!d. Son principal inconvénient, une certaine lenteur d’exécution mise à part, est que les messages n’y sont pas cryptés et peuvent donc être lus en clair par les administrateurs d’un site. En revanche, un de ses grands avantages est que la possibilité de créer son propre site, à condition de s’être inscrit au préalable à un site existant permet de s’en affranchir une fois le site réalisé, dont l’auteur est alors seul à garder le contrôle intégral.

    La documentation disponible en plusieurs langues sur le site de “Mastodon”, géré dans son intégralité par des bénévoles et sans but lucratif, fournit toutes les indications nécessaires pour réaliser son propre site à condition d’avoir une certaine familiarité avec les protocoles de connexion et la gestion de sites en ligne.

    Ce site est encore en plein développement et a donc ses bons et moins bons côtés. Mais depuis son lancement en 2016, il a déjà plus de 6’5 millions d’inscrits. En octobre et novembre derniers, après la reprise de Twitter par Elon Musk, “Mastodon” (dont il existe des variantes) a vu migrer sur sa plateforme, qui n’en comptait alors que 300’000, plus de 2’5 millions de transfuges de Twitter… Peut-être vaudrait-il la peine d’aller y jeter un coup d’oeil?

    Une chose est certaine: de même qu’on peut fort bien se passer de Windows, ainsi peut-on éviter WordPress qui est, du fait même de son succès (il monopolise encore plus de 40% des sites web à l’échelle mondiale), le plus piraté par les “hackers” de tous les systèmes de gestion de contenu. De plus, comme vous l’avez constaté, il est payant.

    En résumé, même si l’ordinateur est l’outil le plus stupide qui soit (dixit Bill Gates),, tous les utilisateurs ne le sont pas “ipso facto”. Toutes les possibilités de poursuivre l’aventure des blogs sont donc ouvertes si tant est que l’on souhaite y donner suite. Or, les voix telles que la vôtre sont indispensables au débat public.

    Avant toute ma reconnaissance pour votre considérable contribution à celui-ci et mes meilleurs voeux pour la suite. Comme on dit: “une (publication) de perdue, dix de retrouvées”.

  8. AU REVOIR (quelques idées):

    Le blog du journal Le Temps va cesser bientôt et certains bloggeurs le regrettent et se demandent où ils pourraient héberger leurs écrits, dans d’autres blogs mais gratuits et ouverts à aborder différents thèmes comme finance, politique, nature, etc, comme ils le faisaient jusqu’à maintenant.
    Options possibles en Suisse?

    ChatGPT
    Il existe plusieurs options en Suisse pour les blogueurs cherchant des plateformes gratuites et ouvertes pour héberger leurs écrits :

    WordPress.com : WordPress est l’une des plateformes les plus populaires pour la création de blogs. Leur site WordPress.com propose des offres gratuites avec un grand choix de thèmes et de fonctionnalités.

    Blogger : Blogger est une plateforme de blogging gratuite, facile à utiliser et populaire. Elle appartient à Google et offre un large choix de thèmes et de widgets.

    Tumblr : Tumblr est une plateforme de blogging gratuite et simple d’utilisation, qui est souvent utilisée pour les blogs visuels tels que les photographies et les GIFs animés.

    Medium : Medium est une plateforme de blogging qui permet aux utilisateurs de publier des articles sur des sujets variés. Elle est populaire pour ses fonctionnalités de partage social et son interface utilisateur élégante.

    Ghost : Ghost est une plateforme de blogging open source conçue pour les blogueurs professionnels. Elle offre des fonctionnalités avancées telles que la gestion de membres, la publication en marque blanche et la personnalisation du code.

    Ces plateformes offrent toutes des options gratuites pour héberger un blog et couvrent une large gamme de sujets, y compris la finance, la politique, la nature, etc.

    1. Je n’ai pas l’habitude d’interagir dans les commentaires, ou offrir de conseils publiques, mais la désinformation technique est cruelle. 😭 C’est compréhensible, parce que la technologie est complexe. Et puis, les circonstances sont exceptionnelles.

      Certains disent que “Wordpress” ne serait pas un hébergement. D’autres indiquent qu’il se ferait tout le temps hacker. Ou aller vers autres solutions “open source” décentralisées comme Mastodon.

      Ce n’est pas toujours vrai, et j’ai lu beaucoup de fausses informations — du folklore sans nuances.

      Dans cette réponse, je vais clarifier WordPress. Selon les retours, je vais voir si un article sur mon blog personnel cette fois-ci, pourrait apporter un complément utile sur autres aspects et plateformes. Cela pourrait être utile pour autres blogueurs aussi.

      🔥🔥🔥🔥🔥 Il faut savoir qu’il y a 2 (deux) instances WordPress.

      Oui, deux.

      La 1ère c’est http://www.wordpress.com (hébergement commercial et SaaS = sofware as a service), et la 2ème c’est http://www.wordpress.org (à télécharger et configurer soi-même comme open source). La 1ère c’est une entreprise, la 2ème c’est une association non-profit.

      Les deux instances se basent sur la même solution technique, et qui est WordPress. C’est un système de gestion de contenu (CMS). On peut aller partout avec ce contenu, et lui changer l’aspect à tout moment par les template. En seulement 2 à 8 minutes environ, montre en main. Magique.

      Mais la confusion entre les deux instances de WordPress fait toujours de dégâts, même 20 ans plus tard, soit depuis que je l’utilise.

      💡 Pour illustrer grossièrement cette différence entre les deux instances, pensez à Windows/ou MacOs versus Linux. Ainsi, Windows ou MacOs c’est chacun un produit commercial, et quand on veut fermer l’ordinateur vous avez peut-être vu que le système se met régulièrement à jour en termes de sécurité. Alors que Linux, lui, c’est open-source et il faut donc s’en occuper soi-même de tout. Liberté totale de Linux versus contrôle total comme Windows ou MaxOs.

      1️ La 1ère instance wordpress.com (!) est comme un Windows.

      C’est aussi un hébergement assuré par la société Automattic. Ils hébergent les sites web de CNN, Disney, Bloomberg, etc. Et ils sont intermédiaires pour la vente de nom de domaine. C’est du sérieux.

      La société Automattic assure les mises à jour du système CMS dit WordPress, et aussi sa sécurité — donc le client ne voit rien de ce qui se passe en coulisses. C’est la base même de la notion “sofware as a service” soit le fameux SaaS.

      C’est une très bonne solution pour y écrire, la migration est aisée, et plus de casse-tête inutile avec la maintenance du produit. Un écrivain ou blogueur y trouvera son bonheur, même dans son offre gratuite.

      Certes, la version gratuite sur le produit commercial en .com est limité a un sous-domaine (au lieu de un domaine) et comporte de la publicité. Mais le prix annuel devient ensuite très intéressant pour enlever la pub, et recevoir ensuite son propre nom de domaine. Avec en prime, une meilleure vitesse du serveur. L’hébergement est donc inclus, même pour le gratuit. Tout comme la configuration du nom de domaine.

      Là où ce n’est plus intéressant c’est quand on veut évoluer de manière commerciale plus intensive, avec l’ajout des modules complexes comme la vente en ligne eCommerce, téléchargements de gros fichiers, hébergement vidéos, contenu protégé et/ou payant, ou autres. Mais là aussi il y a d’autres solutions tierces et/ou gratuites.

      Donc c’est seulement ❗ à ce moment là qu’il faudrait analyser si c’est plus intéressant (opérations, stratégie, finances) de passer éventuellement sur la version “open-source” totalement à soi.

      Avant, il ne faut rien faire.

      Rien.

      Surtout pas, si c’est juste pour publier du texte et quelques images !

      2️ Le problème de la confusion entre les deux instances WordPress arrive du fait qu’en pratique, nombreuses personnes installent la 2ème instance qui est celle “open-source” de wordpress.org (!) — donc un produit comme Linux. Cela nécessite quelques heures et bonnes ressources techniques pour bien le configurer et le sécuriser.

      Or, juste pour publier quelques textes et images, un tel choix technique est trop compliqué pour le commun des mortels. De plus, il faut acheter séparément un nom de domaine et aussi l’hébergement, les configurer correctement, et s’en occuper avec une agence. Certes, avec cette 2ème instance il y a plus de liberté si on veut faire des choses spéciales, mais cela ajoute une surcharge administrative, financière, et opérationnelle.

      Les gens se font avoir par cette liberté, car le marketing est fort, et les vendeurs ou le neveux étudiant qui s’y connaît (hélas trop peu) sont bien sympas. Les gens pensent faire une économie sur plusieurs années, avec juste le coût annuel d’un nom de domaine et un hébergement. Mais … ils oublient la maintenance.

      🔥🔥🔥🔥🔥 Or, c’est précisément cette 2ème instance “open-source” qui se fait hacker. Pourquoi ? En grande majorité, parce que la maintenance ne se fait pas. Ces personnes négligent le produit et le cœur du produit n’est plus mis à jour. Donc, des faiblesses. De plus, il y a trop de modules installées à tout-va, et sans sécurité réelle. Donc, plus de surface d’attaque.

      Ces personnes se donnent ainsi du travail inutile, alors que l’offre gratuite ou un achat sur la 1ère instance commerciale de WordPress.com (!) permet de rester actualisé et correctement sécurisé.En effet, sur la 1ère instance on ne peut pas y installer n’importe quoi comme module ou code informatique — c’est donc très bien contrôlé et sécurisé. La surface d’attaque est réduite. Plus la protection générale par Automattic. C’est solide.

      💡 Il faut aussi garder à l’esprit que la 2ème instance “open source” est limitée à des usages spéciaux qui ne peuvent pas être couverts par les solutions commerciales “déjà prêtes”.

      💡 Pour un écrivain ou un indépendant qui veut tenir un blogue, alors la 1ère instance wordpress.com (!) reste un bon choix. Restez donc loin des offres de la 2ème instance en .org, à moins que cela soit bien justifié selon les besoins réels — et pas ce qu’on aimerait avoir.

      Sinon, il y a effectivement medium, substack aussi, et blogger, et d’autres plateformes payantes comme mediapart, mais ce sont des solutions un peu différentes. 🔥 Chacun avec ses avantages et risques, qu’il convient de les analyser selon sa propre situation.

      La plupart de gens veulent juste écrire.

      Il faut donc aller vers une solution aisée à prendre en main, intuitive, et avec une migration facilitée et rapide. Et avec une bonne réputation aussi.

      Pour ceux et celles qui n’ont pas une approche technique, il vaut mieux discuter avec un ami, ou connaissance de confiance, et qui peuvent guider vers un choix personnel.

      Enfin, j’ai un haut degré de confiance que M. Neirynck sera repris comme chroniqueur par LeTemps, ou une autre plateforme de son choix. Au plaisir donc de le relire.

  10. Ca serait sympa que pour certains d’entre vous chers BLOGGEURS, que vous vous concertiez pour aller tous poursuivre vos excellentes publication chez le même serveur de Blogs.
    Si cela est faisable, dites nous où vous retrouver.
    Merci d’avance.
    Serge

  11. vraiment dommage. Vos articles étaient toujours tellement bien documentés et une bonne occasion d’être stimulée à réfléchir .
    Merci beaucoup pour vos apports de réflexions

  12. Cher Monsieur,
    La suppression de votre blog confrère la dérive ultra-droitière du temps que l’on constate depuis l’arrivée de Mme Von Holsen et de Mme Laure Lugon est avec le départ de journalistes d’exception comme M. Richard Wehrli. Le Temps ne tolère plus les esprits libres. Les esprits libres ne vont bientôt plus supporter Le Temps.
    Merci Monsieur Neirynck pour ce que vous nous avez apporté comme homme politique et comme chroniqueur.

    1. Moi, j’aurais écrit:

      La suppression de votre blog confère la dérive ultra-gauchière du temps que l’on constate depuis l’arrivée de …

      🤨

      1. Disons que le Temps s’adresse en priorité à cette classe de jeunes urbain-e-s qui ont le cœur à gauche et le portefeuille à droite.

  13. Je m’interroge : vos écrits à vos yeux ne valent pas la plus petite contribution financière ??? Quelqu’un m’a dit : ce qui ne coûte rien ne vaut rien… Très exagéré sans doute, à notre époque du tout-gratuit. Merci de réexaminer votre décision, je suis prêt à vous suivre, même en vous contredisant parfois.

      1. Il existe plusieurs alternatives en source libre et gratuite à WordPress, dont Drupal, Joomla et Plone sont parmi les plus populaires. Elles ont une communauté et des forums qui offrent une assistance bénévole aux constructeurs de sites. Il faut un nom de domaine et un hébergeur VPS (Virtual Private Server) pour développer un site, ce qui peut sembler une tâche prométhéenne si l’on n’a pas l’expérience de la programmation Web. Mais la plupart des systèmes de gestion de contenu (en anglais: content management systems) proposent des hébergeurs qui se chargent des aspects techniques à des tarifs très raisonnables.

        Bien sûr, on ne peut être à la fois au four et au moulin, se concentrer sur le contenu tout en soignant l’emballage. N’est-ce d’ailleurs pas, à un certain degré, l’une des causes de la disparition des blogs, dont quelques auteurs voyaient surtout la possibilité de se rendre visibles sans se soucier de la complexité de la réalisation d’un site, laissant “Le Temps” se charger des aspects techniques de leur hébergement?

        “Je médite, tu m’édites”.

  14. Pourquoi ne pourriez vous pas continuer avec le journal Le Temps en qualité de chroniqueur sur ce thème que vous maîtrisez parfaitement en maintenant la possibilité de commentaires ?

  16. Au revoir, Cher Monsieur Neyrinck. Je ne vous dis pas adieu, car vu notre âge ce mot évoque trop la séparation et la fin, c’est terriblement brutal tout comme la fin de ces blogs. S’il doit y avoir rupture, c’est entre les lecteurs des blogs et le journal qui les héberge, ce n’est pas avec vous. D’ailleurs, les autres blogueurs(euses) ne méritaient pas non plus d’être congédié(e)s de façon aussi abrupte après toutes ces années d’activité. Rédiger des textes bien écrits prend en effet du temps, les gens se donnent de la peine et y mettent du coeur. Et puis dans la nuit et le brouillard, une décision (irrévocable?, irrémédiable?) est prise tout à coup que c’est fini, ces braves gens ont fait leur temps, ils sont obsolètes, périmés, ils dérangent, allez savoir! Surtout, ils ne rapportent rien au journal, mais semblent plutôt lui coûter cher même en travaillant gratuitement. Alors, “bye bye” et merci pour tout, mais maintenant il est temps de tourner la page et de passer à autre chose! Il y a là beaucoup d’irrespect et d’ingratitude, mais n’est-ce pas dans les mentalités à la mode et dans l’esprit de ce temps qui ne fait que passer ?

  18. Vous allez me manquer Monsieur Neirynck. Abonnée au Temps depuis longtemps, j’ai fidèlement suivi vos écrits, je les attendais même avec impatience, et me suis parfois amusée des réactions outrées que vos propos pouvaient engendrer. La seule de vos diatribes qui m’ait agacée concernait la transformation du buffet de la gare de Lausanne en restaurant végétarien. L’avez-vous au moins essayé?
    Au plaisir de vous lire sur une autre plateforme,
    Meilleures salutations,
    Camilla Hansson

    1. Merci de ce commentaire. Je n’ai rien contre les restaurants végétariens et je ne suis pas un grand consommateur de viande. Mai un service public doit être au service de tous et ne poas impoer un choix particulier. J’ai utilisé ce buffet sans désagrément mais il succède à un établissement qui était nettement meilleur.

  19. Cher Monsieur Neyrinck,

    Votre blog, avec sa lecture fine, intelligente et profonde des phénomènes de notre temps, apportait à ce journal une énorme richesse. Il était probablement la raison principale pour laquelle je lisais Le Temps.
    Notre société souffre d’un âgisme (vous me passerez ce néologisme) extrêmement irritant. J’espère que malgré tout, on n’arrivera pas à faire taire votre voix.
    Merci à vous pour toutes ces années d’éclairages et d’analyses de haut niveau.
    En espérant avoir bientôt le plaisir de vous relire, je vous transmets mes salutations les plus cordiales.

  20. c’est une grande désolation et perte. Merci pour tous les bons moments passés à lire. Merci pour cet éclairage et cette ouverture. J’espère qu’une nouvelle formule sera trouvée, et que nous pourrons continuer à bénéficier d’un avis toujours très intéressant. Mille merci.

  22. Cher Monsieur,
    Merci pour tous vos textes, qui ont souvent jeté une lumière sage et pondérée sur l’actualité et des sujets d’intérêt général. Votre sagacité nous manquera.
    Avec mes meilleures salutations.

  23. Je veux croire que ce n’est qu’un au revoir !
    Merci, merci encore,pour toutes ces interrogations qui ont habité mes propres réflexions pendant tant d’années!

  25. Dommage de vous voir partir de ce site riche et bien fait.
    Ont espère vous voir bien tôt sur le canal de votre choix

  26. Un mot de plus: Supprimer le blog de J Neyrinck est une très mauvaise plaisanterie. Vont-ils réduire d’un quart le prix de l’abo?

  27. Merci beaucoup, Monsieur. Vos textes ont souvent stimulé mes réflexions ou permis d’affiner mes points de vue. Puissiez- vous trouver une solution d’hébergement qui vous convienn!

  30. Si Le Temps nous éreinte
    Le Temps s’en va,
    Le Temps s’en va
    Monsieur Neyrynck
    Las, le Temps, non,
    Mais nous nous en allons.

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