Obama en Magnum: fausse alerte

Nombreux sont les Américains qui ont cru qu’il allait le voir un jour se balader à travers l’île d’Oahu à Hawaï au volant d’une Ferrari, qu’il allait porter une moustache et une chemise hawaïenne et qu’il allait faire garder sa propriété par deux chiens très mythologiques: Zeus et Apollon. “Il”, c’est Barack Obama.

La semaine dernière, la propriété de bord de mer qui a servi au tournage de la série Magnum mettant en scène notamment Tom Selleck dans le rôle de Magnum, a été vendue à Marty Nesbitt, un homme d’affaires de Chicago qui officia comme trésorier de la campagne électorale de Barack Obama en 2008 et qui est actuellement le président de la fondation Barack Obama, laquelle est chargée de construire la future bibliothèque présidentielle. Il n’en fallut pas plus pour faire croire que Marty Nesbitt n’était qu’un prête-nom pour une acquisition immobilière importante près de la ville de Kailua, où Barack Obama passe ses vacances de Noël.

Vendredi, la Maison-Blanche a déçu ceux qui auraient aimé voir un peu de série américaine dans la vie de l’actuel président des Etats-Unis et qui imaginaient peut-être déjà les grandes discussions philosophiques entre le démocrate, qui a vécu à peu près quinze ans au total à Hawaï et le personnage mythique de Magnum, Jonathan Quayle Higgins III, dont les envolées lyriques ont marqué les téléspectateurs. Elle a démenti catégoriquement que les Obama étaient derrière l’achat.

Une réponse à “Obama en Magnum: fausse alerte

  1. Je crois qu’il faut prier pour qu’un républicain ne soit pas élu président en 2016. Car, si c’était le cas, avec le Congrès dominé par les républicains, les Etats Unis seraient prêts à utiliser la force militaire pour imposer leur hégémonie dans le monde. Une hégémonie qui est menacée par la Chine et la Russie. Donc gros danger d’une troisième guerre mondiale où des armes nucléaires seraient utilisées, ce qui signifierait la fin de la civilisation humaine, et même de la planète, telles que nous les connaissons. Prions donc pour une victoire de Hillary Clinton (on ne voit pas qui d’autre pourrait être un (e) candidat (e) crédible) aux présidentielles de 2016 aux Etats Unis …

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