Si Vidy “a moins de porcs cet été”, Lausanne est toujours aussi “sale”

Si Vidy « a  moins de porcs cet été », Lausanne est toujours aussi « sale »

L’hebdomadaire « Lausanne Cités » titre en gros en première page de son édition des 27-28 juillet « Déchets : moins de porcs cet été à Vidy » et son rédacteur en chef, M. Bonavita, se réjouit – à juste titre – dans son éditorial, de constater que cet été Vidy « ne se transforme pas une nouvelle fois en porcherie ». Les différentes mesures – y compris d’ailleurs la répression – prises par la Municipalité de Lausanne portent donc des fruits et on l’en félicite.

Et néanmoins, comme nous l’écrivions dans le titre « Lausanne est toujours aussi « sale », mais d’une autre saleté, celle que dicte la soumission à la langue anglaise.

Pourquoi écrit-on « sale.s » sur les vitrines annonçant des soldes ? J’ai chaque fois une furieuse envie d’ajouter « cochon ».

Il y a, de temps en temps, une vitrine qui indique « soldes » et elle mériterait de vendre tout son stock.

Mais qui sait, peut-être que si, un jour, les vitrines lausannoises – cette vérole ne sévit d’ailleurs pas qu’à Lausanne ! – cessent de se vanter d’être « sales » à certains moments de l’année, tout naturellement Vidy  cessera d’être une porcherie, sans que la moindre répression soit même nécessaire !

 

 

Suzette Sandoz

Suzette Sandoz est née en 1942, elle est professeur honoraire de droit de la famille et des successions, ancienne députée au Grand Conseil vaudois, ancienne conseillère nationale.

52 réponses à “Si Vidy “a moins de porcs cet été”, Lausanne est toujours aussi “sale”

  1. Chère Madame,
    En effet, l’anglicisation du français est dramatique mais personne ne s’en préoccupe, même pas l’Académie Française ! Le colonialisme anglo-saxon s’impose inexorablement . . . Astérix Le Gaulois est définitivement mort et la Perfide Albion se tord les côtes !

  2. Bravo Suzette !
    Votre humour nous raffraîchit par ces canicules !
    Mais venez faire un constat à Genève : ce n’est pas une porcherie, c’est une déchetterie porcine à ciel ouvert ! Les parcs publics sont plus porcins que des champs d’épandage, le vendredi et le samedi soir surtout. Les corbeilles à déchets ne sont pas utilisées car il faut parfois faire un ou deux pas pour les atteindre…

  3. Il semble que ce soit surtout la langue américaine qui déploie ses méfaits y compris en Angleterre. Il y a quelques années, un député anglais avait demandé que l’administration britannique évite d’écrire “vacation” au lieu de “holiday” et “pavement” au lieu de “sidewalk”.

  4. Le « franglais » est omniprésent. Swisscom et ses abonnements, me semble un bon exemple, et pourtant la majorité de ses employés ne parle quasiment pas l’anglais. C’est une mode.

    1. Je parle parfaitement anglais et pourtant je suis agacé également par ces devantures sales… ici l’usage du bon mot ferait sens my dear mister Freymond.

  5. Vous parlez sans doute des corrompus qui de manière grandiloquente affichent fièrement leurs tableaux de chasses au nom du sport et bien la civilisation grecque a disparue comme tant d’autres. L’olympisme et le fifaïsme ont fait mourir plus de 4’000 esclaves au Qatar rien que pour la construction des installations de ce furoncle climatisé, qui je l’espère sera boudé par les personnes ayant un tantinet de sens de l’honneur.

    Madame la Professeure, j’avoue ne pas connaitre toutes finesses lausannoises, j’ai bien compris votre aversion pour les anglissimes, mais pas votre propos allusif ou peut être également linguistique concernant les “porcs” de Vidy ???

    1. La Municipalité de Lausanne essaie de lutter contre les montagnes de déchets que les utilisateurs des espaces verts de Vidy laissent toujours par terre en quittant les lieux, utilisateurs que le rédacteur en chef de Lausanne Cité qualifie de “porcs”.

      1. Oui, sans doute les déchets laissés par les laquais qui travaillent sans ménagement pour maintenir l’illusion parfaite des trompes l’oeil des palaces d’Ouchy fréquentés par les manges miettes de la pressosphère constituée de romanciers ratés !

  6. Eh bien, voilà de nouveau un petit grain de sable joliment poli! Merci, Madame Sandoz.
    Quand j’étais plus jeune, il m’est souvent arrivé d’entrer dans des magasins affichant SALE en vitrine et de demander pourquoi ils vendaient des choses sales. Incompréhension totale et non feinte du personnel, la plupart du temps. Quoi? Je ne comprenais pas ce que ça voulait dire?! C’est pour informer qu’on fait des rabais! “No comment”, comme on dit désormais…
    Si je raconte ce souvenir, c’est pour rappeler que cette sale-té de soumission à l’anglais a commencé il y a des décennies, dans l’indifférence générale, quand ce n’était pas carrément l’approbation. Il y aurait beaucoup à dire sur ce sujet, qui dépasse évidemment largement le seul domaine de la linguistique, et qui est presque anecdotique en regard des attaques autrement plus monstrueuses que subit la langue française ces dernières années.

  7. Chère Madame,
    Je suis désolé mais aujourd’hui je n’ai pas le goût d’apprécier votre billet. Aujourd’hui “mon” Président Macron reçoit à dîner le prince saoudien -le boucher saoudien- Ben salmane. L’actualité de ces 2 dernières années nous avait habitué à voir le fond creusé : mais là c’est le pompon ! Cela me coupe même le goût d’apprécier vos billets. Cordialement. Vu de France.

    1. Mais vous ne dites rien lorsque votre président et gouvernement annonce vouloir lever les sanctions contre l’Iran, mais voilà, l’Arabie Saoudite s’en prend et tue un saoudien pro-iranien qui “traficote” avec le hizbollah, lui vous n’en parlez pas beaucoup non plus, quand il était à coté des milices pro-iraniennes qui avait fait exploser Rafiq Hariri, dans le fond, vous faites comme votre gouvernement, vous pratiquez la prostitution à géométrie variable, avec quand même une petite tendance qui vous rapproche sérieusement des frérots, il faut l’avouer, puisque l’on parle du Moyen-Orient !

  8. LOL ou MDR ? Qu’importe la langue dans laquelle on aime rire !

    Eh bien j’apprécie votre bon humour qui atténue favorablement les acidités d’estomac que me causent d’autres articles que vous rédigez à la lumière du chandelier lorsque la révolte vous gagne, assez souvent à une heure où tout le monde dort déjà… Mais comme nous le savons bien, l’humour se goûte avec beaucoup de langues différentes, et j’espère qu’il n’y aura pas dans les commentaires des réponses du genre : « Oh là là, Madame Sandoz… Vous croyez que vous êtes drôle ?.. » Si ce devait être le cas, je désire commenter déjà maintenant : « Si vous n’avez pas envie de rire, c’est simplement que vous ne comprenez pas l’English Humour traduit en français. »

    1. Dominic, je suspecte sérieusement Madame Sandoz d’être, à sa décharge, une pince sans rire qui manie l’humour et la dérision comme l’on savoure des élixires patiemment et exclusivement conservés dans une de ces cave patricienne, comme l’exige la bien séance et le tact de cette vengeance distillée dans une retenue circonstanciée.

      En ce qui me concerne, Lausanne a une histoire, Vidy aussi, c’est d’ailleurs à cet endroit que la municipalité y a construit sa centrale d’épuration, pour preuve, contrairement à Ouchy, lieu bien sous tour rapport où j’ai d’ailleurs, jadis abandonné ma virginité. C’est pour cette raison qu’il est tout de même un peu choquant de voir un hebdomadaire s’en prendre de pleine face à son populisme affiché et revendiqué, c’est souvent ainsi dans les hautes sphères des rédactions de gauche, ils préfèrent très nettement les sauteries organisées dans les palaces d’Ouchy que les picnics improvisés sur les rives bondées de Vidy !

  9. Le porc vaudois est le plus heureux du monde, disait le ministre Leuba au sujet de l’élevage de notre frère à queue en tire-bouchon dans les enclos réputés les plus propres du monde. Ce qui n’empêche pas mon boucher d’exposer ses côtelettes, ragoûts, jambons de devant ou de derrière et autres atriaux*, salés ou non, en action dans sa vitrine sous l’étiquettes “for sale”.

    Dans quelle mesure la remarque de l’ancien ministre s’appliquait-elle aux porcs de Vidy reste un mystère sémantique. En revanche, il n’a pipé mot sur les Vaudois(e)s confiné(e)s dans leur enclos à domicile depuis deux ans pour cause de pandémie avant de l’être pour raison de réchauffement climatique, dont on nous prédit qu’il risque fort de les confiner à vie si rien n’est entrepris pour le réglementer. A quand le confinement définitif en abri anti-atomique?

    Mais peu importe, grâce aux progrès de la médecine qui promet une vie toujours plus longue, une vie de confinement, s’entend – car en matière de maintien à domicile (euphémisme qui désigne l’incarcération de fait), on s’y entend aussi, en haut lieu (“Restez chez vous!”) – est-elle moins enviable qu’une vie de cochon?

    * spécialité vaudoise, aussi connue à Genève depuis le XViie siècle, comme l’atteste le quinzième couplet du “Cé qu’è lainô”:

    ” Et poi saplia queman dés atrio.”

  10. Par facilité; afin que les grandes enseignes ne créent des pancartes en français et en allemand. De plus, les commerçants visent les touristes, supposés capables de mieux comprendre l’anglais que le français. C’est moche!

  11. Bonnes vacances à tous … , et tachons de ne pas jetter de papiers sur la plage de nos rêves … ttps://www.galerie-com.com/oeuvre/-on-dirait-le-sud-…-bonnes-vacances-…-/489403/

  12. Vous avez complètement raison. Je cherche encore la cause de cette colonisation mentale qui affecte une grande partie de la population mondiale non-anglophone. En effet, pourquoi un francophone passe-t-il par l’anglais pour communiquer une information à un autre francophone, alors même qu’un mot français existe? A plus forte raison lorsque le mot anglais utilisé par le colonisé a une toute autre signification en dans sa langue…

    Mystère…

  13. Il pas qu’à Vidy, là c’est 60 km plus à l’ouest dans les bureaux genevois de l’unicef :

    Scandale au Kenya : un agent abortif caché dans un vaccin

    ..
    Le gouvernement kenyan nie.
    Des précédents au Mexique et aux Philippines….
    Ces campagnes de stérilisation ont été dénoncées en leur temps. 3,5 millions de femmes sont concernées ! Malgré l’énormité de ces affaires, elles n’ont pas été relayées par les grands médias.

  14. Chère Madame,

    Encore une fois, votre billet d’humeur est une perle rare. Vos propos sont tellement vrais. Merci beaucoup!

  15. La langue française est une belle langue. Mais nous sommes à l’aube d’un nouvel avenir et, peut-être, la langue du futur est-elle en train de se forger, de balbutier. Quels en seront les éléments, les fondations? Elle sera le résultat des contacts entre les personnes de différentes nationalités, par le commerce, les études, internet… L’anglais contient des mots d’origine française, latine ou autre. Peut-être la langue de l’humanité future contiendra-t-elle des mots chinois, anglais, français, espagnols, portugais, grecs et de bien d’autres origines… Cela à condition qu’il y ait la paix. Comment se sont élaborées les langues à leur naissance par exemple au XVIème siècle français? Que serait une “Défense et illustration de la langue française” façon Du Bellay aujourd’hui? Peut-être en écrivant en français des poèmes, des scénarios de films, des livres, des études scientifiques qui suscitent l’admiration des autres pays.

  16. Nous sommes tous des porcs, parce que je ne crois pas que seuls les porcs se rendent sur les gazons publics où fêter et s’amuser. Si des containers étaient disposés en nombre suffisant, le long des chemins d’accès, les « porcs » seraient propres, comme l’est du reste cet animal quand on lui procure de bonnes conditions. Les responsables de la voirie ont déjà stipulé que chacun devrait emporter avec lui ses déchets, dans un sac blanc payant évidemment, et pour trimballer ces sacs comment ? En bus puisque utiliser la voiture pollue et réchauffe le climat… Imaginez la foule qui le week-end en fin d’après-midi quitte le parc en emportant cette montagne de déchets dans le bus…

    Je me souviens que du temps de ma jeunesse, il y avait des paniers grillagés métalliques un peu partout en ville, aux arrêts de bus, à l’entrée des postes, aux coins des rues… Maintenant ces paniers sont devenus rares, leur ouverture est volontairement rétrécie, et nous sommes bien plus nombreux qu’il y a cinquante ans. De même pour les bancs publics, merci pour les personnes âgées, elles ne sont pas des chiens qui peuvent s’asseoir ou se coucher par terre quand elles ont besoin de reprendre leur souffle. C’est à l’image de l’entrepreneur agricole qui organise de manière rationnelle et économique les surfaces où vivent ses porcs.

    Une question pour clore : Pourquoi trouve-t-on une bonne quantité de journaux gratuits du genre Lausane-Cité emportés par le vent dans les rues, et plutôt rarement Le Temps ? Parce que le premier journal très populaire est lu par les ânes manifestement nombreux ? Le réacteur en chef Monsieur Bonavita, qui a les oreilles plus longues que ses lecteurs et pas la queue en tire-bouchon, pourrait certainement répondre.

  17. Attention aux petits cochons dont les auges ne se trouvent pas sur tous les rivages… Paresse, ignorance, bien sûr, et surtout, aliénation résultant du consumisme. Pour une “Deffence, et illustration de la langue françoyse”, voir Alain Borer, “De quel amour blessée – réflexions sur la langue française”, Gallimard, 2014. Je ne partage pas toutes les observations de mon ami Borer, le plus grand connaisseur de Rimbaud à ce jour, mais son livre mérite lecture. En épigraphe: “Ai-je au coeur un autre tourment que celui de la langue et de la liberté?” Empruntée à Constantin Cavafis. Ce qui me permet de noter, en marge du billet de Martin posté ci-dessus: des mots grecs dans une langue d’avenir? Mais ça fait plus de 4’000 ans que le grec nourrit les langues du monde dont la nôtre! Et il y a beau temps que d’autres langues, y compris celles que vous citez, irriguent le français! Un millier de mots dérivant de l’arabe, par exemple… Faut-il rappeler encore une fois que 400mio de personnes pratiquent, traduisent, écrivent et enrichissent cette langue en dehors de France, Suisse, Belgique et Canada (vieux et détestable réflexe colonisateur) et qu’au deuxième rang en nombre de locuteurs se trouve la République démocratique du Congo? Alors Globish et Englobish, peu me chault. Je m’habille Nil, lin et coton.

  18. @ M. Corto, 30.07.2022 / 15:17 & 20:13.

    Ouchy et plus loin au bord du lac, ces lieux qui ne vous tenteraient plus trop aujourd’hui (?) où à mon avis on peut y passer de belles soirées. Et pour converser de quels sujets ? Vraiment tout entre personnes faisant connaissance, ou en petits groupes où les rires confirment qu’il y a des langages pour se comprendre dans ses origines différentes… Sur les terrasses arrivent souvent vers 22 h quelques cuisiniers de grands hôtels proches, ou autre personnel ayant terminé son service. Ce sont des gens qui parlent volontiers de leur métier, un travail qu’ils aiment et qui ne leur donne pas le sentiment d’être exploités : ils ont un directeur, des clients, de nombreux collègues et se disent assez contents. Sur la terrasse où ils viennent, ils sont servis à leur tour par d’autres comme eux, contents de leur activité dans une large mixité sociale.

    L’avenue d’Ouchy débouche à son extrémité sur ces lieux de rencontre, où le vendredi soir nous pouvons voir un éventail complet de toutes les formes de mobilité existante, soulignant le niveau financier, des idéaux de liberté ou simplement l’envie de s’amuser. Tout défile, parfois bruyamment, de la trottinette électrique à la Ferrari, il n’y a que les tricycles qui sont à l’arrêt tard le soir, leurs conducteurs sont endormis sur l’épaule de leur parent. Tout le monde se déplace pour se montrer, se retrouver. Pendant ce temps, plus haut dans la ville, les petits bistrots ont déjà mis les chaises sur les tables, les discothèques se préparent à ouvrir leurs portes. Passé minuit, les plus jeunes courent depuis le port d’Ouchy jusqu’à la bouche du métro pour ne pas manquer le dernier départ : des rires, des cris, quelques canettes d’aluminium qui tombent par terre… Merci de ne pas parler de nouveau des cochons, le spectacle des faons maladroits pressés de vivre est une représentation que je préfère de loin.

    Monsieur Corto, les romanciers ratés ont leur place aussi à Ouchy sans s’y sentir seuls. Vous, prolifère fournisseur d’informations et analyste en rapport avec le bien-être humain, avez le privilège d’être accueilli presque sans réserve au château de Madame Sandoz : les temps ont changé, Ouchy que vous avez quitté très jeune s’est métamorphosé, les Mercedes et les Porsches se font une place à proximité des terrasses populaires, les pilotes de trottinettes électriques arrivent en jeans troués jusqu’aux chaises de jardin du Beau-Rivage. À cette image, l’immense parking du Grain de Sable est ouvert à tous. Dans la grande salle du « blog not for sale », on y sert et boit du champagne, du thé, du Redbull, du gros rouge, de l’eau de source, et même du sirop contre la fièvre de vivre…

    1. La mixité servile et bobo, non merci, pas trop pour moi. Disons que je ne répugne pas cette faune superficielle et gonflée de cette docilité sectaire, je préfère nettement la compagnie des travailleurs qui pique-niquent autours de sardines grillées et de rosé en cubic ou alors assisté à un opéra mis en scène par Bob Wilson !

      C’est juste que je m’y sent mieux, sans certains de ces regards un petit peu trop normatif à mon goût !

      1. “…je préfère nettement la compagnie des travailleurs qui pique-niquent autours de sardines grillées et de rosé en cubic ou alors assisté à un opéra mis en scène par Bob Wilson!”

        Ben voyons… Si leur “travail” consiste pour l’essentiel à pique-niquer et à assister aux opéras, qui ne voterait pas socialiste ou PdT?

        “La forme même des pyramides suggère que, de tout temps, l’ouvrier a cherché à en faire de moins en moins.”

        – Georges Clémenceau

  19. Madame Sandoz, votre humour est vraiment salutaire. En effet, utiliser un terme anglais “sale” alors que nous avons un terme parfaitement adéquat en français est stupide d’autant que pour nous, ce mot a une connotation pour le moins négative. Toutefois, ce n’est pas le pire excès des anglicismes. Ce qui m’irrite vraiment, ce sont les verbes anglais conjugués en français. Par exemple :” to like” qui se conjugue par” liker”. Il est absolument normal que notre langue évolue mais de grâce en tenant compte des règles grammaticales et en respectant la racine des mots.

    1. Ceci dit, le problème que rencontre la planète et la francophonie n’est pas le fait d’utiliser des termes anglais, les langues ont toujours subies des influences et, par exemple xx% du français provient de mots d’origines arabe, ça a toujours fonctionné ainsi et ça ne va pas s’arrêter !

      Les problèmes sociétaux ou autres proviennent des vides qu’ils génèrent !!

      Par exemple, c’est nouveau, nous avons, preuve en est, que quiconque peut s’exprimer publiquement via les plateformes électroniques, c’est énorme et ça déstabilise considérablement les mécanismes de soumissions longuement pratiqués dans nos sociétés.

      Le véritable problème que rencontre nos sociétés provient de cette nouvelle forme de communication qui prend le dessus sur les canaux officiels, la dessus nous avons hérités d’une autre crise sociétale, celle de 68, une sortie diamétralement opposée aux préceptes imposés pendant des siècles d’obscurantisme et de soumission totale, tout est parti dans les extrêmes opposés, depuis 68 nous sommes tombés dans l’anti-tout !

      Il faut rappeler que 25 ans avant 68, pratiquement l’ensemble de l’Europe a envoyé des millions de juifs, de tziganes, d’homosexuels, d’opposants politiques dans des trains à bestiaux vers les chambres à gaz ! L’occident est devenue et cela depuis belles lurettes, un carnaval des idéologies les plus obscures et les plus terrifiantes de l’histoire de l’humanité, jamais une “civilisation” n’avait été aussi dévastatrice et nuisibles, cela à tous les niveaux, envers les humains, envers la nature et envers toute forme de logique.

      Alors, venir pleurer sur quelques termes anglais dans ce cloaque généralisé, me parait un peu superficiel et je peux l’exprimer publiquement, ce qui pour le coup est un véritable acquis sociétal perdu depuis des millénaires !

      Fini, nul besoin d’être un martyre pour, une fois mort, devenir l’exemple incontournable, unique logique imposée comme canon de la spiritualité, il nous manque des vainqueurs dans cette croisade contre l’obscurantisme déguisé en images hiératiques et sanguinolentes.

      Welcome to 32th. century !

  20. Il faut ajout que la langue anglaise possède un vocabulaire 3 fois plus riche que le français !

    A cela, il faut ajouté que le mot “sale” en anglais est originaire de “Salo”, terme proto-germanci lui même provenant de “selh”, terme proto-indo-européen signifiant “accaparer”, ou plutôt “prendre de force”. Donc, nous le voyons, la langue anglaise a elle-même été influencée par d’autres idiomes. En latin on retrouve la racine “consuluï” lié à “selh”, d’où vient le terme consul en français !

    Par contre les anglophones nous vendent leur coca-cola, leurs macdo, leur musique, leurs ordinateurs, leur langage informatique, saviez vous que les langages informatiques sont tous développés par des anglophones, qu’ils contrôlent 100% la “linguistique” binaire qui circule sous le clavier avec lequel vous vous exprimez au quotidien ?

    Caramba, encore raté, on s’en prend à “sale” et pendant ce temps ils inondent nos vie avec des algorithmes fabriqués par leurs méga-entreprises de l’informatique, toujours une case de retard les francophones, décidément, pour le coup, pas de quoi être très fier, n’est-il point ???

    1. En matière de proto-langue, vous nous en mettez plein la vue. La vôtre relève–t-elle du proto-nostratique, de l’afro-asiatique, du kartvélien transcaucasien, de l’austro-taï, de l’ouralien, du dravidien, du hmong-mien (ou miao-yao), du taï-kadaï, de l’austronésien, de l’altaïque, du boréen, du dené-caucasien, de l’austrique ou d’un smorgasbord du tout composant le néocortolinguofrancobinariosexagesimoctavo-
      brobdingnagien?

    2. J’espère cher Corto que vous savez qu’il existe aussi la charmante ville de Salò (le o avec un accent grave), sur la côte bresciane du lac de Garde. C’est très joli, bien plus accueillant que les classiques Sirmione, Desenzano et Peschiera del Garda et je recommande de commencer par Salò si on veut faire le tour de ce lac. Il y a aussi Salo en Finlande …..
      Comme quoi les langues sont surprenantes avec toutes ces nuances de “sal……”, cela met du piment en sus du sel. eab

      1. Et feue la République du même nom, vous la recommanderiez à titre posthume?

        1. Francisco della Sale …. nel 1943 non era nata ! e non ho alcun gusto per il fascismo o qualsiasi altra forma di “oppressione” – “costrizione” fisica o intellettuale. La libertà non è mai scontata. Salve, con un “v” dopo il “l”. eab

  21. Madame la Professeure, vous avez certainement rédigé sur votre “NoteBook” vos note avec “Word”, il doit vous arrivez d’utiliser “Power-Point” de “MicroSoft”, dans votre “Parking” vous ne mangez certainement pas des “nuggets” avec du “Ketchup”, mais parfois un “Sandwich” sur le pouce.

    Le but absolu n’est il pas de rester “fairplay” ?

  22. Bonjour Madame et bonjour à toutes et tous,

    En dernière analyse, la porcherie de Vidy, celle d’après son utilisation par le peuple (et peuple avec un tout petit “p”) car ce peuple là est tout petit, cette porcherie disais-je, est un véritable déni de la démocratie, sa souillure. Car, la démocratie n’implique-t-elle pas la responsabilité ? Responsabilité de chacun… de ramasser ses déchets aussi ?
    Ces minuscules gens, minuscules de par leur minuscule moralité, font que la démocratie est dénigrée, souillée !! Tant qu’il y aura des gens minuscules ainsi, la société et le monde connaîtront des conflits et du désordre.
    Et à coup sûr, l’anglicisation en est aussi une de ses conséquences, car baisse de l’intelligence en général.
    Très bonnes salutations à vous Madame et toutes et tous.

    1. @Antoine ; Je pense que ce peuple qui se comporte de cette façon n’a pas reçu l’éducation qu’à reçue le “peuple” qui l’a précédé. J’en veux pour preuve la réputation de propreté qu’avait la Suisse chez les visiteurs venus de l’étranger il y a quelques courtes années. J’ose prétendre que l’école avec son idéologie laxiste qui prétend que l’enfant doit apprendre “tout seul”, qu’il a des “Droits” etc…, a une grande responsabilité dans cette nouvelle attitude détestable …


    2. Oui le peuple c’est salissant, le peuple rote, parle la bouche pleine, est bruyant, laisser des emballages souvent en plastique non consignés, les même qui massacrent les mers et les océans, vous savez ces conseils d’administration représentés par leurs actionnaires qui ont optés pour les bouteilles en plastiques, les chaines de malbouffe qui investissent plus dans le “packaging” que dans les contenus.

      Saviez-vous pourquoi les multinationales choisissent autant l’option d’investir dans les emballages jetables, faites un tous autours des fastfood, et bien et selon un des grand maître du marketing “les déchets abandonnés dans les espaces publics constituent la meilleur publicité possible !

      Eh oui, ce sont les mêmes que vous pouvez croiser dans les 5 étoiles qui sont à l’origine de cette pollution planétaire, …

      Autre constat, lorsque vous allez dans le bar ou le restaurant du Beau-Rivage, avez-vous remarqué que vos sodas de marque vous sont servit dans des bouteilles en verre consigné ?

      Pourquoi ne pas démocratiquement servir les mêmes services au peuple qu’aux élites ?

    3. Le plus fou dans cette histoire, c’est qu’un coca 33cl conditionné dans une bouteille en verre et facturé moins cher qu’un coca 33cl dans conditionné une bouteille en plastique !!

  23. Le sage montre la lune et…..

    Le puritanisme français est en train de perdre ce qu’il reste du statut longtemps respecté que les autres nations pouvaient encore vouer à la France et sa langue, justement à cause de ces querelles de petits chapons enroués. Non seulement la France et sa francophonie, mais l’ensemble de l’Europe sombre dans un nombrilisme contre-productif et dépassé !

    Comme je viens de le dire dans mon comm précédent, notre humanité a changé de mode de communication, la communication elle même a changé d’altitude, en 3 milliseconde il est possible de transférer l’équivalent l’équivalent de 2’000 pagesA4 avec une connexion à 15 dollars par mois. (en Suisse c’est beaucoup moins rapide et beaucoup plus cher)

    Des gamins de 25 ans possèdent des entreprises cotées en bourse, parce que les banquiers de certains pays ont compris qu’il faille allez très vite, pendant ce temps l’Europe et ses langues ciselées dans le sapin passe de civilisation à tiers monde. Les chinois, même sans les banques “capital-risk” l’on compris, ils avaient 5 trains de retard il y a 15 ans et maintenant ils font passer les européens pour des analphabètes, il y a 10 ans, parmi les promoteurs de la 3G (3ème génération) ont avait l’européen Siemens, 2 (générations) plus tard, c’est le chinois Huawei qui a 5 ans d’avance !

    Je veux que l’on s’attarde sur les craquelures du cadran de l’horloge, est-ce une bonne raison de louper le train ?

  24. Il ne faut pas oublier que les chiffres, rien que pour les emballages plastiques balancés dans la nature se calculent en milliards d’unités par jour, nous sommes pas encore à 8 milliards sur terre et pourtant, ce ne sont pas moins de 47 milliards d’emballages en plastique qui finissent dans la nature au quotidien.

    Les emballages plastiques et particulièrement les bouteilles en plastiques représentent certainement l’une des menace les plus inquiétante au niveau planétaire, le nombre de ces emballages jetés dans les mers augmente constamment et les diverses espèces de poissons sont tous intoxiqués avec ces matériaux plastiques qu’ils ingurgitent et qui son constitués à 99% avec des emballages et certains osent parler de “démocratie” dans leurs élans mystico-social ?

    Ce sont les industriels et les “majors”, ces multinationales qui ont optés pour ce massacre environnemental programmé et ils luttent contre ceux qui demandent que des mesures soit prises, notamment imposer des consignes suffisamment convaincantes pour que les gamins se fassent de l’argent de poche en ramenant ces emballages vers des canaux sérieux de transformation. Ils ne le veulent pas, car fabriquer des bouteilles avec d’autres bouteilles recyclées coute 3 fois plus cher que d’utiliser des plastiques vendus par l’industrie pétrolière, par contre, on leur impose d’imprimer sur leurs emballages des logos indiquant qu’ils sont recyclables, mais simplement qu’ils ne sont pas recyclés, à 90% ils ne sont pas recyclés au niveau planétaire et lorsqu’ils le sont, ils sont envoyés vers des destinations qui sont incapables de le faire !

    Ces multinationales ont toutes leurs sièges dans des pays comme la Suisse, qui elle tire et “recycle” plus de 87% de ses déchets plastiques (Suisse), belle vitrine pour les pollueurs, mais si c’est pour les envoyés au Pakistan, au Sri Lanka ou au Nigéria, bravo !

    En Afrique et au Shri Lanka, les gamins qui bossent dans les gigantesques décharges à ciel ouvert, gagnent 2 centimes par kilo de plastique PET qu’ils récupèrent, ils doivent bossés 10 heures pour espérer gagne 1 franc suisse, dans ces décharges, des employés créent des départs de feu, ils travaillent entourés de ces fumées (suies noires) et développent dès l’âge de 10 ans des cancers des voies respiratoires.

    Et bien je vais vous le dire cash, c’est bien qu’en Suisse que nous puissions, à très petite échelle, puissions nous confronter à ce gâchis planétaire, que nous ayons aussi un échantillon de cette réalité qui étouffe la vie marine, qui noircit l’atmosphère et qui rempli les comptes des multinationales des investisseurs néo-libéraux !

    Des lobbies sont présents à Bruxelles, rien que pour maintenir cette situation, si nous votions urgemment pour que chaque bouteille soit consignée de 50 ct l’unité et que nous recyclions réellement ces emballages, le problème serait clos !

    En Israel, toutes les bouteilles en plastique sont consignée à hauteur de 15 centimes l’unité, Israel a obtenu le premier prix de l’environnement décerné par WWF et cela depuis des années, certains, au lieu d’être entretenus par les social en ont fait un métier, ils se promènent avec des caddys qu’ils remplissent, spécialement dans les lieux publics fréquentés, j’ai parlé avec l’un d’entre eux à ce sujet, avec ce job, il ramasse en moyenne l’équivalent de 20 et 30 francs suisses de l’heure et les consommateurs font une bonne action en laissant leurs emballages sur place !

    Mais ne vous en faites pas, en Suisse, pays des holding de ces multinationales, jamais ils imposeront politiquement de telles solutions, mauvais, pensent-ils pour leurs actionnaires et leurs dividendes !

    Il ne me semble pas qu’Israel soit un pays en voie de développement !

  25. Exemple de ce que Madame Sandoz censure :

    “Autre détails, vous aurez certainement entendu parler de ces sociétés spécialisées dans les déchets, mais restons dans les déchets en PET, nous avons vu que des navires entiers chargés de ces emballages soigneusement récoltés, conditionnés en cubes chauffés pour compression, puis envoyés au Sri Lanka ou au Pakistan et dans diverses destinations africaines. Une fois arrivés à destination, sont à nouveau décompressés et lâchés dans la nature et spécialement dans les océans ou pire, brûlés en plein air, à proximité des populations, ces emballages PET, lorsqu’ils sont brûlés sans précaution particulière et dégagent des quantités d’émanations appelées “suies noires”, certainement ce qu’il y a de plus cancérigène dans les incinérations à ciel ouvert !”

    Ca va le chalet ?

    1. Ouvrez votre propre blog si vous avez tant à dire !

      Au minimum, cliquez sur “répondre” afin d’arrêter de nous noyer dans vos messages. C’est moins gênant si vous ouvrez un thread et si vous y restez.

  26. Trump: zero guerre.

    Biden: ça explose partout.
    La semaine dernière, Blinken va au Kosovo, hier, Pelosi va à Taiwan…

    A quoi jouent les fauxcons démocrates???

  27. De manière générale, puisqu’il faut trouver des porcs dans cette sale affaire, faisons un calcul :

    Nous consommons 100 à 1000 fois plus d’énergie à produire des contenants que de contenus. Il faut 200 fois plus d’énergie pour produire une bouteille vide en plastique que ce qu’elle contient, même si son contenu est bourré de saccharose, caloriquement parlant !

    Qui sont donc les porcs dans cette histoire ?

    Les consommateurs ou nos politiques qui ne font plus barrage à ces délires ?

    J’ai ma petite idée !

  28. Cette manière de pousser les humains de quitter leur rôle d’être humain fait partie intégrale de la déconstruction instituée par les mondialistes, …

    Pendant que nous parlons, ils viennent d’introduire des lois permettant aux européens de changer de sexe un fois par an !

    Ils vont toujours dans le sens de la déconstruction des personnes, faire des humains des sortes de robots incapables de discerner leurs destinées et la destinée de leur environnement. …

    L’exemple des déchets présentés par Madame Sandoz, par Suzette n’est pas si anodin qu’il pourrait sembler, ça se passe à tous les niveaux, leur objectif et de ratisser les consciences et de pourchasser en vous la moindre trace d’intelligence et de logique, tout est devenu absurde, de la bouteille en plastique aux injections OGM forcées, de la voiture électrique aux changements de sexe programmés !

    Ils sont en train de faire de vous, de nous, des choses malléables à souhait, des êtres qui ne fonctionnent qu’au travers de leur prisme idéologique —

    Bonne fin de semaine

    1. Je vous en supplie, soyez moins long! Cela donne un mauvais exemple et je suis obligée de couper.

      1. Dans la “blogosphère”, où tous les genres sont permis sauf ceux qui ne le sont pas, il en existe un, en particulier, qui porte le nom de +”blogo-squat” et désigne un bavardage qui s’entretient tout seul, sans rapport avec le billet d’origine. Il semble que certains de vos lecteurs soient devenus maîtres du genre, ou en passe de l’être, sans même s’en rendre compte. A ceux-là, sans prétendre leur faire un cours de journalisme, peut-être n’est-il pas inutile de rappeler quelques règles de base:

        Première règle: la fameuse “grille des six questions” – Une information (ou connaissance de base) n’existe que si elle répond aux six questions “Qui?” – “Quoi?2 – “Où?” – “Quand?” – “Comment”?” et surtout “Pourquoi?”. Si une seule de ces questions reste sans réponse, l’information n’est pas valable.

        Deuxième règle: le “chapeau” – Tout(e) journaliste débutant(e) apprend à rédiger le premier paragraphe d’un article en pas moins de trois lignes et pas plus de cinq, qui répond aux six questions ci-dessus.

        Troisième règle: la pyramide inversée – Elle reprend par ordre d’importance décroissant chaque élément du chapeau, ce qui permet à l’éditeur ou au secrétaire de rédaction de couper un article en fonction de la place dont il dispose sur sa maquette. En anglais on dit “All the news that fit to print” (toutes les nouvelles qui s’impriment sur mesure) mais que certains, dans leur angoisse de ne pas rentabiliser leur production, interprètent parfois en sens inverse: “All the news that print to fit” (toutes les nouvelles qui s’impriment pour remplir de l’espace).

        On le voit, la pyramide inversée – à la limite pas plus que le chapeau que la grille des six questions, ces trois mamelles de l’information – a d’abord une visée pratique, à seules fins de rentabilité et pour permettre à l’éditeur et à l’imprimeur d’adapter le contenu rédactionnel aux moyens matériels de publication dont il dispose, ceci à l’exclusion de toute visée stylistique ou littéraire.

        Dans ce genre, les Américains sont passés maîtres, raison pour laquelle, peu embarrassés par les considérations de pure théorie, ils dominent les mass media (le tam-tam tribal comme les appelait Marshall McLuhan) pour le meilleur et pour le pire. Or, dans la vieille Europe, par un respect en partie hérité de l’école, on a encore trop tendance à confondre article de presse et dissertation littéraire ou philosophique, voire mémoire académique. L’avènement des blogs, qui n’imposent en principe pas de limites à leurs auteurs dans le mesure où elles n’enfreignent pas les lois en vigueur – encore que celles-ci soient loin de s’être adaptées au phénomène nouveau du Web – n’offre-t-il pas un bel exemple de cette confusion des genres?

        Pour mettre un ordre dans ce chaos, qui ne date bien sûr pas du Web, comme on me l’a appris autrefois dans mes cours de journalisme, Virgile avait défini sa célèbre “roue des styles” au sommet de laquelle trônait le “stylus sublimis” (le genre littéraire) opposé, tout au bas, au “stylus humilis” (on dirait aujourd’hui le style journalistique). Mais avec le temps la roue, du modèle statique qu’elle était sous la plume de son auteur, s’est mise à tourner. Le Web l’a mise en mouvement et même de plus en plus vite. Au point qu’on ne sait plus trop comment l’arrêter.

        Alors je m’arrête ici car je sens que la roue m’emporte déjà dans son irrésistible mouvement quasi brownien et ça m’fait tourner la tête.

        Bien à vous,

        T.

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