“Pourquoi tu manges encore du chocolat ?” questionnait mon fils l’autre soir. “Je n’achète plus d’avocat!” m’a confié ma collègue. Aïe, les deux ont raison: ni le cacao ni l’avocat ne poussent en Suisse! Dois-je y renoncer pour autant ? Mes choix de consommation courante sont devenus cornéliens. C’est parti pour un exercice de “triture-méninges”…
Nous avons tous des faiblesses. Je l’avoue, je craque pour le bon chocolat! Désolée pour le traditionnel chocolat au lait suisse, mais celui qui me plaît affiche au minimum 75% de cacao, avec un mimimum d’ingrédients dans sa composition. A l’heure du café après le repas familial du soir, la discussion a porté sur nos choix en matière d’aliments. Que peut-on encore acheter le coeur léger, quand on se soucie (dans l’ordre de mes priorités): pas d’emballages inutiles, de production locale, en production respectueuse de l’environnement et des humains (donc bio et de commerce équitable), naturel (donc sans hypertransformation), sans (trop de) sucre ajouté et abordables pour mon porte-monnaie ?