Démarche inédite au niveau national, un blog de débat des conseillers nationaux Baptiste Hurni (PS) et Damien Cottier (PLR) a vu le jour en novembre 2021. Loin de la petite phrase polarisante ou la recherche d’un éphémère buzz, ce blog reprend sereinement des thématiques fédérales en y opposant deux visions. « La salle des pas perdus, antichambre du Conseil national, est l’endroit où l’on travaille, où l’on prépare, mais aussi où l’on débat des sujets déjà traités ou qui vont l’être. Le nom était tout trouvé pour ce blog, édité par les conseillers nationaux neuchâtelois Damien Cottier (PLR) et Baptiste Hurni (PS): ils y dialoguent et affrontent leurs visions politiques sur des sujets d’actualité. Ce blog se veut une contribution au débat démocratique, notamment en prévision d’objets de votations fédérales. »

Un index sur la participation politique digitale
La Suisse est championne de rating. On connaît tous l’ecorating qui évalue chaque année les votes des conseillères et conseillers nationaux d’un point de vue environnemental, l’indicateur de compétitivité des cantons 2021 d’UBS et divers ratings sur l’économie ou le logement. Place à un nouvel indice avec l’index de participation politique digitale qui mesure les possibilité de participer numériquement au processus politique dans chaque canton suisse sur une échelle de 0 à 100.

Une conséquence inattendue du déclin de la presse régionale
La lente disparition des journaux locaux a une conséquence inattendue sur la démocratie: elle augmenterait directement la polarisation et l’intention de vote au niveau régional. Plus le débat national l’emporte sur l’actualité locale, plus le vote régional sera influencé par ces thématiques nationales. C’est en tout cas ce que vient de montrer une étude menée par des chercheurs du MIT, de Yale et de Sciences Po Paris.

A-la-la-la-la catastrophe de St-Maurice ?
Après la vidéo très réussie d’un candidat de Bulle dont les paroles “A-la-la-la-la, la-la commune de Bulle” résonnent encore dans notre tête, en voici une du PDC de Saint-Maurice qui est, disons le tout de suite, franchement ratée… Exit la chansonnette, on retrouve dans cette vidéo un (vieux) concept de #mannequinchallenge.

A-la-la-la-la, la-la commune de Bulle
Passage dorénavant obligé, les clips de campagne sont utilisés dans toutes les élections. Courtes ou longues, intimes ou générales, peu importe le format des vidéos, le but est identique : transmettre une émotion et espérer récolter des suffrages. J’en parlais déjà dans un article sur les élections suédoises et américaines, quid de la Suisse romande ? Nous ne sommes pas en reste. A-la-la-la-la, la-la commune de Bulle

Une série de portraits sur de jeunes candidat-e-s en campagne en pleine pandémie, épisode 3.
Novices ou expérimenté·e·s en politique malgré leur jeune âge, découvrez dans une série de portraits comment de jeunes candidat·e·s à un exécutif d’une ville vaudoise appréhendent la campagne face aux restrictions sanitaires. Entre les débats publics qui tombent à l’eau, les mains qui ne se serrent plus, comment se réinventer et faire de la politique autrement ? Nous leur avons notamment demandé quels moyens ils comptaient utiliser pour convaincre les citoyennes et les citoyens. Tour d’horizon avec Vincent Imhof, 39 ans, candidat de l’Alliance Centriste Veveysanne à la Municipalité (exécutif) de Vevey.

Une série de portraits sur de jeunes candidat-e-s en campagne en pleine pandémie, épisode 2.
Novices ou expérimenté·e·s en politique malgré leur jeune âge, découvrez dans une série de portraits comment de jeunes candidat·e·s à un exécutif d’une ville vaudoise appréhendent la campagne face aux restrictions sanitaires. Entre les débats publics qui tombent à l’eau, les mains qui ne se serrent plus, comment se réinventer et faire de la politique autrement ? Nous leur avons notamment demandé quels moyens ils comptaient utiliser pour convaincre les citoyennes et les citoyens. Tour d’horizon avec Loïc Brawand, 32 ans, candidat du PLR à la Municipalité (exécutif) de Vevey.

Une série de portraits sur de jeunes candidat·e·s en campagne en pleine pandémie, épisode 1.
Novices ou expérimenté·e·s en politique malgré leur jeune âge, découvrez dans une série de portraits comment de jeunes candidat·e·s à un exécutif d’une ville vaudoise appréhendent la campagne face aux restrictions sanitaires. Entre les débats publics qui tombent à l’eau, les mains qui ne se serrent plus, comment se réinventer et faire de la politique autrement ? Nous leur avons notamment demandé quels moyens ils comptaient utiliser pour convaincre les citoyennes et les citoyens. Tour d’horizon avec Pascal Molliat, 30 ans, candidat Vevey Libre à la Municipalité (exécutif) de Vevey.

«Avec le covid, le 90% d’une campagne traditionnelle n’est plus possible»
J’ai répondu à une série de questions pour le quotidien Le Temps sur le rôle que la pandémie joue dans la façon de préparer une campagne électorale. “Dans un contexte où tout rassemblement est interdit, comment vont pouvoir se dérouler les campagnes électorales à venir cette année? Qu’ont mis en place les partis pour s’adapter? La pandémie peut-elle influencer les résultats des élections? Quelles seront les conséquences à long terme sur la communication politique, une fois la pandémie passée?”

Le PDC change de nom: un pari risqué !
Vous l’avez probablement lu dans la presse, le PDC s’appellera Le Centre. Pourtant, changer de nom et de logo pour un parti politique n’est pas anodin, surtout quand il s’agit d’un des plus grands parti en termes d’élu·e·s en Suisse (37 sièges dans les gouvernements cantonaux et 408 sièges dans les législatifs cantonaux). Alors pourquoi certains partis politiques changent-ils de nom ? Explicatif.