Les questions qui préoccupent

Pourquoi tellement de vaccins et aucun remède ?

Comment expliquer que moins de 10 mois après les premiers cas de Covid en Europe et aux USA, il y ait déjà eu sur le marché plusieurs sortes de vaccins, certes encore en phase III – au moins jusqu’en 2022 – et pas un seul remède pour soigner la maladie ? On sait pourtant qu’il faudrait plusieurs milliards de doses e vaccin pour que la majorité de la population de la planète soit vaccinée, ce qui pose de vrais problèmes pratiques, financiers et stratégiques, alors qu’il n’y a ou aura « que » des millions de malades – avec, heureusement, un faible pourcentage de décès – malades que l’on pourrait plus facilement traiter sur le plan pratique et stratégique. Et puis la perspective d’un remède pourrait rendre l’atmosphère moins anxiogène pour tellement de personnes, pour les jeunes en particulier. Jamais un seul encouragement n’est donné toutefois au sujet de la progression de la recherche des traitements. On imagine mal en effet, alors qu’il y a tant de chercheurs de vaccins contre la même maladie, qu’on n’ait pas la même quantité de chercheurs d’un remède. La Suisse pourrait d’ailleurs s’y illustrer. N’est-elle pas, comme le dit, dans le Temps du 10 septembre (p.11), le directeur d’UCB, firme pharmaceutique, « un pays par nature très accueillant pour l’industrie pharmaceutique. Il y a ici un environnement soutenant l’innovation »

Pourquoi toujours des insultes ?

Pourquoi est-ce que chaque fois que des professeurs, des scientifiques ou des médecins veulent parler d’une solution éventuelle comme traitement, ils se font insulter par leurs pairs ? Est-il vraiment honteux pour un médecin d’essayer de soulager son patient et de vouloir communiquer à d’autres des résultats qu’il juge pertinents ? Surtout lorsqu’il recourt à un médicament ou un autre connu depuis longtemps ?

Comment suit-on les personnes vaccinées pendant cette phase III ?

Est-ce que chaque personne vaccinée reçoit un questionnaire à remplir peu à peu et à renvoyer à un centre médical de manière que les réactions physiologiques éventuelles des millions de vaccinés puissent être analysées, compilées, comparées ?

Certes, on comprend que, dans les espèces « d’usines à vacciner » – et c’est un tour de force organisationnel auquel je rends hommage car cela représente un effort gigantesque et énormément de dévouement de la part des soignants et accueillants – qui ont pu être mises sur pied, on ne puisse pas organiser un suivi systématique de tout le monde. Mais quel est le pourcentage des personnes vaccinées sérieusement suivies comme dans une phase d’essai ?

Comment restaurer la confiance ?

Je ne suis absolument pas anti vaccin – je viens d’ailleurs de prendre un vaccin très « classique », pour la 20e année, contre les complications des maladies des voies respiratoires –  mais j’avoue n’avoir aucune confiance en le vaccin actuel – et je ne suis de loin pas la seule –  simplement parce que l’on n’en découvre que peu à peu les effets ou les dangers, parce qu’on lui sacrifie la recherche de remèdes qui seront, eux, toujours indispensables, mais évidemment en moins grande quantité, parce qu’on en fait un instrument d’insulte à la responsabilité personnelle et sociale des citoyens, d’instrumentalisation des mineurs et de chantage à la liberté.

 

 

Suzette Sandoz

Suzette Sandoz est née en 1942, elle est professeur honoraire de droit de la famille et des successions, ancienne députée au Grand Conseil vaudois, ancienne conseillère nationale.

137 réponses à “Les questions qui préoccupent

  1. Merci Madame Sandoz pour vos commentaires si pertinents. Les médecins ne respectent plus leur serment d’Hyppocrate parce que le système le leur interdit! Et aucune homologation par Swissmedic d’un vaccin contre le COVID autre que ceux à ARN MESSAGER…
    Je suis écoeurée par la décision de l’Université de Lausanne de demander un certificat COVID aux étudiant•e•s pour pouvoir accéder aux cours en présentiel dans les auditoires, aux bibliothèques, aux cafétéria. C’est une obligation indirecte de vaccination (la Commission nationale d’éthique s’y oppose clairement), alors que les risques pour cette tranche d’âge sont plus importants que les bénéfices… Un déni de démocratie, une dictature sanitaire qui n’assume pas son nom, du fascisme institutionnel… Je suis anéantie… Même pour aller emprunter un livre dans une bibliothèque de la Ville de Lausanne ou aller voir le Pont Chauderon durant les journées du patrimoine ce weekend, il faut un certificat COVID… Mais génial, vous pouvez tomber le masque et ne plus respecter les distances… Quelle désastre…

  2. J’adore.

    Au Japon, toutes les entreprises et administrations sont tenues de mesurer le tour de taille de leurs employés de 40 ans à 74 ans lors de la visite médicale annuelle: il ne doit pas dépasser 85 centimètres.

    But: réduire le nombre de diabètes, de maladies cardio-vasculaires, faire baisser le cholestérol et la pression artérielle, et au bout du compte dégonfler la facture du système de santé.

    Je me demande combien de temps encore le CF va mettre avant de proposer cela… pour nous protéger de la covid 👾

    Les gens ne veulent pas vivre libres; ils veulent vivre dans le confort.

  3. Pour toutes vos questions, la réponse est ici:

    ttps://m.youtube.com/watch?v=STPopTOrPVE

    “Jamais un seul encouragement n’est donné toutefois au sujet de la progression de la recherche des traitements.”

    Jamais est excessif.
    D’énormes moyens sont mis dans la recherche d’un traitement. Mais c’était objectivement plus facile de trouver un vaccin qu’un traitement.

    Ex:
    ttps://www.hhs.gov/about/news/2021/06/17/biden-administration-invest-3-billion-american-rescue-plan-as-part-covid-19-antiviral-development-strategy.html

    Et faites-vous vacciner, si vous n’êtes pas antivax :))

  4. C’est une bonne question. Remarquez que la rage, le tétanos, la polio, l’influenza et j’en passe sont dans le même cas: des vaccins efficaces, mais pas de remède.

    Peut-être que parce que le vaccin travaille en tandem avec le système immunitaire, et qu’il est prévu pour agir en amont de la période d’incubation du microbe, cela le rend à la fois plus facile à mettre au point et plus efficace contre l’envahisseur, contrairement à une molécule médicamenteuse à qui on demande d’agir en solo une fois la maladie bien installée…

    En général, en médecine, ne vaut-il pas mieux prévenir que guérir? Guérison ne signifie pas toujours absence de séquelles…

  5. “…on ne puisse pas organiser un suivi systématique de tout le monde. Mais quel est le pourcentage des personnes vaccinées sérieusement suivies comme dans une phase d’essai ?”
    Et pourquoi ce suivi n’est-il pas lié au certificat, déjà géré électroniquement, voir la dossier médicale numérique toujours en gestation en raison de craintes de perte du secret médicale, secret au demeurant totalement oublié dans le cadre du coronavirus.

  6. Madame.
    C’ est avec le plus grand intérêt que je viens de lire votre article dont je partage vos différentes remarques . Pour mon entourage je ne suis en sous-entendu qu’ un mouton noir…Je ne leur souhaite pas de devoir assumer les conséquences de ce que j’ai assumé avec un parcours professionnel sans histoire . Néanmoins bechterew avec pronostic que je devrais porter d’ ici peu un masque pour respirer, avc il y a 25 ans qui m a laissé comme effet secondaire un traitement anti.épileptique de cheval..Je ne suis qu un mauvais esprit qui n’ est pas emballé par le vaccin qu’ on nous présente comme miraculeux

    Je vous présente, Madame, mes respectueuses salutations

    Mamco. 1913 Saillon. ne en 1944

  7. Lassitude. Je n’ai plus envie de répondre aux mêmes argumentations qui se trouvent sur les sites complotistes, même si vous rédigez mieux qu’eux…

    Et même si je souhaitais arrêter de commenter…

    vu que CEDH est de retour:

    – non. La perspective d’un remède ne rend pas l’atmosphère moins anxiogène. Seul un vaccin a cet effet. Souhaitez-vous vraiment être gravement malade, puis soignée?, plutôt que vaccinée (et donc protégée des formes graves?);

    – Non. Des milliards d’argent public + privés sont investis pour la recherche de traitements, tandis que pfizer a refusé tout argent public pour développer son vaccin;

    – Non. Un traitement rapporte financièrement beaucoup, beaucoup plus qu’un vaccin. Quelque soit le cas de figure.

    – Non. Il est plus aisé de trouver un vaccin contre la covid qu’un traitement. Vous pensez bien que Cuba, l’Iran, la Russie, la Chine… ne se priveraient pas de traiter leur population si cela était possible. C’est complotiste de faire croire que l’Occident se serait mis d’accord avec la Terre entière pour cacher un traitement/retarder sa découverte;

    – Non. Facturer un traitement à un patient qui n’existe pas pour son effet placebo est gravissime (surtout en période de pénurie). Je dénonce toutes les insultes, menaces,…

    -Non. Les citoyens sont suffisamment responsables pour annoncer d’eux-mêmes à leur médecin/Swissmedic les effets secondaire. Sur ce coup, vous m’avez surpris. Je vous croyais libérale;

    – Non. La phase d’essai III ne concerne pas la vaccination de la population générale. Arrêtez svp de faire croire que le vaccin n’est pas sûr. Nous avons 18 mois de recul et des milliards d’injections. temps x nbre d’injections = certitude.

    – Oui. Vous devriez vous faite vacciner, après discussion avec votre médecin de confiance. Toutes les études, sans exception, confirment l’intérêt des vaccins arn pour votre classe d’âge.

    1. Merci !

      À propos du suivi des effets secondaires dans la population générale, j’ajouterais que dans un centre de vaccination, le personnel nous demande 3 fois (!) si on a eu des effets secondaires particuliers lors de la 1ère injection.

      Si un autre effet grave devait survenir plus tard, le suivi peut-être effectué, sachant qu’on se rendra en principe chez un médecin ou à l’hôpital.

      1. Ils vous le demandent peut-être trois fois et après…? Une de mes amies est devenue en partie handicapée après la 2e dose, quand elle a appelé le centre de vaccination, puis son médecin puis les urgences… personne ne savait quoi lui dire! « On ne connaît pas cet effet, désolé ». Il lui a fallu appelé Moderna pour qu’on lui confirme qu’elle faisait malheureusement partie des 0,9% ayant cet effet là! Et autant vous dire que tous les frais médicaux ad hoc ont été à sa charge jusqu’à sa franchise… eh oui, quand ça part en cacahuète, il n’y a plus personne!
        Ce vaccin est expérimental- de nombreuses études scientifiques dénoncent les dangers- et quand d’ici qq années les conséquences vont apparaître de plus en plus nombreuses, il faudra assumer!

          1. La loi fédérale sur les épidémies traite de la même façon le dédommagement en cas de recommandation ou d’obligation.

          2. @CEDH
            La loi sur les épidémies – c’est des cacahuètes.
            De fait les politiciens sont exemptés de toute responsabilité. Idem, les entreprises. Idem, les écoles. Idem, la Taskforce, etc.
            Recommander n’est pas obliger, ni même contraindre, sur le plan juridique.
            De fait les victimes seront abandonnées à leur sort.

          3. Bonsoir Samy / Bonsoir CEDH,
            Merci Samy, pour votre phrase “de fait les victimes seront ABANDONNÉES à leur sort”. Tellement véridique. Car l’abandon, c’est la réalité helvétique dans toute sa splendeur. Comme vous le savez déjà, mon expérience est gigantesque sur ce point précisément. Au bulldozer, dénigrement systématique, moqueries, insultes, rigolades, vocabulaire vulgaire, refus de correction complète des erreurs, sans reparler des notes médicales sadiques dans mon dossier pédiatrique etc.
            J’ai déjà tout vécu émanant des deux sexes confondus, les femmes étant souvent plus malfaisantes que les hommes dans leurs propos. Malgré la richesse de la langue française, il n’y a pas assez de verbes, d’idiomes à disposition pour formuler 51 années non-stop d’insultes, émanant bien sûr aussi de la famille B ne pouvant supporter de récupérer en son sein un déchet humain post-destruction “médicale” systématique.

            Ce matin en ville, bien involontairement j’ai assisté à une altercation d’une rare violence « vacciné » contre « non vacciné ». Je pense que tout prochainement il y aura le premier meurtre d’un(e) non-vacciné(e) par un(e) vacciné(e). Ce n’est qu’une question d’heures tant la haine et les tensions sont palpables.
            Ceci démontre bien que le gouvernement helvétique s’enferre dans la mauvaise direction. Diviser pour mieux régner, cela ne fonctionne plus.
            Au plaisir de vous lire encore et d’apprendre grâce aux liens que vous citez tous deux. eab

          4. Mais non. La loi fédérale sur les épidémies prévoit une indemnisation de ce qui n’est pas indemnisé ailleurs, par exemple dans le cadre de la Lamal. Il n’est pas question de responsabilité, de faute ou d’acte illicite imputable à qui que ce soit. Il existe une procédure duement établie. Cette indemnisation intervient dès lors qu’une vaccination est recommandée.

            Masselink

            Auriez vous le numéro de téléphone de Moderna ?

        1. Je suis sidéré que personne – pas même Mme Sandoz, ou CEDH qui semble bien connaître les chiffres – ne réagisse à ce chiffre : 0,9% des personnes vaccinées deviendraient en partie handicapées après le vaccin Moderna, c’est bien ça que vous soutenez ? Et en plus, personne à part Moderna n’en aurait eu vent. Ben voyons.

          Voici des faits :
          – En Suisse au 13 août 2021, environ 133 effets secondaires graves ont été déclarés par million de doses Moderna, soit 0,0133% !
          – Ceci tout effet grave confondu (!), incluant tous les effets _transitoires_ représentant des cas graves de fièvre, détresse respiratoire, hypertension, etc. Incluant aussi ceux qui n’ont en fait pas de lien de causalité avec le vaccin.
          – En Suisse jusqu’à mi-septembre, environ 3 millions de personnes ont reçu 2 doses Moderna. Autrement dit, Masselink prétend qu’environ 27’000 personnes seraient devenues partiellement handicapées à cause du vaccin (soit plus que tous les habitants de Montreux). Que ni le centre de vaccination, ni le médecin, ni les urgences ne seraient au courant de cet effet grave. La presse à scandale ne ce serait pas emparée de ce scoop ? Sérieusement ?

          Je ne nie pas la probabilité, extrêmement faible, qu’un handicap partiel permanent puisse survenir, je vais donc vous accorder le bénéfice du doute.
          Mais rassurez-moi svp, dites-moi que votre amie a simplement eu le fameux “bras covid” : gêne transitoire qui rend l’utilisation de son bras pénible pendant quelques jours dans le pire des cas. Ou qu’elle a eu un autre effet secondaire transitoire handicapant. Ce qui n’a rien à voir avec être en partie handicapée-
          Sinon, je lui souhaite sincèrement que ce soit réversible et la meilleure santé possible.

          Source :
          ttps://www.rts.ch/info/dossiers/2020/l-epidemie-de-coronavirus/12210226-la-vaccination-contre-le-covid19-en-chiffres-et-en-cartes.html
          J’ai aussi consulter la base de données de Swissmedic et certaines informations provenant du VAERS (USA, via le CDC).

          Je terminerai en disant que je ne conteste pas du tout que des effets secondaires existent, et que certains, rares voire très rares, sont graves, au sens qu’ils nécessitent une intervention médicale.
          Mon message visait seulement à informer concernant le sérieux du suivi des effets secondaires par l’équipe de vaccination qui s’est occupé de moi, car Mme Sandoz, avec sa rhétorique, insinue que des effets secondaires graves ne sont pas identifiés, sans preuve d’aucune sorte ni prendre la peine de se renseigner. Car ce n’est, à mon avis, pas son objectif.

          1. Les personnes qui ont des effets graves ne sont pas systématiquement suivies – c’est la vérité. Quant aux autres, elles ne sont pas du tout suivies.
            Donc laissez faire le temps. On en reparle dans 2 ans.
            Par ailleurs, plus de 2000 cas graves pour la Suisse, c’est beaucoup. D’autant plus qu’il y a pas mal de jeunes dans ces 2000 cas (moyenne d’âge 59 ans à ce jour, mais la moyenne ne fait que de baisser).

          2. Nous sommes saoulés par les statistiques qui ne cessent de virevolter comme des cerfs-volant. C’est décourageant à la longue. elles nous font perdre la tête et n’ont rien de rassurant, quoi que vous affirmiez avec aplomb. Oui, je suis bien renseigné, et je vais même me faire vacciner. Mais ce sont plutôt des arguments de la même aune que ceux de Madame Sandoz qui me motivent, et non vos avalanches de chiffres quine considèrent plus aussi bien les vivants que les morts que comme des entités abstraites. Je ne vous reproche pas votre goût pour l’arithmétique pointilleuse, mais de grâce n’en faites pas l’étoffe des débats.

          3. Il y a plusieurs type d’effets secondaires graves (dont certains avec des séquelles permanente) documentés.

            Une question m’est venue en consultant le CDC. Vu leur incidence, un nombre important de maladies qui apparaissent dans les 2-3 mois suivant la vaccination devraient apparaître même si le lien avec le vaccin ne peut être établi. Vu la quantité de personnes déjà vaccinées, le nombre d’effets secondaires devrait être statistiquement bien plus élevé.

            Ce n’est qu’ensuite que l’on peut comparer l’incidence de ces maladies pré et post vaccination. Il est donc probablement encore un peu tôt pour tirer des conclusions.

            D’autre part, dans la pratique, un grand nombre de cas ne sont pas signalés car ils sont filtrés en amont. C’est le fameux: “impossible que ce problème soit lié au vaccin”. Je connais plusieurs cas autour de moi avec des pathologies relativement graves. Sans compter les cas où une maladie chronique antérieure présente soudainement une aggravation suite à la vaccination (par ex. arthrite).

            Bref, je trouve que les personnes qui subissent de tels effets sont peu aidées et finissent par renoncer si elles doivent gérer la déclaration elle-même, que leur médecin a affirmé que le vaccin était hors de cause et que finalement cela ne changera pas vraiment leur situation.

            Si c’est acceptable pour un vaccin qui a 10 ans d’ancienneté, ça l’est moins pour un vaccin encore assez frais.

      2. Bonjour TMC, vous ne savez vraiment rien des effets secondaires. Sans exception, les médecins rigolent toujours très grassement lors de leur survenue. Tout a été répertorié par écrit depuis mon adolescence donc depuis 51 ans non-stop. C’est tellement jouissif un(e) patient(e) qui développe des effets secondaires complètement inattendus. A chaque effet secondaire découvert au fur et à mesure, les médecins de tous bois se sont ouvertement moqués de moi. Aucune exception hormis dans les spécialités néphrologie/pharmaco-toxicologie/pharmaco-génétique et parfois allergologie, or ces spécialités sont complètement muettes (muselées ?) depuis le début de la pandémie.
        C’est probablement encore plus jouissif avec ce ton si particulier et si moqueur que les médecins et le personnel soignant prennent parce que dans le fond « ils s’en foutent royalement ». Cela touche les autres (= des inconnu(e)s), pas leur petite personne. Le formulaire est une pure formalité qui permet de se camoufler le cas échéant, rien d’autre dans le concret et le suivi à très long terme des conséquences.
        Une question anodine : Vivez-vous TMC avec 10 effets secondaires indélébiles sur votre peau, dans votre chair, vos os, vos muscles, votre sang et sur une vie entière ? Probablement pas. Donc veuillez multiplier par 10 les sales paroles entendues (et écrites dans mes dossiers) pour chaque effet secondaire vécu.
        Ensuite, vous pourrez dire que vous avez de l’expérience comme moi-même dans ce domaine précisément. Mon expérience de la gestion au quotidien des effets secondaires indélébiles est d’une part considérable et, d’autre part, elle dérange les humains bien pensants.

        En 2011, lorsque j’ai développé un autre effet secondaire massif suite à l’administration en urgence d’un ABB pourtant interdit selon mon profil pharmaco-toxicologique, le médecin remplaçant s’est vraiment foutu de ma gueule. Je l’écris ainsi parce que c’est exactement la cruelle réalité des mots proférés et de la franche rigolade médicale. Durée de l’effet secondaire = 8 mois, effet délétère non compté dans les 10 cités plus haut. Qui souffre à votre avis ?

        Il n’y a aucune espèce de suivi « médical » des effets secondaires cumulés. Je le sais trop bien. Il y a juste une compilation – rien d’autre. On ne peut jamais effacer le MAL à l’état pur lorsque le MAL est fait. Mais on vous répond « Ma foi …. Démerdez-vous » et c’est tout. C’est le néant absolu surtout en Helvétie, mon cher pays. Trois effets secondaires supplémentaires ont été découverts à l’étranger (3/10), car chez moi aucun médecin n’a pris la peine de m’en parler et/ou de m’en informer par avance. Donc lorsque j’écris qu’ils s’en foutent royalement, je sais exactement de quoi il retourne, dans les moindres détails.
        Enfin, si vous aviez l’occasion de lire de quel bois sont faits mes 10 effets secondaires indélébiles ad aeternam, vous me présenteriez de très plates excuses, que je n’accepterais néanmoins pas. Parce que vous MINIMISEZ d’emblée sans rien savoir dans le fond.
        Ceci écrit, portez-vous bien + un bel automne. eab – ni pro-vax, ni anti-vax mais exemptée et complètement indépendante du système de santé suisse post erreurs médicales

        1. Je souhaitais seulement vous remercier pour votre intervention qui remet les choses en place. En effet, c’est bien de malades dont nous parlons, et non de valeurs boursières qui montent et descendent la courbe de Gauss. Dans ce genre de débat, il est indispensable d’avoir des gens de terrain pour véritablement évaluer une situation aussi dramatique, pour apaiser les peurs et faire taire les ironistes qui se rient de la misère humaine. D’ailleurs, les médecins les plus honnêtes vous donneraient raison, s’ils ne craignaient la réprobation de leurs pairs. Car il faut un sacré esprit d’indépendance pour se prononcer sur un sujet où sont impliqués tant de corporations. Quoi qu’il en soit je vous félicite pour votre courage et votre lucidité. Je suis certain que Suzette appréciera votre intervention,

          1. Bonjour Raphaël Célis, Je vous remercie infiniment de vos lignes. Du baume au cœur. Si rare depuis un demi-siècle que j’ai (presque) oublié que cela existait encore de ci, de là.
            La gestion des effets secondaires en continu, c’est des coups de poing en continu, car ils ne surviennent pas en même temps, il y a des séquences très bien expliquées dans la littérature spécialisée, mais dont les médecins lambda évitent soigneusement de parler en toute franchise car secrètement ils espèrent que nous allons claquer d’autre chose entre-temps.

            Il est tout à fait vrai que de très rares médecins honnêtes (des exceptions exceptionnelles si j’ose cette redondance) nous disent la vérité « entre 4 yeux ». Merci d’avoir relevé ce point très important. J’ai eu beaucoup de chance d’en rencontrer sur mon chemin très caillouteux et plutôt à l’extérieur de la Suisse. Hélas, chez moi, ils sont aussi rares que le plus rare des diamants bruts. Mon ancien chef de service faisait par exemple partie de ces exceptionnelles raretés ne craignant aucune réprobation de ses pairs.

            Il y a plusieurs années, j’ai transformé tous mes effets secondaires indélébiles et mon vécu kafkaïen en tests d’aptitudes pour humains, toutes catégories confondues, donc ces tests peuvent aussi être appliqués au corps médical et/ou infirmier. En général, les candidat(e)s abandonnent dès le tout début du test No 1. Pourtant ce sont des médecins qui l’ont imposé à de nombreux enfants. Le stress post-traumatique du test No 1 semble donc insurmontable, même pour ces professionnels. Comme c’est étrange ! Si intérêt je peux vous l’envoyer en .pdf via notre modératrice et vous m’en direz discrètement des nouvelles …..

            Enfin, je trouve la photo très belle. Une petite rue où il doit faire bon se promener, avec à l’horizon de douces collines et peut être l’océan, la mer ou un lac ? Une perspective intéressante.
            Au plaisir de lire vos commentaires. Portez-vous bien. eab

    2. Merci pour votre mise au point. Je comprends votre fatigue, devant tant d’opinions non fondées et n’ayant aucune bases scientifiques. J’ai beaucoup de respect pour Mme Sandoz et apprécie généralement ses opinions, mais là, vous avez entièrement raison. Donc, merci de “faire le job”.

    3. Pour vous paraphraser : “Lassitude. Je n’ai plus envie de répondre aux mêmes argumentations qui se trouvent sur les sites provax” .

      “La perspective d’un remède ne rend pas l’atmosphère moins anxiogène. Seul un vaccin a cet effet. Souhaitez-vous vraiment être gravement malade, puis soignée?, plutôt que vaccinée (et donc protégée des formes graves?)”

      La grippe, la vraie grippe je précise, n’a pas de véritable traitement mais un vaccin. Tiens! On dirait le Covid. Je l’ai eue en tout cas trois fois cette vraie grippe, mais pourtant je n’ai jamais accepté de faire le vaccin. Pourquoi? “Le microbe n’est rien, le terrain est tout”. Donc ma prophylaxie, qui visiblement a quelques fois échoué, c’est de soigner le terrain. Ni plus ni moins.

      “Il est plus aisé de trouver un vaccin contre la covid qu’un traitement.”

      Selon ce à quoi on a affaire, un vaccin est tout simplement utopique. Quand un virus mute beaucoup, la science aura TOUJOURS un train de retard. Et le covid est un coronavirus, champion toute catégorie des mutations (cf. présentation Christian Vélot, CRIIGEN). Ah rien à voir mais… quarante ans après, quid d’un vaccin contre le SIDA ?

      “Arrêtez svp de faire croire que le vaccin n’est pas sûr.”

      Je vous renvoie à tous les sites OFFICIELS dont le VAERS, EudraVigilance, ANSM, je vous renvoie à tous les pays qui commencent à ouvrir les yeux et suspendent les vaccins. Les vaccins non seulement ne sont pas sûrs, ils tuent, y compris des jeunes qui avaient toute leur vie devant eux. Si c’est ça, c’est un vaccin sûr, on se demande à quoi pourrait ressembler un qui ne l’est pas.

      Citation pour terminer:

      “Vous ne pouvez plus dire que vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un VIOL.” (Discours de la députée Sara Cunial au Parlement italien il y a un mois).

      1. Chère Madame,
        Votre commentaire est limpide. L’expérience, tant personnelle que celle de la pratique médicale strictu senso, démontre que le fait de soigner le terrain est l’une des meilleures formes de prévention contre les maladies infectieuses. Je viens de lire un roman de Sigrid Undset, inspiré par des archives datant du 12e siècle, qui raconte le sort des habitants d’une région de la Norvège lors d’une épidémie de peste. Sur la base de témoignages, elle nous fait part de ce paradoxe: à savoir que la plus grande partie des personnes qui ont survécu à cette affreuse maladie sont celles qui se sont dévoués au soin des malades (soignantes des hôpitaux, guérisseuses, infirmiers de l’époque, etc…). Le point de vue que vous défendez a donc été vérifié il y a des siècles. Je vous suis reconnaissant de nous avoir rafraichi la mémoire et de nous affranchir de l’illusion que le vrai savoir n’aurait été découvert que depuis Galilée ou Newton. Pour être compétent dans une matière, il ne convient pas seulement d’être un spécialiste au sens scientifique, il faut aussi pouvoir interroger en amont et prendre conscience que tout n’a pas été inventé au cours des dernières pluies.

      2. Bonjour Naëlle Markham et merci de votre commentaire.
        Par rapport à la vraie grippe …. jamais vaccinée contre, je n’ai jamais attrapé la vraie grippe. Et bien oui, cela existe sur Terre des soixantenaires et plus qui – visiblement – sont très peu sensibles à certains virus, malgré un status médical plus que particulier (et un sang comportant des valeurs chroniquement hors-normes “acceptables” selon des normes “aléatoirement décidées”).
        Votre phrase “soigner le terrain” est très juste. Il est nécessaire de bichonner, de prendre un très grand soin de l’organisme (avec ou sans défauts apparents) duquel nous sommes doté durant notre parcours de vie. J’apprécie beaucoup la citation de Sara Cunial. Je vais la rechercher en langue originale.
        Le chantage “fédéral” que nous subissons est infect. J’espère que l’Histoire avec un grand H reviendra sur ce sujet d’ici quelques décennies. Excellente fin de journée, eab

        1. Je souscris entièrement à votre commentaire et vous remercie pour le témoignage généreux dont vous m’avez fait part il y a quelques jours. Très cordialement à vous.

  8. Merci Madame pour votre article. Difficile de comprendre effectivement pour quelles raisons l’ivermectine par exemple est rejetée par les autorités sous prétexte que ce médicament (bon marché et utilisé depuis des lustres) n’a pas fait l’objet d’études suffisantes dans le traitement du Covid. Pourtant, utilisée en traitement précoce et sous forme de comprimés, des médecins dans de nombreux pays disent avoir obtenu d’excellents résultats. Des études existent aussi, mais elle sont ignorées.
    Les autorités rejettent l’ivermectine mais forcent la population (des millions de personnes en Suisse …) à se faire vacciner avec des “vaccins” à ARN messager toujours en phase de tests jusqu’à fin 2022. Quelle contradiction !!! Dans ces conditions, il est normal que la confiance fonde comme neige au soleil.

    1. Merci de lire cela, concernant l’ivermectine (qui ne fonctionne pas contre la covid):

      ttps://www.hug.ch/sites/interhug/files/structures/coronavirus/documents/ivermectine-et-covid-19.pdf

      Et de nous dire concrètement en quoi les spécialistes indépendants des HUG auraient tort.

      1. Les HUG reçoivent des subventions des pharmas pour leurs recherches! Dans les contrats qui lient les gouvernements à Pfizer, il leur est interdit d’utiliser d’autres traitements…. Donc pour faire passer la pilule (oui ça fonctionne, c’est peu cher et ça vous évite un vaccin dont on ne connaît pas les effets à long terme – eh oui, normalement ça n’est pas 18 mois pour la sortie d’un vaccin mais plutôt 10 ans!), eh bien on vous dit que ça ne fonctionne pas. Il y a bien d’autres études (non commanditées par les pharmas et tous ceux qu’ils tiennent à leurs bottes) qui ont démontré que prise assez tôt l’invermectine donnait de très bon résultat! Aussi bon qu’un vaccin qui ne garantit pas de pouvoir développer des formes graves (il y en a dans les hôpitaux contrairement à ce qu’on veut bien nous dire).
        Merci Mme Sandoz pour vos paroles sensées et toujours mesurées!

      2. Si le débat autour de l’Ivermectine vous intéresse, je vous invite à lire mon étude. J’y discute de la métanalyse des HUG, en particulier, que vous citez : ttps://martin.hoegger.org/images/Ivermectine-article.2.pdf

      3. Bonjour,

        Il est assez simple de répondre à votre commentaire.

        Le document des HUG n’est pas une publication scientifique à proprement parler. Elle n’est pas peer-reviewed, ne peut par conséquent pas être rétractée, n’est pas soumise au débat contradictoire entre experts au niveau international. Attention, je ne dis pas que c’est forcément faux, c’est juste que ce n’est pas une publication scientifique peer-reviewed dans une revue spécialisée. C’est en réalité un simple avis d’experts (l’un des plus faible niveau de preuve possible).

        De plus, ce document date de mars 2021, il est périmé.

        En effet, depuis a été publié un article de review par le Prix Nobel de médecine, M. Satoshi Omura (N.B. il a reçu le prix Nobel justement pour ses travaux sur l’ivermectine, ce qui en fait l’un des meilleurs spécialistes mondiaux…), peer-reviewed, que vous trouverez ici:
        ttp://jja-contents.wdc-jp.com/pdf/JJA74/74-1-open/74-1_44-95.pdf

        Une petite dizaine de méta-analyses sur l’ivermectine comme traitement précoce ont été publiées, les plus significatives étant celles de Bryant et al., celle de Kory et al. notamment. L’un des co-auteurs de cette dernière est Paul Ellis Marik, l’un des meilleurs spécialistes mondiaux dans le domaine des soins intensifs, et peut-être le plus éminent membre de la FLCCC Alliance.
        (Voir le groupe BIRD britannique également pour approfondir le thème)
        ttps://journals.lww.com/americantherapeutics/Fulltext/2021/08000/Ivermectin_for_Prevention_and_Treatment_of.7.aspx
        ttps://journals.lww.com/americantherapeutics/fulltext/2021/06000/review_of_the_emerging_evidence_demonstrating_the.4.aspx

        Actuellement, plus d’une soixantaine d’essais cliniques ont été menés, dont une bonne moitié sont des RCT (essai randomisé, considéré en général comme ceux de la meilleure qualité).
        Les résultats sont absolument clairs.

        Mais pour comprendre cela, il faut lire la littérature publiée dans les revues spécialisées, prendre beaucoup de temps et d’énergie pour éplucher tout cela, bien distinguer entre les recommandations des instances de santé (comme la SSI ou la Task Force), qui sont des textes normatifs dont le contenu scientifique n’est pas soumis à l’évaluation par les pairs, et les méta-analyses et articles de review publiés par les experts les mieux classés au niveau international (comme par exemple récemment dans un article de review par Borody et al.)

        Pour terminer, il y a une petite erreur factuelle dans cet article de Mme Sandoz, que j’apprécie beaucoup par ailleurs (merci d’amener un peu d’esprit critique par les temps qui courent, franchement bravo, continuez svp…).

        Il existe bel et bien des traitements mentionnés dans l’annexe 5 des ordonnances covid.
        ttps://www.fedlex.admin.ch/eli/cc/2020/438/fr#annex_5/lvl_d382e78
        D’ailleurs, pendant longtemps figurait seulement le Remdésivir. Celui-ci figure toujours dans les recommandations de la SSI:
        ttps://ssi.guidelines.ch/guideline/3352
        C’est complètement sidérant, car dès octobre 2020 l’OMS a recommandé CONTRE l’usage du remdésivir.
        Comme quoi, dans certains cas, les instances suisses suivent l’OMS à la lettre, dans d’autres non.

        Y voir une quelconque relation avec l’idée que ce traitement aurait bénéficié d’un lobbying intense à la limite de la corruption et d’une obscénité criminelle, relève évidemment d’un affreux complotisme (le terme à la mode pour disqualifier toute critique) dont je m’excuse en avance auprès des naïfs que cela pourrait choquer (lisez Peter Gotzsche avant d’aboyer, merci)
        ttps://www.payot.ch/Detail/deadly_medicines_and_organised_crime-gotzsche__peter-9781846198847?cId=1

        Si j’ai écrit tout cela, c’est pour tenter de faire comprendre que les avis des experts qui sont actifs dans des instances de régulation ou de recommandations de traitement sont à prendre avec des pincettes, pour rester poli, et sont dans une toute autre galaxie en terme de crédibilité scientifique que des méta-analyses publiées dans des revues internationales, peer-reviewed, par les experts les mieux classés au niveau mondial.

        1. Bonjour Raloul, merci de votre commentaire très intéressant et surtout pour la référence de l’ouvrage de Peter Gotzsche (commandé à l’instant).
          Sur le même sujet, vous avez aussi
          a) en allemand “Die Krebsmafia: Kriminelle Milliardengeschäfte und das skrupellose Spiel mit dem Leben von Patienten” et
          b) en italien des ouvrages de Beatrice Lorenzin et/ou Giuseppe Tipaldo ….. par exemple.

          Par rapport au système “peer-reviewed”, je vous rejoins à mille pourcents, connaissant trop bien les coulisses du système.

          Je suis aussi d’accord qu’il faut beaucoup lire, en plusieurs langues étant donné les subtiles nuances, pour avancer à tous petits pas mesurés, sans jamais se laisser embarquer dans un seul courant d’opinions. L’unidirectionnalité est bien trop dangereuse car elle tend à la servilité irréversible.

          Portez-vous bien. eab

  9. En Suisse les autorités sanitaires préfèrent envoyer les malades du Covid en quarantaine chez eux avec du dafalgan. Puis elles s’offusquent quand les hôpitaux sont engorgés !
    Voilà un article concernant la réhabilitation de l’ivermectine au Japon:
    ttps://infodujour.fr/societe/52116-covid-19-le-japon-rehabilite-le-traitement-a-livermectine
    Ma question: Pendant combien de mois les autorités sanitaires en Suisse vont-elles continuer à ignorer les traitements précoces tels que l’ivermectine ?

    1. La réponse vous est donnée par Le Temps du 10 septembre (p. 8), dans l’article intitulé “L’ivermectine pour soigner le covid, un pari sur le mauvais cheval”, qui précise “A l’origine de plusieurs intoxications aux Etats-Unis, son utilisation reste rare en Suisse…Aucune préparation contenant de l’ivermectine à usage oral n’a été facturée aux assurances maladie…. Il y a eu deux demandes à Saignelégier… Les chevaux apprécieront”.

      1. Chère Madame,
        Le journaliste du Temps était mal informé. Trois centres médicaux prescrivent l’ivemectine depuis des mois en Suisse romande, mais les médecins qui l’utilisent ne sont jamais interviewés par les journalistes. Voir le site internet de l’ivermectine en Suisse et ls adresses publiées.

      2. Voilà les adresses permettant de se faire soigner avec de l’ivermectine et un témoignage.
        ttps://www.covidhub.ch/suisse-ou-se-faire-soigner-a-livermectine/

  10. Moi, Madame Sandoz, j’ai fait mes vaccinations Covid-19, j’ai respecté les instructions du conseil fédéral, je me suis mise deux fois en quarantaine lors d’un retour à l’étranger, j’ai porté le masque pendant un an, j’ai évité de voir mes enfants et petits enfants en attendant cette vaccination.

    Vous dites que vous n’avez aucune confiance en ce vaccin. Donc j’en conclus que vous n’êtes pas vaccinée. Et connaissant votre vie sociale et associative, notamment dans votre association musicale, vous mettez donc les autres en danger, vous méprisez tous nos efforts, selon des considérations médicales pour lesquelles vous n’avez aucune formation. Sauf à vous prendre pour l’omniscience qui se suffit à elle-même.

    Bref, vous vous moquez implicitement des gens qui font des efforts d’adhérence aux consignes médicales de spécialistes. Et vous pérorez sur ce blog sur des sujets hors de vos compétences. Au lieu d’admettre que ce vaccin, sans être parfait, limite les morts et les malades graves, et facilite notre vie sociale, vous délirez sur le manque de traitements comme preuve par l’absurde de l’inutilité des vaccins. Dans le grand style des antivax incultes.

    Vous n’êtes pas vaccinée, mais vous êtes piquée.

    1. Par ailleurs, tout ce qui contribue à prolonger et étendre la circulation du virus augmente le risque de le voir muter plus dangereusement et pour tout le monde. Et la seule mesure à disposition maintenant, et pas dans un futur hypothétique et indéterminé, est la vaccination. Un jour il faudra bien que tous ceux qui ont oeuvré à saboter les mesures que nos autorités, sur conseils des experts en épidémiologie, ont voulu mettre en place, sans jamais proposer rien de concret et efficace à la place, répondent de leurs actions et de leurs conséquences!

  11. Et quand CEDH vous parlera de l’étude du Michigan, merci de le renvoyer à ces trois études beaucoup plus complètes:

    ttps://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7037e1.htm?s_cid=mm7037e1_w

    ttps://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7037e2.htm?s_cid=mm7037e2_w

    ttps://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7037e3.htm?s_cid=mm7037e3_w

    Les données issues de trois articles publiés par les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), principale agence fédérale de santé publique du pays, soulignent unanimement l’efficacité continue des vaccins anti-Covid contre les formes sévères du virus.

    La première étude a analysé des centaines de milliers de cas de Covid-19 dans 13 juridictions américaines sur la période du 4 avril au 19 juin, avant que le Delta ne prolifère, et les a comparés à des cas de contaminations du 20 juin au 17 juillet. Entre ces deux périodes, le risque qu’une personne entièrement vaccinée soit contaminée par le Covid-19 par rapport à une personne non-vaccinée a légèrement augmenté, passant de 11,1 fois moins de chances d’être infectée à 4,5 fois. La protection contre les hospitalisations et la mort est restée stable, mais a baissé davantage pour les personnes de 65 ans et plus, que pour les groupes d’individus plus jeunes.

    1. Il faudra bien l’admettre tous les vaccins ne sont pas égaux. Même la presse généraliste s’en fait l’échos en se référant à la compilation statistique du cdc que vous citez. Pour la citer :

      “Une autre étude, qui a analysé l’efficacité des différents vaccins entre juin et août dans plus de 400 hôpitaux, a déterminé que le sérum de Moderna était le plus efficace contre les hospitalisations (95%), que celui de Pfizer (80%) et celui de Johnson & Johnson (60%).”

      Or, 95 % d’efficacité relative (Moderna) c’est diviser par 20 le risque et, 80 % d’efficacité relative (Pfizer), c’est diviser par 5 le risque. Dès lors votre discours sur LES vaccins à ARNm tombe à plat, il n’y a pas d’efficacité DES vaccins.

      Celui qui se fait injecter du Pfizer sans être informé de la différence d’efficacité peut se sentir trompé et, à vrai dire, tant cet élément d’efficacité est objectivement important et parfaitement compréhensible il est plausible que son consentement n’est pas éclairé.

      La responsabilité de certains est donc pénale.

    2. J’ai attiré votre attention sur la différence d’efficacité des deux vaccins à ARNm contre le risque d’hospitalisation. S’agissant du risque d’être infecté vous nous dites qu’il est divisé par 4.5 avec les vaccins. Mais bon quels sont les résultats pour Pfizer et pour Moderna ?

  12. Merci Madame pour votre billet . J’ai choisi de ne pas accepter le ” vaccin ” , heureusement je connais quelques personnes qui ont pris la même décision car , depuis quelques semaines , les attaques sont virulentes et les pressions augmentent . On nous dit que le vaccin n’est pas obligatoire mais les restrictions importantes et non justifiées sont difficiles à supporter . Personnellement , ayant de petits moyens , je ne suis pas ” punie ” et puis … découvrir les beaux paysages de notre pays avec le pique-nique dans le sac à dos c’est génial 🙂 mais je peux comprendre la frustration de personnes qui ont besoin d’une vie sociale et culturelle . Cependant , je déplore le fait que des citoyens ( nes ) acceptent ce traitement uniquement pour pouvoir aller au cinéma, restaurant , concert etc…car Il n’y a aucun recul quand aux éventuels effets ” indésirables ” de ce produit expérimental … et la prudence ? Pour terminer , je vous remercie pour vos participations chez les ” Beaux Parleurs ” j’apprécie vos paroles pleines de bon sens …même si je ne suis pas toujours d’accord avec vos propos ! Avec mes salutations les meilleures .

    1. Ce n’est pas un vaccin “expérimental”.

      Et le vaccin fonctionne:

      ttps://mobile.twitter.com/GuillaumeRozier/status/1436603800769400832

      Je suis fatigué de vous lire tou.te.s. Je suis fatigué que ma classe d’âge fasse des efforts pour vous. Je suis fatigué que votre égoïsme oblige le CF à introduire un passe vaccinale à notre détriment. J’ai perdu le respect dû aux aîné.es complotistes ou antivaax.

      Je vais défendre l’idée auprès des parlementaires que l’AVS doit être supprimée pour les non-vaccinés. Vous voulez vivre dans l’égoïsme et l’individualisme? Assumez et vivez avec votre 2e pilier et vos économies. Marre de payer pour vous. Vous avez détruit la Terre, épuisé nos ressources naturelles, appauvri notre pays… et vous êtes même pas fichus de faire l’effort d’une vaccination ?

      Tant pis pour vous.

      1. Combien coûte le campagne de vaccination actuelle?
        Et qui paie?
        Merci qui 😉
        Ne plus avoir de respect pour vos aînés, c’est manquer de respect pour vous-même.

      2. Laisse tomber.

        T’es vacciné, t’es protégé d’une forme grave;
        S’ils te contaminent, tu auras une protection naturelle + vaccinale;

        S’ils veulent souffrir dans les couloirs ou sur le parking d’un hôpital, voire y mourir, c’est leur choix. On y peut rien. Une minorité préférera toujours le confort à la solidarité; la frivolité aux responsabilités.

        En tout état de cause, ils ont choisi leur destin. Que les médecins et le personnel soignant leur viennent en aide.

        Et, heureusement, beaucoup échapperont naturellement à des formes graves. Laissons-les alors pleurer leurs proches qui n’auront pas cette chance.

        Fin de mes messages sur les blogs du Temps (à CEDH, 👋). J’espérais contribuer à éviter l’introduction du passe. Votre égoïsme aura été le plus fort. Longue vie à tous. 🖖

        Je me sais protégé par le vaccin et les gestes barrière. Que vos croyances et vos certitudes vous viennent en aide cet hiver. 🏯🌡🌬

      3. “Et le vaccin fonctionne”. De quel vaccin parlez-vous ? Mais pensez-vous vraiment que Pierette soutienne les mesures que vous décriez ? Curiosité : quelle est votre classe d’âge ?

      4. Est-ce que vous vous rendez compte de l’absurdité de vos propos? J’imagine que non.
        C’est une vaccin expérimental, il n’a que six mois d’application!
        De plus, personne ne peut donner de garantie sur les effets secondaires à long terme et ça c’est un fait.
        En conclusion chacun est libre de prendre la décision qu’il veut pour lui même, sans jugement à l’emporte-pièce tel que le vôtre.

        1. En tout cas, ma décision, c’est que je préfère de loin un vaccin, aussi expérimental soit-il (si vous le dites, c’est que c’est vrai, non?), que d’expérimenter un séjour sous respirateur aux soins intensifs. Il paraît que c’est très désagréable (même s’ils vous plongent dans un coma artificiel durant lequel paraît-il on ne souffre pas).

          1. Donc vous êtes un vieux cherchant à terroriser les jeunes qui envisage la possibilité de finir sa vie avec une maladie auto-immune en toute sérénité.

      5. Mais de quelle classe d’âge parlez-vous donc ?
        La personne à qui vous répondez n’a pas 40 ans, vous ne payez pas l’AVS pour elle.
        Les 65+ représentent le taux de vaccinés le plus élevé. Ce sont leurs enfants qui boudent le vaccin, ces “grands enfants” sont vos parents.
        Bien que la classe des plus jeunes n’aient jusqu’ici pas encore payé beaucoup d’AVS, je reconnaîs qu’ils contribuent déjà en payant la TVA sur les planches à roulettes, la limonade, les sucettes… Et ils commencent enfin à se vacciner pour qu’on ne leur supprime pas la permission du samedi soir !

      6. Quant à moi, je suis fatigué de toutes ces réactions gonflées de ressentiment, qui accusent arbitrairement les personnes qui réfléchissent avant d’agir, d’égoïsme et de complotisme (quel concept stupide!) et qui en appellent à un punition collective scandaleuse: nous avons tous et toutes payé notre AVS en puisant dans le revenu de notre travail …Une telle sanction succomberait au comble de l’immoralité. SVP, allez prêcher votre rancœur dans un autre contexte. Vous n’y apportez rien, strictement rien.

    2. …et vous êtes bien sûre que la Covid est sans effets indésirables? Lorsque je regarde les chiffres de surmortalité, et les effets des complications du virus sur le corps humains, je me dis que j’aimerais partager votre optimisme…

  13. J’ai toujours adoré Suzette Sandoz .
    La pertinence de ses propos, ses réflexions bien mûries, son humour parfois très 2e degré et son bon sens m’ont souvent fait réfléchir à mon tour.
    Sauf que maintenant, je me trouve à l’opposé de ses convictions et m’interroge….
    Pourquoi tant de jugement, d’incompréhension, de rigidité obsessionnelle ? Après quel cliché, quel fantasme désuet de “la petite famille dans la prairie” la droite et l’ultra-droite croient-elles encore ? Quelle méconnaissance de l’homosexualité, et quelles peurs peuvent engendrer un refus si catégorique?
    Les enfants des familles homoparentales dont je m’occupe, croyez-moi, se portent bien, voire très bien… Quant au comble de l’horreur dont traite ce blog, j’ignorais tout de cette possibilité et ai beaucoup de peine à imaginer dans quel cas de figure on pourrait être amené à la choisir.

  14. Pourquoi n’y a-t-il pas encore de remèdes contre le Covid mais que des “vaccins” ?

    Et bien, parce que s’il y avait des remèdes, Big Pharma n’aurait pas la permission de commercialiser ses produits expérimentaux (car non testés et approuvés selon les règles de l’art). Les médecins ont interdiction d’essayer de traiter leurs patients avec ce qui leur semblent potentiellement utile (certains médicaments sont interdits). Les patients ne sont pas aidés et si leur état de santé se dégrade jusqu’à un certain point, ce sont les hôpitaux surchargés (on a diminué leur nombre de lits depuis des années pour des raisons d’économie) qui les prennent en charge. C’est malheureusement souvent trop tard pour un certain nombre d’entre-eux. Les vaccins sont ( ou doivent être) la seule alternative.

    Pourquoi est-ce que chaque fois que des professeurs, des scientifiques ou des médecins veulent parler d’une solution éventuelle comme traitement, ils se font insulter par leurs pairs ?

    Parce que leurs pairs ont soit des conflits d’intérêt avec Big Pharma, soit sont incompétents ou soit ont peur de ce qui pourraient leur arriver s’ils n’adoptaient pas cette attitude.

    Comment suit-on les personnes vaccinées ?

    On ne les suit que quelques minutes après l’injection et on se fiche ensuite complètement de ce qui pourrait leur arriver.

    Comment restaurer la confiance ?

    Cela n’arrivera jamais chez la minorité qui refuse de se prêter à cette expérience (cela en est bien une). Quant aux vaccinés, ils garderont confiance tant qu’ils auront l’impression que les produits qu’on leur à injectés les protégent d’une certaine manière. Si par malheur, cela devait changer un jour, non seulement ils perdront confiance mais ils deviendront aussi furieux…

    Bon, c’est mon avis personnel qui ne compte guère…

    Bien à vous et merci !

  15. Bonjour Mme Sandoz
    Comme toujours, des propos mesurés et des interrogations légitimes. Bravo et merci pour vos prises de paroles!
    Il n’y a plus rien de raisonné du point de vue décisionnel, nous sommes rentrés dans l’ère de la défiance à l’égard des politiques et des médias, dans une société de clivages où les hommes « s’exécutent » entre eux sur des places publiques prévues à cet effet( des réseaux sociaux de médias, à la Tv, dans des journaux etc.), dans une ère où la croyance est vendue par nos politiciens, véhiculée par nos médias comme des certitudes pour être demontées qq temps plus tard et proposées qq semaines plus tard sous une autre forme, ni vu ni connu. L’histoire juge bien souvent le cours des choses et je ne serais pas étonné que certains médias Tv, la presse, que des politiciens genevois, zurichois se retrouvent face à des batailles juridiques concernant leur responsabilité morale dans cette sombre crise sanitaire. Entre temps certains organes de presse comme Le Temps n’existeront plus vu la déperdition du lectorat, les baisses toujours plus importantes des revenus publicitaires et la piètre qualité des contenus. Il faudra héberger votre blog ailleurs 😊

  16. Madame Sandoz, je vous félicite et j’aime beaucoup vous lire, car vous posez toujours les bonnes questions. Je suis cent pour cent d’accord avec vous, “pourquoi pas encore de médicament contre ce Covid”.
    On jurerait que si tout le monde pouvait guérir, les dirigeants n’auraient plus de moyens de pression sur le peuple, et qu’ils reculent toujours plus cette alternative !
    Je suis contre ce vaccin, mais si je veux continuer à pouvoir faire des sorties avec mes amis, (resto, Musées, etc), je vais devoir y passer, ou alors manger un sandwich sur un banc près du restaurant où seront les autres. J’ai plus de 60 ans et veuve, donc, si je ne me vaccine pas, je me coupe de mon réseau social. Et faire un test à chaque sortie… Non.
    Merci encore de vos messages et meilleures salutations.

  17. Sur votre première question, je peux répondre que, contrairement aux lois, une médicament ne s’élabore pas sur la base de la seule pensée. Il faut qu’il fonctionne sans être nuisible au patient.
    L’OMS répertorie plus de 5000 études sur le Covid (ttps://clinicaltrials.gov/ct2/who_table). Il se trouve que ce sont les vaccins qui sont les plus prometteurs.
    En fait, les premiers vaccins sont bien plus anciens que les premiers antibiotiques.
    Il y a bien des maladies pour lesquelles il n’y a pas de médicaments et qui ont été presque éradiquées grâce au vaccin (Variole, polyomyélite, fièvre jaune…). L’avantage principal du vaccin, c’est qu’il utilise les moyens naturels du corps humain pour se défendre contre les virus: l’immunité acquise. Au lieu de lutter contre le virus, on donne sa photo au système immunitaire pour que celui ci prépare les armes avant d’être attaqué.

    Quant aux insultes, ce n’est pas mon domaine.

    La phase III est la phase pendant laquelle on démontre l’efficacité et la sureté du médicament. Pour le vaccin Pfizer, elle concerne 43 000 personnes qui sont suivie selon un protocole vérifié par les autorités pendant 3 ans. Les premiers résultats ont montrés que le rapport risque/bénéfice était assez favorables au vaccin pour qu’il soit commercialisé et j’imagine qu’ils continuent pour pouvoir détecter des éventuels effets à plus long terme. Ce suivi est très exigeant, on suit aussi des personnes qui n’ont pas reçu le vaccin pour pouvoir repérer ce qui vient vraiment du vaccin.
    En parallèle, la phase IV concerne toutes les personnes vaccinées et les effets secondaires sont signalés et analysés pour repérer des effets trop rares pour avoir été identifiés en phase III. Cette analyse est moins précise parce qu’elle ne peux pas être planifiée pour isoler les effets du vaccin, par contre elle concerne maintenant près de 1 milliard de personnes vaccinées.

    Pour la confiance, c’est plus compliqué. D’un côté, il faut informer, de l’autre on est inondés d’informations péremptoires et invérifiables.
    Pour ma part, je tends à faire confiance à notre gouvernement qui est responsable de ses actes devant la population et cherche les meilleures solutions avec l’aide des experts.

    1. Les études de phase III ont été deblindée (ne sont plus en double aveugle) dès le courant du deuxième trimestre. C’est dire qu’ il n’existe plus d’étude de phase III digne de ce nom. Cela rend nettement plus difficile la détection des effets secondaires délétères tardifs (s’il en est). D’ailleurs le politique américain a montré qu’il s’en foutait au nom de l’économie et des élections de midterm.

  18. Bravo Mme Sandoz, malheureusement il manque beaucoup de politiciens comme vous qui posent les bonnes questions. Malheureusement la presse semble aussi complètement anesthésiée sur le sujet et bien d’autres aussi. Merci à vous

  19. S’il était facile de développer un médicament pour soigner la Covid-19, vous pensez bien que cela aurait déjà été réalisé; un médicament peut être vendu très cher et rapporte donc bien plus qu’un vaccin à une firme pharmaceutique.
    Et puis, pourquoi feriez-vous plus confiance à un médicament question effets secondaires qu’à un vaccin? Combien d’années faudrait-il ici aussi attendre pour être sûr qu’il n’y a pas de graves effets “à retard”?!

    1. Merci monsieur Haldi !

      À Mme Sandoz :
      Connaissez-vous beaucoup de traitements curatifs efficaces contre des maladies virales telles que la rougeole ou la grippe ?
      Autres que pour soulager les symptômes, qui sont aussi utilisés contre le covid, t.q. Paracetamol ou similaires (Dafalgan, Neo Citran, …)

      D’après mes lectures, il n’en existe pas pour la rougeole et les 4 existants pour la grippe sont peu efficaces, très chers car difficiles/longs à produire, ont aussi des effets secondaires et les virus développent également des résistances contre ces molécules.
      Ah, et j’allais oublier : certains de ces traitements ont aussi reçus une autorisation d’urgence lors de la grippe aviaire, avant que toutes les phases de tests ne soient terminées…
      Enfin, le Remdisivir est autorisé en Suisse depuis juillet, mais ce n’est pas non plus une solution miraculeuse.
      Votre allégation qu’il n’y a aucun traitement est donc fausse !

      Merci donc de mieux vous informer et/ou de cessez de propager la désinformation et déformer la réalité.

    2. A Pierre-André Haldi: Les médecins ont testé sur les malades du Covid des médicaments bon marché dont les effets secondaires sont parfaitement connus, car ces médicaments sont utilisés depuis longtemps pour d’autres maladies. Et ces traitements précoces fonctionnent dans d’autres pays, alors pourquoi sont-ils ignorés en Suisse ? Car en Suisse il a été décidé de vacciner toute la population et les autorités ne veulent plus modifier leur décision. C’est consternant ! Il y aura donc une 3e dose, puis une 4e dose, etc …

  20. Pourquoi pas de médicaments ? C’est très simple: les vaccins rapportent beaucoup plus ! Toute la population est à vacciner mais seulement les malades vont recevoir un médicament ! Aussi simple que cela !

    1. Ridicule.

      Vaccin: 20 $, moins encore pour le Tiers monde (astrazenica indien)
      Traitement: minimum 2000 $ + soins médicaux + examens… par consultation.

      Raoult facture p. ex. 1264 euros par consultation, pour un traitement inutile..

      1. Sauf que tous recevrons le vaccin… et plusieurs fois (2, 3, 4, 5x).
        Et les plus malades d’entre nous – aussi les vaccinés – finiront toujours à l’hôpital. Si c’est pas pour le Covid, ce sera pour un cancer ou pour un problème cardiaque.
        Chaque effet secondaire, ce sont de nouveaux clients pour de nouvelles thérapies.
        Donc les pharmaceutiques savent bien calculer. Je ne me fais pas de souci pour eux.
        On nous dit que les non-vaccinés encombrent les hôpitaux. J’aimerais bien voir les statistiques.
        Combien de non-vaccinés à l’hôpital tous départements confondus?
        A ceux qui le contestent: donnez-nous les preuves de vos affirmations populistes (les non-vaccinés coûtent cher).
        Pour l’heure, c’est les mesures folles du gouvernement qui coûtent des dizaines de milliards et cela n’est pas fini. Tout cela finira par une crise économique et une inflation terrifiante dans quelques mois ou années.
        Pourquoi en est-on arrivé là? Parce qu’on voulait en arriver là. C’est aussi simple que cela.
        Il faut voir le reportage d’Arte sur BlackRock.
        Par ailleurs, les 4 vaccins anti-Covid vendus dans nos contrées sont finalisés par une seule et même entreprise, Catalent.
        ttps://en.wikipedia.org/wiki/Catalent

      2. Ah bon, vous avez trouvé un médicament générique à 2000 $ ou 1264 € ? Et vous n’avez pas l’impression de vous êtes fait avoir ? ^^

  21. Merci pour ces paroles si justes en ces temps de folie. Sommes-nous retournés au moyen âge? Une chasse au sorcières contemporaine où l’on musèle ou puni les gens qui osent remettre en question l’ordre établi.. La soif de contrôle et de pouvoir prend le pas sur le bien-être et la liberté humaine.

    1. Au moyen-âge, il n’y avait ni médecine moderne ni vaccin. On pouvait mourir d’un mal de dents. La vie était dure et chaque avancée scientifique était accueillie avec soulagement et espoir.
      Aujourd’hui que la modernité rend la vie facile, les gens prennent leur santé pour acquis, si bien qu’ils refusent les traitements modernes! Ils ne se rendent même plus compte que leur bonne santé repose toujours sur les avancées de la science moderne!

      1. Vous récitez votre leçon bien apprise lors de ces 18 derniers mois. C’est votre droit. Il n’empêche que la comparaison de Cynthia avec la période de l’Inquisition est fort à propos.

        Je constate que les gens qui n’ont pas assez de spiritualité propre tendent à la remplacer par une foi aveugle et excessive en la science. La science n’est qu’un outil. On peut en faire le meilleur mais aussi le pire. L’être humain est avide d’argent et de pouvoir et cette avidité ne connaît pas de limites. On ne peut pas ignorer cela et espérer béatement que tout ira bien et que la science nous sauvera. Enfin, on peut, mais c’est ignorer la réalité et le réveil sera brutal.

        1. Je n’aime pas non plus l’atmosphère actuelle qui crée des tensions qui sont dommageables pour la société. Je trouve l’article du Temps sur l’ouvrage de Barbara Stiegler très à propos.

          Toutefois, je constate ceci : remplacer “spiritualité propre” par “connaissances scientifiques” et “science” par “religion” dans votre 2e paragraphe ; vous verrez que ce n’est pas enviable non plus. C’est la religion qui est à l’origine de l’Inquisition, pas les sciences.

          Je précise que je ne suis pas athée. Je fais confiance à toutes les personnes autour de moi (>40) qui ont été vaccinées, certains depuis janvier, qui n’ont eu que des effets secondaires bénins et transitoires (12-48h), et qui n’ont pas dû être hospitalisés (ni à cause du covid, ni à cause du vaccin).

        2. C’est-à-dire que pour la médecine et la pharmacologie moderne, la Covid est une affaire pratiquement résolue. Le plus difficile est de changer les mentalités des gens qui croient que leur spiritualité va les protéger. Contre eux, la médecine moderne ne peut hélas rien. Les malades non-vaccinés qui arrivent à l’hôpital en détresse respiratoire y laisse souvent la vie. Hé oui ma foi…

  22. Article parfait ! Bravo ! Il paraît que si un vaccin est en phase de test (aujourd’hui, les vaccins à ARNm sont en phase conditionnelle, donc encore en test) et qu’ un traitement est trouvé et approuvé, le vaccin doit être retiré… on peut imaginer les énormes pression des fabricants de vaccins contre un quelconque traitement.

    1. D’où vient cette idée saugrenue qu’un vaccin devra être retiré si un traitement est trouvé?
      Le vaccin devra être retiré s’il perd son efficacité ou si des effets secondaires le rendent trop dangereux.
      L’apparition du traitement donnerait simplement plus de choix quand à la stratégie de lutte contre le virus.
      Il est possible que Pfizer ou Moderna ne cherchent pas un traitement qui entrerait en compétition avec leur vaccin; mais il ne peuvent pas empêcher leurs concurrents de commercialiser un traitement qui serait efficace.

    2. “on peut imaginer les énormes pression des fabricants de vaccins contre un quelconque traitement.”

      Sauf pour le fabricant qui aura trouvé ledit médicament… Vous l’aurez compris: la pression vient surtout de la concurrence; elle les pousse tous à essayer d’être le premier à découvrir un traitement, quel qu’il soit.

  23. Chère Madame, pour votre information il existe un médicament qui est en cours d’homologation par la FDA aux USA. Il s’agit d’un médicament déjà connu pour une autre application dont le nom générique est Aviptadil et dont le détenteur du brevet est une société genevoise Relief Therapeutics SA. Lorsque la FDA donnera le EUA (emergency use approval) Relief demandera l’autorisation de l’EU (EMA) et également de Swissmedic.
    Il y a également d’autres médicaments en demande d’autorisation de la FDA.
    Attendons la réponse de la FDA sans présumer de l’issue positive ou non et espérons que l’un de ces médicaments soient autorisés pour le bien des milliers de patients.

  24. Qui a dit ” la Vérité n’est qu’un mensonge qui a longtemps servi ” et ” le Sage montre la lune du doigt, l’imbécile regarde le doigt ” ….

    ah et puis un excellent vaccin pas neuf du tout celui-là:

    “la fabrication du consentement” Chomsky, Herman

    1. « Le Sage montre la lune du doigt, l’imbécile regarde le doigt » : Citation d’Alain Mabanckou, toute la sagesse de l’Afrique que vous appréciez à sa grande valeur, dans le cas présent pour désigner de votre doigt les imbéciles qui ne détiennent pas votre « savoir ».

      Et puisque vous vous intéressez aux vaccins atypiques, il y en a un auquel vous ferez certainement confiance, le Rivella de Madagascar, promu par le président de l’île, et présenté dans ce journal par un sage en complet marron qui pète la santé. Commandez vite votre bouteille, les stocks ne sont pas encore épuisés !

      Le blog de Tidiane Diouwara / « Remède contre le Covid-19 : et si la solution venait d’Afrique ? » / 8 mai 2020.

  25. Il est intéressant de constater que les insultes et les menaces viennent toutes de la part de vaccinés. Le vaccin aurait-il un effet négatif sur la santé mentale de ces personnes?

    1. Bonjour et merci Françoise. Commentaire d’une grande justesse.
      … les vacciné(e)s, provax,…
      .. croient déjà avoir pris le pouvoir et avoir le droit de vie et de mort.
      …ils(elles) se croient encore invincibles alors que l’efficacité desdits vaccins a d’ores et déjà grandement été remise en question donc c’est très difficile à admettre et à digérer.
      L’effet « vacciné » est très similaire à l’effet « Captagon » (drogue de type amphétaminique donnant un sentiment de toute puissance et d’invincibilité, dont nous entendons à nouveau parler dans le cadre d’un gigantesque procès à Paris).

      Alors les membres de la CNE-NEK doivent s’arracher les cheveux en observant cette déferlante humaine « possédée » par le démon de l’éradication de leurs semblables.

      Portez-vous bien. Et merci encore pour votre élégante interrogation.

      1. Bonjour Eliane,
        Comment gagnerez-vous la guerre ? Comment sera la paix ? Après avoir souffert, puis repris des forces, pouvez-vous me décrire ce que vous espérez ? Les fous seront-ils punis ou guéris ? Leur donnerez-vous la main ? Ou peut-être viendront-ils tendre la leur, bien maladroitement et sans élégance…

        1. Bonjour ! Vous êtes philosophe Dominic et vos interrogations sont très pertinentes.
          Hélas, je suis nettement plus rationnelle et terre à terre, ma tombe ayant déjà été creusée de janvier à septembre 1970.

          Dans mon jeu d’échecs, le pion « diagnostic avéré » manquait cruellement. Le « fou médical » a donc pris l’avantage en toute impunité et en toute liberté. En m’enfermant dans une très haute « tour » d’effets secondaires cruels et indélébiles. Sans possibilité d’y échapper même en sautant comme un « cavalier émérite ».
          Les fous médicaux n’ont tiré aucun enseignement des dérives passées, ils continuent à foncer droit dans le mur de l’impasse, sans componction.

          Conclusions : Pas d’excuses + Pas de regrets + Pas de justice = Pas de pardon – Jamais. Ce sera ma victoire sur les grandes injustices de mon enfance. Telle une ronce épineuse et tout de rose fleurie sur un sentier battu.

          Au plaisir de vous lire encore + portez-vous bien. eab

    2. Vous ne vous rendez vraisemblablement pas compte à quel point l’idiotie des arguments des antivax peut être brutale et constitue une injure à l’intelligence. Si la stupidité de leur raisonnement est déjà une forme de violence pour l’esprit humain, les conséquences de leur choix de ne pas se faire vacciner est moralement criminelle. La 4e vague est celle des Covidiots (1).
      (1) Covidots – nom donné par les médias dans le monde entier pour désigner “celui ou celle qui n’a pas encore saisi la gravité de la pandémie de Covid-19 et le prouve par sa simplicité d’esprit” Le Temps, 2020-03-30.

  26. Merci Madame,
    Votre voix compte. Les “mainstream” créent un malaise et un clivage lorsque nous partageons, exprimons rarement des idées similaires aux vôtres. Je suis consternée de lire que les universités imposent un certificat covid, créant ainsi un clivage entre étudiants, le droit à l’enseignement sans ostracisme est fondamental.
    Votre voix compte et fait du bien. Merci

  27. Pourquoi il n’y a pas de remède contre la grippe, la polio ?
    La réponse est simple, c’est beaucoup plus difficile à créer.
    Ceux qui réussiront à faire un remède efficace toucheront le jackpot, pour le moment les résultats ne sont pas excellents (pas difficile à se renseigner sur les recherches).
    Vos insinuations me déçoivent venant de vous.

    Quant aux effets secondaires, vous oubliez de parler de ceux produits par le Covid lui même, la liste est longue, et beaucoup moins anodine que celle sur le vaccin.

    La réflexion biaisée n’apporte rien. Il faut toujours comparer sur les faits, par sur son émotion, ses convictions politiques ou religieuses.
    Quant à la peur, je peux comprendre, mais j’ai plus peur de l’impact du Covid, par exemple sur les vaisseaux sanguins, à court et long terme. En gros, votre peur ne va pas là où il faut.
    Ne pas se vacciner, c’est prendre un plus grand risque sur sa santé future.

    80-90% des gens du Covid aux urgences sont non-vaccinés. C’est du Darwinisme, la sélection naturelle entre 2 types de populations. Je respecte les choix, mais il ne faut pas demander aux vaccinés de se sacrifier pour une minorité qui joue à la roulette russe avec leur vie.

  28. Un peu pénible de voir ce genre de billet.

    Des centaines, peut-être milliers de Suisses ont reçu des anticorps monoclonaux, actuellement très chers actuellement mais efficaces contre l’hospitalisation.

    Il suffisait d’une brève recherche …

    ttps://www.rts.ch/info/sciences-tech/medecine/12417661-pour-diminuer-les-hospitalisations-un-traitement-contre-le-covid19-reserve-a-certaines-infections-precoces.html

    1. Pour les anticorps, il ne s’agit pas vraiment de recherche, mais d’application.
      Le principe est le même que pour les anciens sérum contre le tétanos ou les morsures de serpent. On fait fabriquer par d’autres les anticorps que notre système immunitaire fabrique naturellement une fois qu’il a identifié le virus, soit par hasard en étant contaminé, soit par le vaccin.
      Il faut donc vacciner quelqu’un, isoler les cellules qui produisent le meilleur anticorps puis permettre à ces cellules de se reproduire industriellement pour ensuite isoler les anticorps. Cela fait des années qu’on utilise ce type de médicament contre certains cancers. Il suffisait donc d’appliquer le principe et de vérifier l’efficacité, comme pour le vaccin. Toutefois cela reste un processus extrêmement coûteux par rapport à ce que chaque personne en bonne santé peut produire pour elle même, sans processus industriel, après une vaccination.

  29. Des amis de plus de 70 ans ont pris des anti-inflammatoires sous surveillance. Personne n’en parle ! Business business encore une fois !! !

    1. De quoi parlez vous?
      Un antiinflammatoire comme la Dexamethazone est reconnu comme traitement pour les malades graves du Covid (ttps://www.who.int/news-room/q-a-detail/coronavirus-disease-covid-19-dexamethasone). D’autres antiinflammatoires du même type ont probablement le même effet.

      D’autre part, comme la plupart des infectés du Covid n’ont pas besoin d’hospitalisation, on ne peut pas savoir ce qu’il serait advenu de vos amis sans les antiinflammatoires.

  30. J’aime beaucoup le ton juste et posé de votre article. Merci.
    Le clivage de la société et la violence des propos autant de la part des pro-vaccins que des anti-vaccins m’attristent profondément. Le rôle d’un gouvernement n’est-il pas d’unir son peuple? Or, si les mesures du Conseil Fédéral créent autant de discordances, ne faut-il pas se demander si les mesures actuelles sont réellement adaptées ? On entend beaucoup dire que les personnes “non-vaccinées” remplissent les soins intensifs mais depuis bientôt deux ans, personne ne semble vouloir aller à la source du problème. En 2020, l’EPFL a lancé le projet Blue Brain (ttps://actu.epfl.ch/news/a-machine-reveals-how-glucose-helps-the-sars-cov-2/) et le résultat de l’analyse a mis en lumière que le niveau de glucose dans le sang déterminait un COVID plus ou moins grave. Le taux de glucose dans le sang est influencé par ce que nous mangeons. Quand va-t-on se réveiller et comprendre que le vaccin n’est ni le problème ni la solution? Nous devons changer notre façon de nous alimenter et de consommer si nous souhaitons vivre en bonne santé et éviter les formes graves de toutes sortes de maladies. Je ne parle pas d’un régime alimentaire en particulier, je parle simplement de manger des vrais aliments, des aliments de qualité de la région et de saison que nous transformons nous-même. Non seulement nous ferions du bien à notre corps et notre santé mais en plus, nous ferions quelque chose en faveur du climat. Mais évidemment, changer sa façon de se nourrir et de consommer demande un certain temps d’adaptation, ne remplit pas les caisses des grandes industries et ne remplace pas la solution rapide et confortable qu’est un vaccin en phase de test. Dommage.

    1. L’un n’empêche pas l’autre! Pourquoi opposer le vaccin (qui n’est PLUS en phase de test!) à une meilleure façon de se nourrir et consommer? Faisons l’un ET l’autre et tout le monde ne s’en portera que mieux!

        1. @CEDH (—): C’est vrai, les ETUDES ne sont pas achevées (phase 3 en 2023 pour Pfizer), mais les tests de SECURITE pour savoir si on pouvait ou non utiliser les vaccins, oui! Que va par conséquent encore étudier Pfizer par exemple pendant deux ans supplémentaires? Le taux d’anticorps, son profil évolutif sur deux ans, l’efficacité à deux ans, etc. Mais ces informations ne sont absolument pas nécessaires pour savoir s’il est sûr de vacciner aujourd’hui. Si la phase 3 est encore en cours, c’est juste pour vérifier certains points précis sur l’EFFICACITE du vaccin. Et évidemment, comme pour TOUT médicament, les autorités sanitaires vont étudier chaque signalement d’effets indésirables du vaccin, et pas seulement pendant les deux années qui viennent, c’est ce que l’on appelle la pharmacovigilance; cela ne fait pas des vaccinés Covid des cobayes pour autant (Plus de 3,7 MILLIARDS de doses de vaccins contre le coronavirus ont déjà été administrées dans le monde et on a maintenant plus d’une année de recul!).
          De toute façon, je ne comprends pas ce que préconisent ceux qui mettent cet argument en avant. Combien de temps faudrait-il attendre “par sécurité” avant d’utiliser un vaccin ou un médicament? Cinq ans? Dix ans ? Plus encore (je constate d’ailleurs que ce délai a tendance à être repoussé de plus en plus loin quand les “antivax” constatent que rien de grave ne s’est passé après quelques semaines, quelques mois, et maintenant plus d’une année! )? Et pendant ce remps, le virus, lui, circulerait librement et largement et aurait toutes les “chances” de ce fait de muter encore plus dangereusement. Belle “solution” en effet!

          1. Il est évident qu’aucune forme de médication n’est absolument pas privée de risques, sauf à n’être que de la poudre à perlinpinpin. Ce que la plupart des opposants reprochent aux autorités, qui ne sont pas plus compétentes que vous et moi, c’est la façon brutale et chaotique dont ils exercent leur chantage à la vaccination. C’est une sorte de stalinisme soft, qui ne ressemble en rien aux traditions les plus dignes de la Confédération. Je suis décidé à me vacciner, mais je ne supporte pas aisément que des proches, qui n’ont nul besoin de ce blanc-seing soient mis inutilement sous pression et victimes, directement ou indirectement de sanctions. Il existe des antibiotiques qui soignent des maladies hautement contagieuses. Il n’existe pas encore, sauf erreur de ma part, de décrets qui obligent à les prendre préventivement ou à se vacciner contre les bactéries concernées. On me rétorquera que la situation née du Covid est d’une autre nature et qu’elle pourrait nous décimer jusqu’au dernier. J’accepte l’objection, mais ce n’est pas encore une raison pour traiter la population comme un troupeau. Les effets de cette méthode sont contre-productifs, nous le voyons bien. L’Etat veut nous défendre contre nous-même. quelle excellente disposition!

  31. Une fois n’est pas coutume, Mme Sandoz revient sur un sujet qu’elle ne maitrise pas du tout :
    La potion magique du Dr Raoult n’a pas fonctionné , comme d’autres médicaments utilisés pendant la première vague . Des dizaines de spécialistes sont venus sur les plateaux télé tenter d’expliquer puis se contredire …
    Les médicaments sont en général impuissants contre les virus , c’est pourquoi , la médecine préfère utiliser une autre stratégie consistant à anticiper les défenses immunitaires en simulant une attaque avec le vaccin , moins virulent que la maladie .
    Mme Sandoz n’a toujours pas compris la différence ….

    1. “La potion magique du Dr Raoult n’a pas fonctionné”

      Vous récitez la doxa. Dans les faits, l’IHU de Marseille continue le traitement depuis lors (cf leur compte youtube) et avec des bons résultats. Mais il faut cacher ce qui dérange le big business. Mais vous avez le droit de penser que les spécialistes de plateau-télés sont plus légitimes que ceux qui soignent vraiment.

  32. Vous posez vraiment les bonnes questions Madame. Un organisme de pharmacovigilance oui encore le faudrait il indépendant ! Loin de tout conflits d’intérêt ! Ce qui n’est pas le cas de Swissmedic ! Ces vaccins sont un sujet tabou pas de débat pas de critiques sinon des insultes! Drôle de science….

  33. Chère Madame,

    Merci pour votre article et vos questions pertinentes; ce qui me perturbe, c’est qu’aucun de nos édiles semblent s’en soucier, laissant notre pays glisser vers de plus grandes et hazardeuses tensions. Ne sont-ils pas élus pour garantir le bien du pays et la paix sociale ?

    Respectueusement,

    Michel Vernaz

  34. @ Suzette Sandoz
    Vous soutenez la vaccination contre la grippe, mais celle-ci évolue.
    ttps://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2019/2019-11-04-23-30-00
    Sincèrement, cette fuite en avant vers “toujours plus de protection”, je n’y crois pas une seconde.
    On pourrait dire que ce nouveau vaccin anti-grippal a été un succès en Amériques, vu que la grippe a quasiment disparu en 2020. Sauf que les résultats ont été catastrophiques avec le Covid.
    A la fin, le système immunitaire humain est pollué de tant de produits, qu’il ne fonctionne plus correctement.
    Et ce n’est pas l’industrie pharmaceutique qui va s’en plaindre, vu qu’elle devient toujours plus indispensable pour nous vendre des remèdes et des vitamines !
    Il n’y a pas de solution miracle, mais diminuer l’utilisation de produits pharmaceutiques est un pas dans la bonne direction. On le sait depuis longtemps avec les anti-biotiques. Viendra un temps où on le comprendra aussi avec les vaccins, qui sont une idole de la médecine contemporaine.

    1. “A la fin, le système immunitaire humain est pollué de tant de produits, qu’il ne fonctionne plus correctement.” Voilà qui mérite preuves et développements.

      1. Comme pour le tabac? Comme pour le glyphosate? Comme pour l’amiante?
        Les preuves arrivent du terrain, mais avec bcp de retard, quand les personnes sont irrémédiablement atteintes dans leur santé.
        Je préfère changer de logique. C’est en cours dans l’agriculture, mais il en a fallu du temps.
        Malheureusement, dans le domaine médical, les enjeux financiers et les conflits d’intérêts sont bcp plus importants. Et il est très difficile de changer un écosystème économique toxique.

          1. Les précuseurs de l’agriculture bio n’ont pas attendu les résultats sur les herbicides pour changer d’état d’esprit.
            Libre à vous d’attendre.
            Et si vous voulez des indices, vous pouvez toujours lire les notices d’emballages des produits en question.
            Par ailleurs, puisque vous prétendez vous appuyer sur du concret, fournissez-moi les données et les études qui indiqueraient que les personnes vaccinées contre la grippe sont en meilleure santé que les non-vaccinés dans une tranche d’âge comparable.
            Le système immunitaire est un équilibre complexe. Il est beaucoup plus facile de l’abîmer que de le réparer.
            Après, quand il s’agit de personnes âgés, on dit que c’est l’âge et qu’on n’y peut rien. Un alibi en or pour l’industrie. La mort règle tous les problèmes comme disait le camarade Staline.

        1. Bonjour et merci Samy …. Complètement d’accord avec vous.
          Pharmas = Business un jour, business toujours.
          Seulement les statines = un marché d’au minimum 40 milliards de CHF qui ne sera pas abandonné si facilement c’est évident, malgré tous les avertissements.
          Mais encore je cite un extrait d’un très pesant document d’alerte destiné aux patient(e)s: « afin d’augmenter leurs ventes, une dizaine de laboratoires ont créé ce que l’on appelle des « MARQUES OMBRELLES ». Cette stratégie consiste à commercialiser des produits différents en s’appuyant sur la notoriété d’un leader …. ». Un extraordinaire système pour vendre et faire consommer encore plus. Nul besoin de citer les noms génériques des produits. C’est simple comme bonjour.

          Pour ma part, je ne comprends pas comment en 2021, les patient(e)s se comportent encore et toujours comme de gentils moutons blancs efficacement tondus par les coûts d’une masse énorme de produits toxiques, souvent tout à fait inutiles. C’est presque du masochisme.

          Je ne parle pas ici des produits vraiment utiles et absolument vitaux sur prescription.
          Je parle des excès sur une courbe ascendante qui n’en finit pas de grimper – grimper – grimper.

          Bonne fin de journée, eab

  35. Personne ne connaît les résultats de la recherche concernant un éventuel médicament contre le Covid car ni les scientifiques, ni les médias ne communiquent à ce sujet et c’est vraiment dommage.
    Pour ma part, j’ai de la peine à comprendre les dernières mesures prises par nos Autorités. Des milliers de personnes assistant à des évènements sportifs ou à des manifestations sans masque et surtout collés les uns aux autres. Même si ces personnes sont vaccinées ou testées, le risque de contamination est bien réel.
    Par contre, l’habitué du bistrot du coin ne peut plus aller boire son petit café sans décliner son identité et son passe-sanitaire. Cela donne l’impression de deux poids, deux mesures.
    Chacun devrait réfléchir à tout cela. Sur le plan de l’éthique, le passe sanitaire pose de sérieuses questions et notamment, la suivante : Dans quelle société voulons-nous vivre ? une société où les gens se méfient les uns des autres et où la délation est vivement encouragée ? Je pense qu’il y a un juste milieu. Ce que l’on constate actuellement et cela m’a été relaté par plusieurs personnes, ce sont des membres d’une même famille qui n’abordent plus du tout le sujet Covid et pire encore des amis de longue date qui ne se parlent plus. Pour ma part, j’ai 64 ans et je dois faire le triste constat que c’est la première fois que nous ne pouvons plus communiquer sur un sujet tant les gens sont sur les nerfs.

    1. Vous abordez plusieurs points.
      – les résultats de la recherche. Si vous allez sur le site de l’OMS, vous trouverez des listes de publications sur la recherche: ttps://search.bvsalud.org/global-literature-on-novel-coronavirus-2019-ncov/?output=site&lang=fr&from=0&sort=&format=summary&count=20&fb=&page=1&skfp=&index=tw&q=. Si on filtre sur texte intégral et SARS-CRV-2, il y plus de 13000 publications accessibles. L’information scientifique est disponible. Le problème, c’est que ni vous ni moi n’avons les moyens de tout lire et de tout comprendre. Il y a un travail immense pour communiquer les résultats de manière neutre et compréhensible. Avec les journaux et les réseaux sociaux, on a bien plus qu’il y a quelques dizaines d’année, mais on peut toujours demander mieux…
      – vous mettez en opposition les personnes participant à une manifestation et celles qui prennent un café au bistrot. En fait, elles ont toutes la même obligation de montrer leur identité et leur passe sanitaire.
      – il est vrai qu’il y a des tensions entre personnes et que dans certains contextes, on évite d’aborder le sujet du vaccin. C’est regrettable mais c’est à chacun d’essayer de calmer le jeu et de partager ses peurs et ses convictions sans colère ni insulte. Il ne faut pas oublier que le but principal, c’est d’éviter que trop de personnes se retrouvent en soins intensif ou au cimetière. Il n’y a malheureusement pas de réponse toute faite en noir et blanc.

      1. @M. Moret,
        Cher Monsieur, vos arguments sont intéressants. En effet je pourrais me documenter davantage sur la recherche en cours concernant les médicaments sur le site de l’OMS. Je l’admets volontiers. Toutefois, je considère que les médias pourraient déjà filtrer certaines informations. Ils l’ont bien fait concernant les divers vaccins. Cela nous aiderait. Ensuite, vous pensez que j’oppose les personnes qui assistent à une manifestation avec la personne qui va boire un café au bistrot du coin. Ce n’est vraiment pas mon intention. Je voudrais simplement rendre attentifs que lors de ces manifestations, les gens ne prennent plus aucune précaution. Nous savons que même vaccinés, nous pouvons quand même contaminer ou être contaminés. Même si nous ne finirons certainement pas aux soins intensifs. Concernant les tests, il y a tout de même quelques trous dans la raquette, si je peux m’exprimer ainsi. Sur le dernier point, je le regrette sincèrement mais j’ai été souvent déçue lors de conversations sur le sujet qui nous occupe car trop de gens ont une vision binaire de la situation. Par exemple, à titre personnel je suis vaccinée mais je me permets d’émettre quelques réserves sur les mesures qui ont été prises par nos Autorités depuis le début de cette pandémie ou si j’admets comprendre ceux qui sont réticents à la vaccination car ils ne sont pas rassurés, je vous assure que je me fais très mal recevoir, c’est le moins qu’on puisse dire. Le ton de mes interlocuteurs montent instantanément et il est impossible d’argumenter de manière constructive. C’est triste. Bien sûr, il reste des personnes avec lesquelles la conversation reste possible. Heureusement.

  36. Depuis le début de ce malheureux épisode de l’humanité, les statistiques nous ont embrouillé l’esprit. Chaque jour, chaque semaine, chaque mois, et pour chaque région du monde, quand ce n’est pas pour tel établissement ou tel autre, la presse nous sert des proportions de décès, de convalescents, de contaminés vaccinés et non vaccinés, jeunes ou âgés, hospitalisés, tout cela soigneusement consigné dans des rapports certifiés par des organismes sanitaires au-dessus de tout soupçon. Sommes-nous vraiment informés de cette manière ? Non point. En écho au refrain de Jacques Dutronc : « On nous cache tout, on ne nous dit rien, plus on en apprend, plus on ne sait rien ».
    Ce qui fait défaut à ce type d’information, ce sont des études qualitatives approfondies, qui prennent sérieusement en compte l’environnement ou le contexte des malades : vivre en EMS n’est pas la même chose que de vivre chez soi, à la maison, tant du point de vue diététique que du point de vue social. Travailler dans un bureau n’est pas une situation identique à celle des ouvriers sur des chantiers, ni encore moins à celle des agriculteurs. Étudier en faisant un apprentissage n’est pas comparable à ce à quoi est confronté un étudiant des hautes écoles.
    L’on m’objectera que de telles études exigeraient beaucoup de temps. Certes. Mais, en revanche, elles nous livreraient de précieux renseignements sur la vulnérabilité relative des sujets affectés par ce virus. Et puisque nous dépensons des milliards de francs pour financer des projets sans lendemain, ce type de réflexion ne serait pas un luxe et permettait de prendre des mesures plus sensées selon les cas rencontrés. Il ne serait pas nécessaire, dans cette perspective, de recourir à des formes de chantage pareilles à celles auxquelles nous assistons, ni même de généraliser à toutes sortes de catégories de la population des diktats (tel le confinement ou la quarantaine) qui ne sont probablement appropriés qu’à des situations extrêmes. Or, au lieu de cibler intelligemment les zones critiques d’infection, les autorités légifèrent sabres au clair, en brassant la population comme s’il s’agissait d’avalanches de sauterelles. Nous avons là affaire, en raison de l’interception d’hommes politiques sourds aux avis des médecins spécialisés en infectiologie ou en épidémiologie, à une médecine vétérinaire d’assainissement, non à une médecine humaine. Malheureusement, les pays voisins n’offrent guère de meilleurs exemples.

  37. Je tiens à préciser, en préambule, que je suis vaccinée et pas forcément une grande fan de ce forum.

    Mais, cette fois-ci, votre texte m’a interpellée. On pourrait y répondre, un peu rapidement, que la mise au point d’un médicament prend bien plus de temps qu’un vaccin. Oui mais un vaccin, normalement, ça prend aussi 10 ans !

    Le sens du compromis et la qualité ont fait le succès de la Suisse. La gestion de la pandémie reflète peu ces valeurs.

    La société est divisée. On s’engueule sur le thème du vaccin sans s’écouter ni se respecter. Toute question vous classe dans le clan des complotistes et les vaccinés sont des moutons pro-système. On risque ainsi de passer à côté de la vérité qui n’est ni d’un côté ni de l’autre.

    L’overdose de communication et d’indicateurs ne rassure pas: depuis deux ans, on affirme quelque chose puis on adapte quand le résultat annoncé n’est pas celui qui est escompté, laissant ainsi la place aux complotistes pour des théories délirantes.

    Il n’y aucune vision à long terme. Les incohérences dans les mesures et les questions sans réponse s’accumulent. C’est un vrai cirque ! Il serait plus simple de dire “on ne sait pas, on essaie”.

    Dans ce contexte, une obligation vaccinale même déguisée est peu acceptable. Même l’OMS contredit depuis un certain temps la stratégie choisie par nos gouvernements.

    La puce 5G de Bill Gates dans les vaccins, c’était assez amusant et efficace pour discréditer ceux qui pensaient utiliser la pandémie pour disséminer des idées politiques assez nauséabondes. Cela ne signifie pas que des conflits d’intérêts n’existent pas du côté des scientifiques et notamment des laboratoires pharmaceutiques.

    Le virus s’est visiblement installé durablement mais il existe plusieurs scénarios pour vivre avec. Il est donc grand temps de rétablir le débat démocratique et de laisser le choix aux citoyens sur le futur de leur société.

    1. @ADÈLE
      Votre commentaire est très subtil. J’y adhère à 100 % et je tire exactement les mêmes conclusions que vous. Il est vrai que cette overdose de communications n’est pas du tout rassurante. J’ai également constaté que nous ne pouvons plus du tout discuter sereinement. J’espère comme vous que nous arriverons à rétablir un débat démocratique mais parfois j’ai de sérieux doutes sur la question.

    2. Il y a vaccin et vaccin. Pour le sida, on n’a rien en quelque 40 ans. Pour la grippe, on a un nouveau vaccin chaque année, donc moins d’un année pour le commercialiser. Il n’y a pas de norme, mais le temps nécessaire pour mettre au point et vérifier le vaccin. Une chose qui prends du temps, c’est de trouver assez de personnes qui peuvent attraper la maladie pour vérifier l’effet du vaccin. Pour le Covid, nous avons eu de la chance que la méthode sur laquelle on travaillait depuis des dizaines d’année fonctionne bien et qu’il y ait un grand réservoir de personnes susceptibles d’être contaminées. En plus, les compagnies et les autorité ont mis un priorité sur ce vaccin au vu des circonstances. La rapidité de mise au point du vaccin n’est donc pas du tout un indice de mauvaise qualité.

      Avez vous comparé votre affirmation “les vaccinés sont des moutons pro-système” avec votre reproche “Toute question vous classe dans le clan des complotistes”.
      Si vous voulez du dialogue, il ne faut pas non plus classer les gens de manière arbitraire.

      Comment écoutez vous les discours des autorités? C’est plein d’expressions proche de “on ne sait pas, on essaie”. Personne ne sait. Tout le monde découvre au jour le jour et tente de trouver les meilleures solutions avec les informations à disposition, d’où des changement de cap de temps en temps.

      Si les vaccinations avaient continué au même rythme que celui du mois de juin, on ne parlerait probablement pas de pass covid aujourd’hui. Mais le conseil fédéral pouvait difficilement prévoir le nombre de ceux qui céderaient à l’attentisme ou à la peur du vaccin.

      1. Désolée du manque de clarté dans mes propos. Je ne crois pas avoir critiqué la qualité du vaccin mais plutôt le fait que si on a pu en développer si rapidement, d’autres voies pourraient maintenant aussi être explorées avec la même intensité. Comme vous le mentionnez, c’est une question de volonté à condition de décider de ne pas se fermer ces portes pour diverses raisons.

        La polarisation des opinions n’est qu’on constat basé sur ce que je lis sur les réseaux sociaux. Les termes choisis sont de simples extraits. On peut en trouver d’autres. Je bois souvent mon café en terrasse de bistrot: sujet fréquent dans tables autour de moi “Vaccin Covid”, résultat: le ton monte et ambiance souvent soudain plombée. Ce n’est qu’une observation.

        Quand aux certitudes des uns et des autorités, rappelons que la pandémie a commencé avec “le masque ne sert à rien”.. Certains politiciens Suisses se sont aussi illustrés à la TV avec des “ce n’est qu’une grippette, prenez un médicament anti-fièvre et ça va passer”. Depuis deux ans, on vit au rythme des affirmations parfois péremptoires infirmées quelques mois plus tard.

        Depuis que le vaccin est disponible en Suisse, c’est devenu LA solution. Votre dernier paragraphe en est une bonne illustration. Or en Israël, on commence à admettre qu’après 5 mois déjà, les effets ne sont plus suffisants pour éviter une hospitalisation. D’où une campagne de rappel avec une 3ème dose qui tiendra peut-être jusqu’à ce que les laboratoires proposent une nouvelle version.

        Le “Pass” est devenu une obsession tant les autorités ont martelé que c’était le seul moyen de revivre “comment avant”. Les décisions du gouvernement ne reflètent d’ailleurs plus vraiment une attitude de doute. Résultat observé dans un groupe de 50 personnes (dans les classes à risque) récemment: “Allez, on a tous notre pass, on peut se refaire la bise”. Quant à l’efficacité du “Pass” pour endiguer la propagation dans des grands rassemblements ? En fait, on ne sait pas vraiment et on verra.

        Je ne suis pas certaine que c’est comme cela que la population a compris les promesses du gouvernement. Il risque donc d’y avoir des déceptions d’ici 6 mois.

        Cela ne signifie pas, et vous avez raison de le relever, qu’un vaccin ne fasse pas partie de la solution. Peut-être qu’un peu d’humilité d’entre-aide et d’écoute seraient un bon complément pour se donner collectivement ainsi un maximum de chances face à ce virus.

    3. Je suis foncièrement en accord avec vous sur la manière dont il faudrait se conduire. Mais pourquoi revenir sur le coup avec un anathème que vous discréditez par ailleurs en désapprouvant les citoyens qui s’étripent en ayant recours à tous les poncifs imaginables: des “complotistes”!!! Pour ma part, je n’ai rencontré , parmi les opposants et les hésitants, que des personnes qui craignent les effets à long terme du médicament ce qui se justifie en partie par la virulence de ce qu’il est censé combattre. C’est facile, au fond, de se retrouver du “côté sûr” de la montagne. Mais cela doit-il exclure pour autant un minimum d’empathie pour ceux qui se trouvent sur l’autre bord du chemin? Si vous souhaitez un débat démocratique, un brin de psychologie ne vous ferait aucun tort.

  38. Bonjour Suzette,

    Voici un commentaire bien tardif. D’autres ont déjà offert des remarques similaires. Tant pis, l’argument reste.

    Les virus attaquent les organismes. Il y a des milliards d’années que cela dure. Tout a été essayé, mais les organismes sont toujours là. Bon vent à celui qui prétend faire mieux que la nature et qui espère tuer le virus sans dégâts collatéraux. Est-ce par hasard qu’il y a tant d’ego autour de ces recherches ?
    Autre approche. Il a des milliards d’années que les organismes résistent. Ils ont inventé des trucs formidables. Par exemple, le système immunologique des animaux supérieurs. La médecine moderne a su en tirer sa plus belle découverte, la vaccination. Ainsi, rappelant le judoka qui exploite la force de son adversaire pour le maîtriser, le vaccin ne s’en rend pas au virus, mais appelle l’organisme en danger à mobiliser sa défense.
    Il s’agit de choisir : faire avec ou contre la nature.
    Contre le SARS-CoV-2, la collaboration avec la nature fonctionne. La lutte contre elle n’a rien apporté jusqu’ici et la voie promet d’être dangereuse.
    Conclusion: vaccinons-nous.

    Suzette, ces remarques t’apportent-elles quelque chose ?

    1. Cher Jacques,
      Croyez-vous vraiment que les inventions de Pfizer ou Moderna soient “naturelles”?
      Libre à vous de le penser.
      Pour ma part, je préfère mobiliser mon système immunitaire de manière plus élémentaire – en me baignant au lac, en mangeant des légumes, en respirant. Bcp de belles choses dans la nature. Les virus font partie de la vie, comme moi.
      Mais, pour l’heure, je n’ai jamais rencontré un vaccin à ARN Pfiezer ou Moderna dans la nature…
      Question subsidiaire: avez-vous pris en compte le fait que les scientifiques peuvent se tromper, et parfois lourdement?
      Je crois que Madame Sandoz a pris en compte cette possibilité, et malheureusement, j’ai l’impression que vous n’envisagez pas cette possibilité.
      Raison pour laquelle, je préfère de loin son jugement critique à votre angélisme.

      1. Bonjour Samy, merci infiniment pour vos lignes ….. et bien moi aussi je m’occupe de mon système immunitaire très particulier (vous l’aurez déjà noté, taux CD4/CD8 à plus du double de la norme mais taux très confortable pour moi). En sus, pile poil avec mon retour de mes vadrouilles chroniques, j’attends DHL et mon stock approuvé par la FDA, n’en déplaise aux mauvaises langues.
        Si mon pays présente un retard phénoménal, ce n’est pas mon problème.
        Les scientifiques se trompent très souvent car ils ne peuvent pas admettre ni imaginer que l’on puisse simplement vivre tout à fait bien et normalement avec des valeurs biologiques “à côté de la plaque” (je reproduis ici une expression romande souvent entendue).
        Du point de vue “absence de reconnaissance des erreurs de jugement”, mon stock de littérature sérieuse, avec facteur d’impact, est massif, vous pouvez bien l’imaginer.
        Au plaisir de vous lire, entre deux virées car je repars sous très peu sur les rives de mon fleuve favori. Portez-vous bien.

      2. Cher Samy,
        Vous réagissez exactement comme j’aurais du le faire quand j’ai moi-même répondu à mon collègue Jacques Dubochet – une personnalité d’envergure. S’il s’agit, en définitive, de se vacciner pour renforcer son système immunitaire, je suis également d’avis que la meilleure façon de s’y prendre est de l’entraîner au mieux par une alimentation appropriée et par des exercices qui stimulent nos auto-défenses, comme le yoga par exemple, mais d’autres moyens existent.
        De plus, Jacques ne paraît pas trop se soucier de l’inquiétude que suscitent les tergiversations des scientifiques eux-mêmes, dont le consensus n’est que de surface. Il n’y a pas d’équivalences entre les diverses prescriptions de vaccins (Pfizer, Moderna, etc..), ni quant aux résultats thérapeutiques, ni quant aux effets secondaires, parfois tragiques. La difficulté majeure à laquelle nous sommes confrontés est celle de l’empressement des politiques de rendre obligatoire une solution à la pandémie qui n’offre guère de garanties, ni du point de vue épistémologique, ni du point de vue pratique. Que l’on soit ou non d’accord avec lui, le Dr Raoult a mis le doigt sur la plaie. Il ya trop d”incertitudes au niveau de ce remède pour que l’o en fasse un dogme. Il serait plus sage de préconiser des mesures sanitaires un peu plus riches en ressources, et de laisser la liberté aux individus d’attendre que la pharmacologie en arrive à proposer des solutions plus rassurantes. Quoi qu’il en soit, la contrainte, n’a pour effet que de durcir les “opinions” en place de favoriser la réflexion. Un grand merci encore!

    2. Merci pour ces précisions sur la découverte du vaccin que l’on m’avait déjà enseignée sur les bancs de l’école. Mais le débat ne porte pas sur la composition du virus. Il porte sur l’obligation de se vacciner qui a été contestée, non seulement par des quidam de mon espèce, mais par des médecins très compétents. A cela il faut ajouter que les tergiversations des autorités ne sont pas rassurantes. Si j’irai donc me faire vacciner (pour des raisons pratiques et non médicales), je ne pourrai me soustraire à la peur de subir le même sort que d’autres victimes décédées grâce à votre honorable vaccin

      1. Bonjour Celis, très très plaisantes tournures. Vous lire est un réel plaisir (fond et forme) tout comme lire notre rédactrice en cheffe. Les autorités helvétiques ont démontré leur désastreuse inefficacité (un jour blanc, un jour noir etc.) et à ce stade je pense qu’il est devenu inutile d’épiloguer. Absit iniuria verbis.
        De toutes les façons, ces mêmes autorités trouveront toujours des astuces pour se dédouaner de leurs actions erronées, en tournicotant la vérité comme je pirouette mes aiguilles pour créer une torsade « double face ». Au plaisir de vous lire. eab

        1. Merci Eliane. Nous sommes bien entendu d’accord pour ce qui concerne le carrousel des pensées de nos autorités. La seule chose que l’on puisse espérer c’est qu’ils n’enfoncent pas encore une fois le clou en instituant une sorte d’apartheid entre les “gentils vaccinés” et les “méchants réfractaires”. Les directives indiscutables, c’est acceptable et même incontournable sous l’autorité d’un officier militaire. Mais pourquoi diantre, dans cette hypothèse, ne remplacerait-on pas Monsieur Berset par le général Thomas Süssli, qui a d’abord effectué un apprentissage de laborantin en chimie? Ce serait peut-être plus clair et plus rassurant, sachant que les officiers suisses rechignent à sacrifier leurs effectifs.

          1. Bonjour Celis. Votre commentaire Laboratoire-Chimie-Armée m’a tellement fait rire ! C’est la Suisse dans toute sa splendeur, avec ses mélanges détonants. J’ai d’autant plus ri que ce mixage-là existe aussi dans ma famille, mais à un niveau plus élevé académiquement parlant pour la Chimie…. et certes nettement plus commun pour l’Armée.
            En général, l’idée des sacrifices est l’apanage connu des discours de la droite. Néanmoins, lorsqu’il s’agit d’adhésion à cette idée, la gauche est majoritaire alors que la droite y est hostile.
            Aussi paradoxal que les louvoiements singuliers d’un gouvernement probablement drogué aux amphétamines – donc hypertendu et tachycarde avec risques d’AVC – qui ne sait vraiment plus à quel saint se vouer pour nous distiller au compte-gouttes quelques morceaux choisis de la vérité (?) sans craindre une émeute généralisée.

            J’ai l’impression qu’en ce moment nous revivons « La Foire aux vanités » de William Makepeace Thackeray (paru en 1846). Il y a de singulières similitudes.

            En conclusion, il est hautement préférable de rester du côté des « électrons libres » pour sauvegarder notre libre arbitre + éviter de sombrer dans la pharmaco- + vaccino-dépendance.
            Si j’ose Cicéron …. “La liberté ne consiste pas à avoir un bon maître, mais à n’en point avoir” .
            Au plaisir de vous lire. eab

  39. Merci, Suzette, pour la réponse que tu m’as envoyée par courriel.
    Je crains que mon argument n’ait pas été compris. J’essaie autrement.
    Tu as posé la question : « Comment expliquer que moins de 10 mois après les premiers cas de Covid en Europe et aux USA, il y ait déjà eu sur le marché plusieurs sortes de vaccins, certes encore en phase III – au moins jusqu’en 2022 – et pas un seul remède pour soigner la maladie ? »
    Trouver un remède qui neutralise ou tue un virus est terriblement difficile parce qu’il y a des milliards d’années qu’il exerce sa défense contre tous les produits chimiques que la nature a pu produire. Il a bien réussi comme le prouve le fait qu’il existe toujours. Ne nous étonnons donc pas que les chercheurs aient de la peine à trouver un bon remède.
    Le vaccin correspond à une tout autre approche. Il s’agit de stimuler les défenses propres de notre organisme, en lui faisant croire qu’il est attaqué, alors qu’il ne s’agit que d’un leurre inoffensif. Ça marche ! Depuis plus de 200 ans, la méthode accumule les plus magnifiques succès de la médecine. Apparemment, aussi pour le SARS-CoV-2.
    Cela dit, ma tête, comme celle de chacun d’entre nous, est bien trop petite pour saisir la complexité du monde. Ainsi, le parcours de notre vie est un chemin d’incertitude. J’ai toutefois confiance que la plupart des humains sauront, finalement, s’y orienter parce que, comme le fait remarquer Mme Merkel, deux et deux font quatre et la gravité fait toujours tomber les corps.

    1. Un vaccin à ARN n’est pas une technique vieille de 200 ans, mais de 10 ans, avec aucun essai concluant sur des adénovirus. Donc non, 2 et 2 ne font pas 4 dans votre équation. C’est l’inconnu sur les résultats à long terme. Ne faites donc pas mine de connaître le futur.
      De nombreux scientifiques, spécialistes du domaines, alertent sur le risque planétaire pris à vacciner des populations en bonne santé, sans le recul nécessaire et pendant une épidémie.
      Par ailleurs, un vaccin à ARN n’est pas simplement une stimulation du corps par une injection de maladie atténuée. C’est la mise en production d’une protéine toxique par le corps. Avec des risques bien plus importants à long terme (inflammation et potentiellement maladies consécutives aux inflammations).
      Combien de temps les protéines Spike produites restent-t-elles dans le corps? Comment sont-elles évacuées?
      Voilà des question dont on attend toujours les réponses.
      Si des réponses négatives se dessinent (et c’est malheureusement possible), elles feront très mal.
      Car lors de cette expérimentation grandeur nature, les populations n’ont reçu aucune information préalable valables sur les risques encourus à long terme.
      Mais nous sommes dans une fuite en avant. Chacun portera la responsabilité de sa parole à long terme.

      1. Bonjour Samy,
        Merci de votre commentaire. J’apprécie toujours vous lire. Et souvenez-vous ce que j’avais déjà noté précédemment: réponse de pharmaco-toxicologie professorale = NO-ONE KNOWS au sujet des effets secondaires à plus ou moins long terme. Dommage que les humains se laissent de plus en plus facilement embobiner dans un “cyclopéen” lavage de cerveaux sans cycle “adoucissant”. Portez-vous bien. eab

  40. Cher Jacques
    Vous abordez un sujet qui m’est cher et que le débat actuel demande d’approfondir. “Ma tête… est bien trop petite pour saisir la complexité du monde”. Je partage avec vous l’espoir que “l’être humain saura s’y orienter” – en fait s’il n’y arrive pas l’être humain, la planète terre peut-être, en tout cas la société que nous connaissons risque bien de disparaître – Par contre ma scolarité obligatoire, mon collège, mes études de philo même, et d’informatique des années 1980 à 2000 me semblent aujourd’hui avoir été très pour y arriver. Nous avons plus cultivé la remise en question, l’esprit critique (au point de ne plus l’être) la glorification de la démocratie (qui s’opposerait à toute forme d’autorité – surtout politique). De plus l’illusion que tout savoir devait être vérifiable par n’importe qui.
    Mais si je sais, que l’ensemble du savoir ne peut-être maintenu que collectivement. Qu’aucune individualité, si géniale soit-elle, ne peut tout savoir et encore moins tout vérifier, la question centrale est la confiance. Qui est, pour quel savoir la personne de confiance. Quels sont les intérêts en jeux lorsque la présentation des fait ou les conclusions tirées diverges. Existe-t-il une science pure, détachée de tout attrait de pouvoir, de gain, de jalousie, de peur, de mécanismes de défense?
    Le cas de Galilée me semble exemplaire dans cette perspective. Comment pourrais-je prétendre savoir, dans le sens d’avoir vérifié, l’héliocentrisme. Ce n’est qu’en faisant confiance à mes parents, professeurs et les médias que je peux renoncer à faire confiance à mes sens qui de toute évidence voient le soleil se lever, se déplacer et se coucher. Et plutôt que de souligner cette acte de (bonne) foi, nous nous permettons de gausser, contre tout ceux qui ne se sont pas dépêchés d’embrasser Galilée plutôt que de le condamner pour mettre en cause le bon sens (de la vue). De plus, depuis, il faut qu’à chaque nouvel humain un prof maintienne la tradition, sans quoi il reviendra à la vision immédiate.
    Donc où sont les lieux, pour le covid, le climat, les équilibres sociaux en général, où nous nous entrons dans cette forme respectueuse de dialogue. Si chaque point de vue marginal est nécessairement faux, Galilée ne se serait jamais imposé, Si le fait d’être en marge est garant de la vérité (soit disant toujours menacée) le savoir s’effondre.
    Le centre du sujet est: comment construisons-nous le savoir et quelles sont les formes de transmissions (traditions) qui permettront de le maintenir.

  41. Chère Madame,
    Un grand merci pour la fraîcheur de vos propos. Le français que je suis regrette seulement d’avoir eu à chercher cette parole libre et raisonnable en Suisse. Très cordialement.

  42. Bonjour Mme Sandoz,

    Je vous ai découvert dans la vidéo du conseil scientifique indépendant sur Crowdbunker.
    Des questions que je me pose également depuis de nombreux mois.
    Je vous ajouterai à mon article : ttps://destyneo.com/citoyens-eveilles-crise-covid/

    N’hésitez pas à jeter un oeil à mon blog sur lequel je partage également mes réflexions en lien avec la crise “sanitaire”.

    Belle journée

    Cindy

Les commentaires sont clos.