Tenter de donner un sens à cette période particulière a été la source de cet essai engagé que j’ai rédigé ces dernières semaines.
Cet essai est une pierre à l’édifice qui nourrit une remise en question « A notre portée » – et nous en avons grandement besoin – pour adresser une mission collective qui nous réunit tous, celle de la problématique des enjeux climatiques et de la transformation de nos modes de vie, des inégalités sociales et de la responsabilité collective.
Le COVID-19 nous a convoqué brutalement à cette prise de conscience. Il nous oblige à prendre soin de nous et de ceux qui nous entourent, à considérer ces derniers de manière certaine dans notre existence, à regarder les liens communs qui font notre condition humaine. Il nous a obligé de prendre soin de la nature et à retrouver dans la forêt du coin la magie du rêve exotique de l’autre bout du monde.
Cet essai est un cri d’espoir et propose 5 éveils fondamentaux, 5 liens qui nous invitent à nous interroger sur un nombre de pratiques considérables : d’une mission de vie, à l’importance des circuits courts, en passant par des notions d’équité sociale et de la reconnaissance de valeurs sociales et des limites écologiques dans l’analyse de notre performance.
Sa lecture s’adresse à tous : parents, étudiants, actifs, retraités, dirigeants, enseignants, politiciens, artistes… tant ces éveils peuvent trouver un écho dans tous les écosystèmes dans lesquels nous gravitons.
Certains diront que ce n’est pas assez et ils auront certainement raison.
Mais c’est un début et avec un début vient généralement une invitation.
En voici 1 en complément à celles que vous trouverez dans cet essai.
Une invitation à lire, réagir et nourrir chacun de ces éveils de vos pratiques et de vos expériences. Parce que c’est en s’inspirant les uns les autres, dans le respect de nos différences et la complémentarité de nos intelligences, que nous pourrons avancer.
Une belle cure d’espoir, de bon sens et de générosité dans ce monde chancelant…
Simply thanks !
Seuls les poètes ont compris que la femme est l’avenir de l’homme…
… Bravo chère Sophie 🙂