Comprendre, parce que c’est important

Commentaire aux commentaires reçus sur le blog de Jacques du 27 mars au 5 avril 2021

Merci au Temps de m’offrir ce Blog.

Débutant, je découvre ainsi la richesse que révèle ce mode de communication.

En quelques jours, vous m’avez envoyé 25 commentaires. Ils sont tous avec le premier article. Merci d’avoir pris la peine d’intervenir.

Ensemble, ils représentent plus de 3000 mots et près de 20’000 signes. C’est beaucoup.

Chacun le sait, dans un débat, c’est la critique qui est la partie la plus intéressante. Le compte est prometteur. Une petite moitié des commentaires reçus expriment des idées qui s’opposent aux miennes. Plusieurs sont tout à fait intéressantes. Par exemple, Hubert ne s’alarme pas du CO2, mais pense que je manque l’essentiel en ne citant pas la question de la surpopulation. À ceci Fdidoux rétorque que, pour lui, c’est la surconsommation qui est au cœur de notre problème. Kaffa trouve qu’en parlant de la ZAD du Mormont, j’ignore le fait que le problème du béton dépasse largement l’échelle vaudoise. Il y en a d’autres. Ces débats font sens. Ils enrichissent mon propos ou m’interpellent. Merci à leurs auteurs. Dans la mesure du possible, je m’efforcerai d’y répondre. Malheureusement pas tout de suite, car il y a beaucoup à faire ces temps.

On m’avait prévenu : « Tu seras surpris ! Souvent, les commentaires sont des critiques qui s’adressent à toi plutôt qu’à ce que tu écris ». C’est vrai, déjà dans le 2e message Pierre trouve déplacé qu’un nobéliste parle du climat. Pourtant, excusez-moi, je ne suis pas le seul incompétent qui se targue de météorologie; notre présentateur favori du 19:30 s’est cru autorisé d’annoncer la neige en plaine pour la nuit du premier avril.

Dorénavant, je ne ferai plus suivre ce genre de commentaire. Si vous le souhaitez, vous pouvez me les adresser par courrier postal à mon adresse : Banc-vert 17, 1110 Morges. Toutefois je tiens quand même à remercier Pierre de m’avoir fait découvrir le mot magnifique d’ultracrépidarianisme dont je me réjouis de faire bon usage.

 

L’autre moitié des commentaires vont plutôt dans le sens de mon texte. Certains y apportent une contribution notable, certains ont une forme personnelle, parfois touchante. À ces derniers (Alain par exemple), j’exprime des remerciements particuliers.

J’ai bien l’intention de revenir sur plusieurs de ces commentaires, mais j’y prendrai le temps. Merci de votre patience.

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