OUI ! Le plaisir au travail devrait être défini comme l’objectif individuel et collectif suprême.
Le plaisir est un moteur d’implication. Le chercher, le trouver, même momentanément, au coin d’une idée, d’une envie d’aider un collègue ou du simple besoin de se sentir utile.
Le plaisir au travail, nous l’avons tous vécu, même parfois sans y avoir accordé de l’importance.
Ce n’est pas une question liée à un niveau de fonction en particulier.
Est-ce qu’imposer le plaisir serait une lubie ? Une utopie, peut-être ?
NON ! Ce serait un acte de courage complètement intéressé que les dirigeants devraient avoir à l’esprit en permanence et pas seulement au moment de recruter, car il est temps de se focaliser sur cette notion et de se l’autoriser. Il est temps d’organiser et de structurer le travail afin qu’il réponde à cette fondamentale.
Le travail restera toujours le travail avec sa part de pénibilité. Par contre, l’amour du travail bien fait est aussi un chemin vers le plaisir.
Après quarante ans de vie active, j’ai eu ma part de contraintes et d’obstacles. J’ai surtout eu beaucoup de plaisir à travailler dur, sans pour autant être masochiste.
Les personnes que je suis amenée à côtoyer, même celles qui sont en souffrance, ont toutes des souvenirs précis des jouissances ressenties dans leur contexte professionnel et elles rêvent de les ressentir à nouveau.
Et vous, c’est quand la dernière fois que vous avez ressenti du plaisir à faire votre travail ?
Qu’est-ce que vous allez mettre en place pour permettre à vos collaborateurs de trouver plus de plaisir dans leur travail ?
I agree, après 30@ns travail en Suisse , en Korea 2 ans , et 10 ans usa! Time to turn la page TOT BH MERCI