Le grain de sable

Les questions qui préoccupent

Pourquoi tellement de vaccins et aucun remède ?

Comment expliquer que moins de 10 mois après les premiers cas de Covid en Europe et aux USA, il y ait déjà eu sur le marché plusieurs sortes de vaccins, certes encore en phase III – au moins jusqu’en 2022 – et pas un seul remède pour soigner la maladie ? On sait pourtant qu’il faudrait plusieurs milliards de doses e vaccin pour que la majorité de la population de la planète soit vaccinée, ce qui pose de vrais problèmes pratiques, financiers et stratégiques, alors qu’il n’y a ou aura « que » des millions de malades – avec, heureusement, un faible pourcentage de décès – malades que l’on pourrait plus facilement traiter sur le plan pratique et stratégique. Et puis la perspective d’un remède pourrait rendre l’atmosphère moins anxiogène pour tellement de personnes, pour les jeunes en particulier. Jamais un seul encouragement n’est donné toutefois au sujet de la progression de la recherche des traitements. On imagine mal en effet, alors qu’il y a tant de chercheurs de vaccins contre la même maladie, qu’on n’ait pas la même quantité de chercheurs d’un remède. La Suisse pourrait d’ailleurs s’y illustrer. N’est-elle pas, comme le dit, dans le Temps du 10 septembre (p.11), le directeur d’UCB, firme pharmaceutique, « un pays par nature très accueillant pour l’industrie pharmaceutique. Il y a ici un environnement soutenant l’innovation »

Pourquoi toujours des insultes ?

Pourquoi est-ce que chaque fois que des professeurs, des scientifiques ou des médecins veulent parler d’une solution éventuelle comme traitement, ils se font insulter par leurs pairs ? Est-il vraiment honteux pour un médecin d’essayer de soulager son patient et de vouloir communiquer à d’autres des résultats qu’il juge pertinents ? Surtout lorsqu’il recourt à un médicament ou un autre connu depuis longtemps ?

Comment suit-on les personnes vaccinées pendant cette phase III ?

Est-ce que chaque personne vaccinée reçoit un questionnaire à remplir peu à peu et à renvoyer à un centre médical de manière que les réactions physiologiques éventuelles des millions de vaccinés puissent être analysées, compilées, comparées ?

Certes, on comprend que, dans les espèces « d’usines à vacciner » – et c’est un tour de force organisationnel auquel je rends hommage car cela représente un effort gigantesque et énormément de dévouement de la part des soignants et accueillants – qui ont pu être mises sur pied, on ne puisse pas organiser un suivi systématique de tout le monde. Mais quel est le pourcentage des personnes vaccinées sérieusement suivies comme dans une phase d’essai ?

Comment restaurer la confiance ?

Je ne suis absolument pas anti vaccin – je viens d’ailleurs de prendre un vaccin très « classique », pour la 20e année, contre les complications des maladies des voies respiratoires –  mais j’avoue n’avoir aucune confiance en le vaccin actuel – et je ne suis de loin pas la seule –  simplement parce que l’on n’en découvre que peu à peu les effets ou les dangers, parce qu’on lui sacrifie la recherche de remèdes qui seront, eux, toujours indispensables, mais évidemment en moins grande quantité, parce qu’on en fait un instrument d’insulte à la responsabilité personnelle et sociale des citoyens, d’instrumentalisation des mineurs et de chantage à la liberté.

 

 

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