Les paradigmes du temps

« In God we trust »

Les dés sont jetés. Le nouvel empereur est nommé. La plus puissante nation de notre monde n’aura eu d’autre option que de s’infliger un choix entre la peste et le choléra. On pourra toujours se perdre en arguties, en pronostiques et en politiques fictions en tentant d’envisager les effets positifs et négatifs sur un avenir à court et moyen terme de l’élection Trump. Mais, à n’en pas douter, les miasmes de cette purpura risquent d’étendre rapidement leurs effets dès l’Inauguration Day, le 20 janvier prochain.

Occupant le congrès et la Maison Blanche, les Républicains auront beau jeu de faire ce qui leur plait, une réalité politique n’impliquant pas obligatoirement un blanc-seing des sénateurs sur l’ensemble des positions ou des propositions d’un président ayant démontré sa vision borgne de la société. Le parti n’a d’ailleurs pas fait preuve d’une cohésion absolue derrière Donald Trump durant la course à la présidence.

« In God we trust » clame fièrement le dollar. De foi, il en faudra certainement beaucoup en leur nouveau président à nos cousins américains au cours de ces prochaines années ! 

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