Gouvernance et sécurité

Gérer l’asile devient une urgence pour la Confédération

La politique d'asile est à revoir ! A l’instar de ce que proposent certains partis politiques, il suffit d’établir des règles strictes, les appliquer et les contrôler et, surtout, d’éviter tout recours possible. La Suisse a besoin de main-d’œuvre étrangère ainsi que de cerveaux. Tout étranger désirant venir travailler en Suisse est le bienvenu, pour autant qu’il s’engage à respecter nos lois, nos coutumes, nos autorités, nos standards de qualité et nos normes de performance, qu’il puisse s’exprimer dans au moins une de nos langues nationales et qu’il puisse participer activement à la prospérité de notre pays.

L’Etat doit mettre rapidement en place une politique d’asile s’appuyant sur des règles claires et facilement applicables

La Suisse doit rester un pays d’accueil et solidaire, mais pas à n’importe quel prix et encore moins aux risques d’une déstabilisation intérieure. La problématique de l’asile pourrait être réglée rapidement par la mise en place de règles claires et facilement applicables. Voici quelques règles de base :

Une fois les examens réussis, le demandeur d’asile recevra un droit d’établissement et sera considéré comme un travailleur étranger habitant et travaillant en Suisse. Cependant, l’Etat veillera à ne plus naturaliser systématiquement. Une personne étrangère (ancienne demandeuse d’asile ou non) pourra être naturalisée uniquement si elle démontre ou apporte à la Suisse une valeur ou quelque chose d’exceptionnelle. Le naturalisé obtiendra la nationalité suisse, mais en aucun cas la Bourgeoisie.

 

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