Chroniqueur des suprise-party, les «surpat’», son Brownie Flash à la main, Malick Sidibé se fait le portraitiste attitré de la jeunesse qui s’éveille au moment de l’indépendance du Mali.
En 1995, la Fondation Cartier est la première à l’exposer hors du continent africain. Un an après sa disparition, elle lui rend hommage avec Mali Twist, une rétrospective et un ouvrage sous la houlette d’André Magnin.
Malick Sidibé, du 20 octobre au 25 février à la Fondation Cartier, à Paris. www.fondationcartier.com