Cahier des PLAISIRS #1 – Accompagnement de dirigeant.e.s

Le PLAISIR dans l’accompagnement, je le trouve dans le degré de confiance nécessaire à un vrai échange.


Quand est-ce qu’un.e dirigeant.e. dévoile ses faiblesses? Sans filtres, sans faux semblant ? A quoi est-ce que ça peut lui être utile ? Le dirigeant parfait ne serait-il pas celui qui aurait la capacité à questionner son essence même ?

Se faire accompagner en tant que dirigeant.e, c’est s’autoriser à mettre en tension les fondamentaux, la passion, la parentalité d’un projet professionnel, son entreprise, son bébé. Se faire accompagner, c’est s’autoriser à parler de ses doutes.

Dans une posture dirigeante, identifier ses doutes, c’est vital ! Ça permet d’être authentique sans peur d’être jugé ou critiqué. Ça permet de se livrer et de se remettre en cause. Oser parler de ses doutes permet de les identifier et y trouver des réponses. Ça permet aussi de sortir des non-décisions laissées pourrir à même la branche.

Grâce à la bonne oreille, une fois identifié, le doute devient une évidence et un tremplin à la décision.

Le PLAISIR de la compréhension, sans les formules.

Puiser dans ce qui n’est pas encore verbalisé et participer à le rendre compréhensible, intelligible, palpable.

Le PLAISIR d’être l’opératrice de la transmutation entre l’obscur et le clair. Plonger dans les méandres et les ramifications du doute, des doutes.

Dans mon cahier des PLAISIRS il y a aussi le PLAISIR d’être appelée sans que le besoin soit clair. Tourner autour, l’identifier et comprendre, à deux, les ramifications du chemin vers un meilleur savoir-être dirigeant.e.

#cahierdesplaisirs #avance

Anne-Marie Van Rampaey

A la tête des ressources humaines pendant de nombreuses années, Anne-Marie Van Rampaey est devenue une experte en comportements relationnels au travail. Indépendance d'esprit, engagement et pragmatisme sont ses meilleurs outils pour la compréhension et le respect de l'humain.

Une réponse à “Cahier des PLAISIRS #1 – Accompagnement de dirigeant.e.s

  1. « Le PLAISIR d’être l’opératrice de la transmutation entre l’obscur et le clair. Plonger dans les méandres et les ramifications du doute, des doutes. »

    Je proposerais plutôt une approche par une infrastructure biconvexe d’une axiomatique médullaire du doute dans les méandres psychosensoriels de la certitude ignifuge.

    Pour citer un personnage de la série Kaamelott : « Mundi placet et spiritus minima. Ça ne veut strictement rien dire mais ça sonne bien. »

Les commentaires sont clos.