Les clips de campagne aux USA, épisode 2

Tradition oblige, les clips de campagne sont utilisés dans toutes les élections. Courtes ou longues, intimes ou générales, peu importe le format des vidéos, le but est identique : transmettre une émotion et espérer des suffrages. J’en parlais dans ce papier lors des dernières élections suédoises. Deuxième et avant-dernier épisode de ce tour d’horizon des clips officiels pour la primaire démocrate, sans commentaire cette fois encore.

Andrew Yang for President: America Is An Idea.

Andrew Yang’s campaign is about facts, solutions, and people


Marianne Williamson For President.

May all of us rise to a higher level of participation in the life of this country. In order to make America better, all of us must be better now: more educated, more involved, and more conscious citizens of the United States.


Eric Swalwell For President: Go big. Be bold. Do good.

It’s time to bring the promise of America to all Americans.

Bernie Sanders For President: Not me. Us.

I’m running for president. I am asking you to join me today as part of an unprecedented and historic grassroots campaign that will begin with at least 1 million people from across the country.

Tim Ryan For President: Our future is now.

Tim is an independent, no-nonsense Congressman from Ohio fighting to rebuild our economy by investing in American workers. Tim is a native Ohioan, born and raised in a small town called Niles just outside Youngstown, Ohio.

Image © Javier Zarracina/Vox

Julien Rilliet

Ayant été au centre de diverses campagnes nationales et après avoir été le chargé de campagne du parti socialiste vaudois, Julien Rilliet s’est spécialisé dans la communication politique. Désormais à la tête de sa propre entreprise de consulting, il porte un regard amusé sur la politique d'ici et d'ailleurs et la façon dont ses principaux acteurs tentent de la réinventer.

3 réponses à “Les clips de campagne aux USA, épisode 2

  1. Pour avoir été, un grand nombre d’années dans la com, d’abord commerciale, puis, plus institutionnelle (par négation du processus, dans le fond), le résultat des courses est que… ça ne marche pas, bien heureusement!

    Comme je l’ai toujours dit, si ça marchait, il n’y aurait plus qu’une unique entreprise dans le monde.

    Bon, vous me direz, on s’en rapproche, il n’y a bientôt plus que les GAFAM (en direct ou indirect).
    Mais, ce qu’on appelle le populisme en est bien la résultante, alors… retour à la case départ!
    Ca ne marche pas.

    1. P.S. d’ailleurs, voyez que la liberté d’expression est même valable pour de vieux schnoks sur ces blogs, zozotant toujours les mêmes inepties, certains passant même du coq à l’âne, persuadés d’être droit comme un i hihihi.
      (Bon, avoir l’humilité de savoir s’arrêter n’est pas facile (et même pour moi) …).

      Mais pour ça, il faudrait avoir des règles claires, ce qu’évidemment, ce quotidien (en train d’être vendu à des américains) se garde bien de faire
      🙂

      1. P.S.2
        Me suis abonné il y a peu, par naïveté, pensant qu’il fallait soutenir la presse romande et que ce quotidien était de valeur, car 30.- mois pour lire 3 articles un jour sur deux, c’est excessif.

        Alors, de savoir que ce prix est vendu aux américains, get the fuck Donald 🙂

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