Le grain de sable

Ad nauseam…

Le Temps est mon journal préféré mais… j’avoue qu’un mois entier pour la défense des femmes et du féminisme puis, on nous l’annonce, un mois entier pour la défense de l’écologie… c’est vraiment atrocement long et ennuyeux. Je commence à plaindre les oies. Hélas ! Le gavage ne nous rend pas comestibles !…

C’est vrai qu’il y a des sujets bateaux, mais il y en a peu dont on a envie d’avoir les oreilles rebattues jour après jour pendant quatre semaines. L’effet vaccin menace, et pour l’écologie plus encore peut-être que pour les femmes, car les pouvoirs publics nous serinent à longueur de journée : « Trier, c’est valoriser… », la publicité invente n’importe quoi pour faire croire que ceci ou cela est particulièrement sain et protecteur de l’environnement, l’Eglise aussi s’en mêle, défend des programmes et crée des groupes de protection de l’environnement pour se dédouaner sans doute de ne pas savoir transmettre le respect de l’environnement simplement à travers l’amour du Créateur et du prochain.

L’environnement, c’est actuellement la vache à lait des lobbies de la construction, des maniaques des interdictions, de toute une série de personnes bien pensantes et parfois un peu panthéistes.

Il faut un sacré sens de l’humour pour survivre.

Bon ! Je viens de tondre mon gazon à la main (sans moteur ni robot, à l’huile de coude), puis de tailler mes bordures à la main également comme je le fais depuis toujours parce que j’aime la nature et le jardinage ; le chat du voisin est venu me donner « un coup de main », comme d’habitude, car il sait bien que pour me reposer de temps en temps, je le caresse un moment (à quelque chose écologie est bonne !). Et dire que si je lis le Temps pour me détendre, je vais subir, après les femmes, le lavage de cerveau de l’écologie ! Dur ! Dur !…

 

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