Le grain de sable

La vérité “quoi qu’il en coûte”.

On parle de plus en plus du covid long

Qui en souffre ? Les malades du covid vaccinés ou les non-vaccinés ? Comment ce symptôme se manifeste-t-il exactement ? Il semblerait qu’il soit difficile à reconnaître et à accepter du côté des assurances, notamment lorsqu’il s’agit d’une grande fatigue ou d’une perte de concentration. Comment en prouver la cause exacte, en particulier à la sortie de cette période de pandémie qui a mis la résistance nerveuse de beaucoup à très rude épreuve, a suscité des dépressions, des épuisements, des pertes d’énergie, etc, indépendamment de toute maladie mais à cause de l’atmosphère ambiante. S’agit-il d’un covid long ou d’une « pénible sortie de pandémie » ?

De gros intérêts financiers sont en jeu selon la réponse, ce qui nuit naturellement à la vérité.

Et les effets secondaires du vaccin ?

Des récits vécus circulent – vite étouffés – au sujet du nombre étonnant de morts dans la force de l’âge, de gros problèmes de menstruations chez des femmes de tous âges, de recrudescence subite de maladies maîtrisées depuis des années, après la 2e ou la 3e dose, de négations médicales systématiques d’un rapport quelconque avec le vaccin, d’absence de tout suivi médical. D’énormes responsabilités financières et morales sont en jeu selon les réponses, ce qui nuit naturellement à la vérité.

 

Il est hors de question de reparler de vaccin tant que la vérité n’aura pas été dite honnêtement, au moins pour la Suisse, car il est évident que chaque pays a les mains plus ou moins liées par la politique sanitaire que lui avaient conseillée ses scientifiques officiels.

 

Il est hors de question de remettre un vaccin en urgence dans le commerce ou de continuer à utiliser les premiers.

Maintenant que l’on a constaté que les vaccins utilisés ne sont efficaces que peu de temps, qu’ils ne protègent ni des mutants ni de la contagion, il faut oser dire la vérité. Mais il y a de gros intérêts financiers et d’énormes responsabilités morales, ce qui rend l’exercice particulièrement périlleux.

Malheureusement, plus on tarde, plus la confiance en les autorités sanitaires s’altère et plus il sera difficile de restaurer la cohésion sociale.

La terrible invasion de l’Ukraine ne doit pas faire oublier la réalité sanitaire.

 

 

 

 

 

 

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