Mise au point après un article mal compris

Certaines personnes auraient reproché au Temps d’avoir admis sur un blog mon texte intitulé « Y a-t-il un droit à l’avortement ? » où auraient été écrites des choses fausses par rapport au droit suisse  (qui n’était au demeurant pas l’objet de cette réflexion concentrée sur l’aspect éthique du problème) ; je tiens donc à apporter quelques précisions au sujet du droit suisse afin d’éviter tout malentendu.

Le code pénal suisse actuel

A aucun moment le code pénal suisse actuel n’utilise le terme « avortement ». Il ne traite, aux art. 118, 119, 120, que de “l’interruption de grossesse” et met en titre marginal des articles 118 et 119, sièges de la matière, les termes suivants :                  « Interruption de grossesse punissable » et « interruption de grossesse non punissable».

Liberté de la femme “d’interrompre ou de faire interrompre sa grossesse pendant les 12 semaines suivant les dernières règles”

C’est à l’art.  118 al. 3, intitulé « Interruption de grossesse punissable », que l’on trouve le passage suivant : « La femme qui interrompt sa grossesse, la fait interrompre ou participe à l’interruption d’une quelconque façon après la douzième semaine suivant le début des dernières règles, sans que les conditions fixées à l’art. 119, al.  1er soient remplies, sera punie etc… ». C’est ce passage qui consacre la pleine liberté de la femme d’interrompre une grossesse pendant les 12 semaines suivant le début des dernières règles.

La formulation du code recourt à une tournure sémantique qui tient compte de la charge éthique de la notion d’avortement.

Du 1er janvier 1942, date de l’entrée en vigueur du premier code pénal suisse, au 1er octobre 2002, date de l’entrée en vigueur des articles actuels susmentionnés concernant l’interruption de grossesse, le code pénal suisse distinguait d’une part     « l’avortement » (non défini) « commis par la mère », puni de l’emprisonnement (art. 118)  et “l’avortement” (non défini) “commis par un tiers” , puni de la réclusion (art. 119), et d’autre part « l’interruption non punissable de la grossesse », soumise à des conditions très strictes (art. 120), avec, d’ailleurs, la précision  que, dans ce cas, « il n’y a pas avortement au sens du présent code ».

On mesure bien dans la terminologie choisie, la charge éthique de la notion d’avortement.

La charge éthique du mot « avortement » est également respectée dans le droit actuel où le terme “avortement” a totalement disparu du code et où le législateur ne parle plus que “d’interruption de grossesse”, montrant par là d’ailleurs que sa vraie préoccupation est l’aide à  la détresse éventuelle de la mère.

On peut reprocher au législateur d’avoir atténué la réalité médico-juridique de l’avortement en évitant le terme même et en recourant à une formulation concentrée sur la grossesse, soit sur la mère. Mais on peut affirmer aussi qu’en laissant toute liberté à la mère d’interrompre sa grossesse pendant les douze semaines qui suivent les dernières règles puis en posant certaines conditions à cette interruption après ce délai, le législateur a évité de reconnaître un pur et simple « droit à l’avortement ».

La question éthique du « droit à l’avortement » vaut donc d’être posée avant qu’elle soit peut-être ignorée.

 

 

 

 

Suzette Sandoz

Suzette Sandoz est née en 1942, elle est professeur honoraire de droit de la famille et des successions, ancienne députée au Grand Conseil vaudois, ancienne conseillère nationale.

73 réponses à “Mise au point après un article mal compris

  1. Merci, Madame, de vos articles très utiles et pertinents. En ce qui concerne vos précisions de ce jour, je me demande toutefois si si votre déclaration suivante ne devrait pas être nuancée: “[ce passage du Code pénal] consacre la pleine liberté de la femme d’interrompre une grossesse, etc.” Ne conviendrait-il pas d’ajouter: (1) que le passage en question se trouve sous le titre général “Infractions contre la vie et l’intégrité corporelle”; (2) qu’il fait partie, comme vous le dites, de l’art. 118 traitant de “l’interruption de grossesse punissable”, dont il annonce une exception (qui n’est pas un principe ni une règle générale), celle que vous citez; (3) qu’il est suivi de l’art. 119 qui précise certaines conditions à remplir pour que l’interruption ne soit pas punissable. Si on tient compte de ces éléments, il semble exagéré de conclure à une “pleine liberté” de la femme d’interrompre sa grossesse. Qu’en pensez-vous?

    1. Tout allait bien dans nos lois, avant l’arrivée de la chienlit, qui veut tout jeter par terre et nous sculpter à leurs images.

  2. Vous devriez tout simplement renoncer à nous infliger votre incohérence et votre médiocrité. Laissez la place à de jeunes bloggers. Ils ne pourront assurément pas être pire que vous. Et je ne parle même pas de votre pamplet sur l’OTAN qui était tout simplement à gerber !

    1. Le Temps ne sélectionne pas les candidats auteurs sur le critère de l’âge, leur nombre a doublé en quelques années et aucun d’eux ne manque de place pour s’exprimer, commentateurs non plus.

    2. Au nommé Christian:
      Avant d’attaquer sottement et impoliment Mme Sandoz, apprenez plutôt l’orthographe (et la politesse). Le “pamplet” sur l’OTAN, qui n’était au reste pas non plus un pamphlet, mais un raisonnement fort bien envoyé, n’était pas là pour vous faire plaisir, mais pour rappeler certaines réalités historiques. Mais vous préférez les “jeunes bloggers” parce qu’ils avalent toutes les sottises officiellement admises par les médias bien-pensants (qui ne pensent guère, mais écrivent comme vous n’importe quoi).

    3. Cher Christian,

      Savoir que votre émotion pourrait vous rendre malade « à g… » me chiffonne.

      Les débats-discussions du Professeur Sandoz sont utiles pour clarifier les esprits.

      Choisir entre apprendre, raisonner et garder son self-control ou bien partir vers la haine et la colère puis le remord ou pire encore; aller vers la démence qui mène au crime ou à l’assassinat… chacun est libre de choisir son chemin pour être heureux, sauf à être derrière un rideau de fer ou sous une « chape de plomb » culturelle.

    4. Pourquoi “laisser la place à des jeunes blogeurs” ? Les citoyens de ce pays ne sont-ils pas tous égaux en droit?
      Ensuite, qu’allez-vous demander si l’opinion de ces “jeunes blogeurs” ne vous convient pas?

      (ce qui ne veut absolument pas dire que je suis d’accord avec la position de ce blog sur la Covid, la guerre en Ukraine, le don d’organes ou autre, mais la question n’est pas là!)

    5. @ Christian :
      Votre intervention dans ce débat est curieuse et très surprenante.

      En effet, d’une part vous qualifiez la “partie adverse” d’incohérence et de médiocrité, d’autre part, vous participez à ce mouvement de fonds qui tendrait à empêcher les porteurs/porteuses de messages différents de s’exprimer en tentant de ridiculiser, d’infantiliser, de délégitimiser leur propos.

      Pour ma part, j’ai besoin de comprendre et je me pose 3 questions :
      -1. Comment se fait-il que vous soyez aussi virulent face à une opinion différente de la vôtre (et peu importe si vous êtes populaire (mainstreem)) ou pas ?
      -2. Que se passe t-il pour vous quand vous êtes dans l’autre rôle, celui du censuré ?
      -3. Quelle valeur ajoutée apportez-vous au débat par votre intervention ?

      En ce qui concerne le point de vue juridique de l’auteur (auteure ou autrice ?), je ne peux constater qu’une chose : son désir d’être claire et cohérente. N’en déplaise à certains/certaines le droit, tout imparfait qu’il soit, doit être respecté et n’accorde pas toutes les libertés à tout le monde. Il y a des règles, des principes et des valeurs qui ont été défendus avant nous et qui, de mon point de vue, doivent nous survivre. Point de vue avec lequel vous avez le droit de ne pas être d’accord.

      En effet, sur cette question, il est facile de s’exprimer sans être concerné/e directement dans son corps.
      Je trouverais formidable que des histoires de vie d’enfants sauvés, devenus adultes nous soit relatées.
      Au même titre que je trouverais formidable que des femmes bouleversées dans leur vie, par un traumatisme aussi abject que le viol par exemple, puissent témoigner de leur choix.
      Il en va de même pour des couples ayant été fortement chamboulés par une tension très forte face à cette question, témoignent de leur choix assumé.

      Si je parle de couple, c’est parce qu’il me semble qu’aujourd’hui encore il faut un homme et une femme pour procréer un enfant parfois malheureusement non désiré. En Suisse, les statistiques fédérales donnent un chiffre d’un peu plus de 11’000 interruptions de grossesse par an.
      En complément à ce chiffre il en existe un autre tout aussi officiel (et très certainement sous estimé de beaucoup) de 600 plaintes pour contraintes sexuelles. Même si l’on multiplie ce chiffre par 10 il reste un delta d’environ 5’000 enfants.

      Questions qui fâchent concernant ces 5’000 enfants :
      – où sont les pères qui devraient assumer leur “copulation” (hou le moche mot) et qui après s’en lavent les mains ?
      – où sont les mères qui devront assumer physiquement les conséquences de cet acte consenti ?

      Je vous souhaite, Christian, une bonne suite de semaine.

    6. Vous voulez tellement rentabiliser votre abonnement au journal LT, que vous ne pouvez pas vous empêcher de lire ce qui ne vous plaît pas, c’est dingue. …

  3. Mettre l’avortement en lois… ou comment passer à côté du sujet. Car la procréation est l’acte le plus social qui puisse être par son essence même. J’observe que la loi considère que la femme est seule devant cette décision, ce qui plaît sans doute aux féministes, mais ne correspond le plus souvent pas à la réalité: pour les nombreux cas que je connais, la décision se prend en couple et, malheureusement, c’est bien souvent l’homme qui s’efforce de frustrer sa compagne d’une maternité sereine.
    Désolé pour ce grand coup de pied dans la fourmilière des militantes de la libération des femmes par l’avortement et l’individualisme.

  4. Chère Madame, je crois que beaucoup d’entre nous avions assez bien compris un élément important de votre démonstration, soit sa pièce manquante: L’AVIS MÉDICAL. À l’article 119/148 du Code pénal, il est clairement énoncé comme pouvant arbitrer en faveur de l’interruption de grossesse si celle-ci permet d’écarter un danger. Pourquoi l’éludez-vous? Serait-ce que votre confiance en votre médecin – et dans tout diagnostic médical avisé qui se respecte décline? Dans votre mise au point de ce matin, vous ne parlez plus de l’aide à mettre dignement fin à ses jours. Je vous suggère, si ce n’est déjà fait, d’évoquer calmement avec votre médecin les “directives anticipées”. Qu’on les veuille adopter ou pas, en parler fait du bien. Tout individu a peur de mourir. Aucun n’a assisté à sa conception et à sa naissance. La Suisse est ce pays où on peut librement aborder ces questions. Mais c’est aussi un pays où plus de 350 enfants sont victimes de l’inceste chaque année. Un pays où des parlementairee élus pensent que le Code pénal devrait être révisé afin de lever l’interdit de l’inceste. Vous n’êtes pas sans savoir qu’un inceste peut occasionner une naissance. Tout comme d’autres formes d’abus en nombre. Je ne parle même pas des femmes violées à l’est depuis le commencement de la guerre, réfugiées par exemple en Pologne où avorter devient impossible puis, qui grâce à votre casuistique des bons réfugiés, pourraient enfin être soulagées dans notre pays. Avec accompagnement médical, s’entend. Alors où voulez-vous en venir?

  5. Il serait peut-être temps de mettre un terme à vos bavardages. Chaque âge a ses plaisirs.

  6. Merci pour ces précisions. Je divergeais sur plusieurs points dans votre blog précédent sur le même sujet. Mais votre texte et les nombreux commentaires ont été très utiles.

    D’une part, vous avez enrichi le débat. D’autre part, vous avez démontré une fois de plus que de nombreux sujets sont complexes ne se réduisent pas à une simple position “pour” ou “contre”.

    Cette mise au point m’a d’ailleurs apporté des compléments d’information.

    Quand aux appels à la censure: rappellons qu’une huitre peut transformer un grain de sable en perle. Les autres n’auront d’autre utilité que d’être digérées après avoir procuré un très court plaisir gustatif ! (au fait: on les mange vivantes, à quand un blog sur ce terrrible volet de la souffrance animale).

    Bref, merci encore pour vos billets que je continuerai à savourer avec plaisir.

  7. Chère Madame Sandoz
    Je pense que vous êtes contrainte et que c’est votre devoir civile de continué a partagé votre vision claire et votre questionnement éclairée sur des sujets qui nous affectent tous. Quand ont pense a certains pitoyable contributeurs, qui de toute évidence paye leurs factures grâce a leurs maigre rendement boursier ou travail pour une entreprise qui roule sur de l’argent imprimée, et qui n’ont aucune notion de l’histoire du 20 siècle, il faut naturellement faire preuve d’empathie et de tolérance. Votre article sur l’Otan ainsi que l’Europe Vassalisé sont absolument précis et excellent. Je me réjouis de vous relire.

  8. Si l’avortement est un sujet sensible, pour autant chaque opinion est respectable. Qu’importe si votre article était mal compris, il est inacceptable que des personnes veulent censurer, bloquer un article.
    Ces personnes, souvent des jeunes déconnecté du monde réel, mettent à mal la démocratie, la liberté, pour vouloir imposer un ordre arbitraire, leur morale. Et j’en veux à une gauche qui a passé du mantra de la liberté à celle de la morale.
    Lorsque des militants empêchent un débat à l’université de Genève, la patronne du ps genevois comprends. Comprendre l’atteinte à la liberté? C’est inacceptable.
    Il ne faut pas céder.
    Je ne suis pas d’accord avec vous sur bien des sujets comme l’OTAN, la neutralité. Mais c’est votre droit de dire ce que vous pensez.
    Il y a un danger sur la liberté d’expression qui viennent de militants politiques ou religieux. Tout le monde sait d’où ça vient, du militantisme de gauche encouragé par les partis. Autant j’apprécie la gauche populaire autant je rejette la gauche de militants venus des sciences sociales.
    Ces dérives mettent à mal la liberté conquise par nos ancêtres.

  9. Vos interpellations sont un enrichissement que ne mesurent pas tous les “lecteurs”.
    Le débat d’idées, qui nécessite un minimum de réflexion et n’aboutit que rarement à UNE réponse, dérange. Votre blog est un des (trop) rares lieux où chacun peut, librement, en respectant quelques règles de civilité, exprimer un point de vue. Je le perçois comme un instrument de l’exercice démocratique.
    Les médias diffusent d’amont en aval, rarement en sens inverse.
    Les politiciens sont, parfois, convaincus d’avoir reçu avec leur élection, l’intelligence et la connaissance nécessaires à l’exercice du pouvoir.
    Femme ou homme, (pardonnez-moi de ne pas être correctement inclusif), citoyen ou lecteur, n’a guère de lieu où s’exprimer, sans étiquette partisane.
    Je ne peux que vous encourager à poursuivre cet exercice dont j’espère que quelqu’un tire le bénéfice intellectuel pour remettre en question.
    Quant à ceux dont la discipline de réflexion dépasse l’entendement, il leur reste le choix (démocratique) de ne pas vous lire.

  10. Ce n’est pas un article mal compris. C’est un article qui remet en cause certains “acquis” de l’individualisme “progressiste”. Alors que se profile aux Etats-Unis un abandon de la jurisprudence Roe v. Wade (abandon que l’on essaie d’interpréter comme une des dernières facéties de Trump – alors qu’il s’agit d’une évolution logique qui se profile depuis longtemps), une telle position ne pouvait que vous valoir une “remise à l’ordre” publique, par des gens qui en appellent à notre ordre juridique, qu’ils connaissent d’ailleurs moins bien que vous. On veut ainsi vous reprendre sur l’usage du terme “enfant” (qui ne s’appliquerait prétendument qu’aux enfants nés vivants), alors que notre droit (article 9a de l’ordonnance sur l’état civil) utilise expressément le terme “enfant”/”Kind”/”infante” dans les dispositions qui traitent de l’ “enfant né sans vie”, soit celui qui à sa naissance est sans vie, pèse moins de 500g et a moins de 22 semaines de grossesse (et qui peut donc tout à fait être encore un embryon(!)). Et on le fait juste pour vous reprocher d’avoir présenté faussement de prétendus faits, et d’avoir ainsi violé la charte, ce qui est censé vous décrédibiliser pour le futur. Vous ne devriez pas laisser passer cela.

  11. Les enragés ne veulent rien savoir de l’éthique. Ils veulent juste abattre, petit à petit, l’ordre moral qui gouverne dans nos lois.

  12. Je soutiens sans réserve Mme Sandoz. La question n’est pas de savoir si mon petit “je” est d’accord avec Madame Sandoz (nous devrions aussi définir avec nuance ce que veut dire “être d’accord” et si le débat se borne à être d’accord ou pas). La question essentielle de tout débat est bien dans le développement de l’argumentation, par une personne cultivée, polie, nuancée, respectueuse et qui apporte son point de vue et écoute le point de vue des autres qui utilisent aussi culture, politesse, nuance, respect. Ainsi le débat s’enrichit. Pour ma part, l’approche et l’analyse sous l’aspect du Droit m’a apporté des connaissances que je n’avais pas et qui m’ont beaucoup intéressée. Je découvre que le législateur a apporté beaucoup de nuances, parfois sémantiques : plutôt que de dire qu’il existe un “droit à l’avortement”, il a préféré dire qu’avant 12 semaines l’interruption volontaire de grossesse n’était pas punissable. J’y vois un souci de nuance et de respect des opinions très louable.
    Les simplistes manichéens qui nous affligent de leur opinions noir/blanc, juste/faux, permis/défendu, j’ai raison/tu as tort, affichent en fait, par leur incapacité-même à débattre sainement, leur fragilité. C’est en effet le problème de la Cancel Culture actuelle qui abuse de la liberté d’opinion pour imposer avec une véhémence déplacée une façon de voir dans l’espoir de faire taire les avis divergents.

  13. Après réflexion, il me semble que le législateur a décidé de cette appellation en raison de son empathie pour les jeunes femmes à qui cette mésaventure survient. Malgré le nombre de centres de prévention des grossesses non désirées, malgré l’existence d’une panoplie de moyens cntraceptifs, il est presque toujours vérifié que les moins averties d’entre elles (si pas les moins en confiance avec leurs parents, se risquent par curiosité et, pourquoi pas, sous la poussée du désir, à s’aventurer dans des relations peu sûres.; J’irais même plus loin, en me rapportant à mon expérience, c’est que toutes les jeunes filles, qu’elles soient protégées ou non, sont outes exposées à ce dérapage. Bien que les garçons ou les jeunes hommes soient souvent mieux informés sur cette question, l’approche de leur partenaire est trop intéressée pour se soucier du destin de celle qui ne comptera pour eux qu’un instant. Certes, il ne sert à rien de moraliser sur les défaillances du système d’éducation propre à notre époque et où les écoles jouent un rôle plutôt ambigus en compliquant inutilement les choses avec leurs prêchi-prêcha LGTB, ou en reprochant aux parents leur manque de courage lorsqu’il s’agit de mettre des limites aux nouvelles générations qui ont la répartie facile. Toutefois, l’on pourrait se demander si l”angoisse d’avoir mis au monde un jeune chômeur ou ne jeune chômeuses potentiels ne les conduit pas à négliger le peu de emps qui leur est laissé en marge de leurs professions, pour le consacrer à l’éducation affective de leurs enfants. Puisqu’ils ne sont plus assurés que ces derniers suivront la voie qu’ils ont eux-même suivie, il est d’autant plus nécessaire d’explorer en conversant avec eux des différentes options de vie qui vont les surprendre à la puberté (eh! oui, c’est inouï comme notre époque contraste avec celle d’il y a trente ou soixante ans). C’est une tâche difficile, mais je ne vois pas à qui d’autre en confier la responsabilité.
    Quant aux interruptions de grossesse qui surviennent à l’âge adulte, le problème est d’un autre ordre, bien que l’on est parfois surpris par le manque de maturité des acteurs en cause. S’il s’agit d’un viol, l’affaire concerne avant tout la justice et le mal commis par le partenaire masculin. S’il s’agit de relations consenties, l’on est en droit de se demander si l’on a encore à faire à des individus responsables. Pourquoi, en ce siècle où tout se détraque, les personnes en cause ne s’approchent-elles pas plus prudemment, en donnant à leur relation l’occasion de mûrir, plutôt que de s’enquiller précipitamment sans vraiment savoir à qui elles ont à faire? La hâte de jouir dont nos contemporains font montre, a quelque chose de pathologique. N’a-t-on jamais appris que le bonheur ne s’atteint pas à force de multiplier les pliaisirs? Il est certes justes d’affirmer que les femmes en sont les premières victimes de cette intempérancce, mais il ne suffit pas de parler à l’accusatif. Des indices croissant tendent à montrer que nous entrons dans l’ère des psychopathes et des pervers, dont une des stratégies consiste à séparer la sexualité du sentiment amoureux, et plus globalement, de ce que le sujet éprouve sur le pan affecti et émotionnel. Il serait grand temps de s’interroger sur la question de savoir si, au nom d’une “libération” qui ressemble davantage à une aliénation, nous ne faisons pas fausse route et qu’il s’avère de plus en plus urgent de resituer la sexualité dans son contexte – avant que l’interruption de grossesse nous oblige à le faire.

  14. Chère Madame, Je vous remercie pour vos deux mises au point concernant votre premier billet et celui-ci. Je salue au passage le commentaire de Monsieur Ziehli. Quant au commentaire injurieux de ce Monsieur Chrisitan, ce n’est pas à vous de censurer de tels propos mais bien à l’éditeur du journal Le Temps qui permet la publication de tels commentaires ainsi que ceux de tous ces lâches se cachant sous le couvert de l’anonymat.

  15. Il est un temps pour tout. Cessez SVP de nous gaver dorénavant de vos bavardages simplistes, merci!

    1. En quoi les bavardages sont simplistes, pouvez-vous étayez ? autrement votre commentaire est facile et gratuit.

  16. Comment nommer une société qui accorde le “droit” à l’avortement ou à “l’interruption volontaire de grossesse” (l’euphémisme des lâches), le droit au meutre d’un enfant à naître totallement innocent ? Une fois un tel “droit” accordé ou toléré, il n’existe plus aucune barrière morale. Il n’existe plus aucun frein à la décomposition de l’ordre moral et social. Si l’on peut exterminer un enfant à naître sans défense aucun des éléments de la loi naturelle qui fonde les sociétés ne tient plus. Alors, lentement mais inéxorablement, la vie en société se défait. C’est alors une société qui se suicide, ne croit plus en son avenir, n’investit plus dans la vie quoi qu’il en coûte. Plus de 10’000 avortements par années (dûment remboursés et financés par l’assurance et l’impôt), c’est 100’000 meurtres en 10 ans, 400’000 enfants qui ne naîtront pas en 40 ans; en 50 années de pratique de l’avortement “légal”, 500’000 destins uniques broyés et jettés à la poubelle. Le viellissement de la population et toutes ses conséquences dont sa submersion et sa dispatition inéxorable. Une société sans avenir, à la remorque de son égoïsme, de son démentiel “moi je”, de sa jouissance immédiate et sans responsabilité. D’une mutilation de la pensée et de la personne lorsque l’on sépare radicalement les causes et les effets, les actes de leur conséquence. Le mal n’est pas seulement, ou principalement moral, de l’ordre de l’agir, mais il constitue une mutilation de la raison. L’Histoire est sans pitié pour ce genre d’errements. Une classe politique qui ne s’oppose pas à cette chute, pire qui l’accompagne et l’encourage, a perdu tout crédit et tout respect.

    1. Vous y allez un peu loin. Pour une grossesse involontaire la loi permet aux femmes de l’interrompre dans un délai assez raisonnable dans notre pays. A vous suivre, combien de gamines seraient restées seules tout le long de leur vie avec un enfant indésiré? Du premier coup Simone Weil a produit une bonne loi qui a été reprise ici et là, et ajustée selon les mentalités de chaque pays, et presque partout dans le monde avancé. Les USA en 1973. Dans ledit pays après cette possibilité offerte aux femmes, la délinquance et la criminalité ont baissé de moitié 20 ans plus tard (j’ai lu cette statistique dans une “revue des deux mondes de 2012). Car les grossesses involontaires arrivent souvent dans les milieux modestes, et la précarité augmente les risques de se trouver hors la loi.

  17. Magnifique, Madame, vous exacerbez régulièrement la même “couche” de population, merci encore de pouvoir lire en diagonale les diatribes qui en découlent.

  18. cet addendum, je ne suis pas juriste, poète incertain peut-être, comme vos autres articles, paraît et comme eux paraissent, rameaux fleuris d’un vieux chêne arraché aux rives dévastées, malgré leur opulence, par les débordements irrépressibles, malgré les contrôleurs de bonne intention qui se multiplient, du fleuve planétaire du progrès, de l’évolution, de l’histoire humaine. Je m’en réjouis tout en regrettant la maigre influence voire le dédain suscités auprès des maîtres nageurs, des experts en hydrologie aux faces de Janus, des compisseurs complices, des barbeaux et des carpes pleurant sur le jour le plus chaud, fêtant l’histrion de l’est comme le nouveau messie de la communication… au secours, on se noie, alors chantons encore ce blog et quelques autres voix qui encore surnagent avant que… Merci de continuer ce blog.

  19. Je ne pense pas que l’article a été mal compris. Dans celui-ci, vous affirmez analyser la question de l’avortement sous “un angle éthique”, alors que ce n’est pas le cas du tout. Vous n’abordez aucune question éthique. La 1re d’entre elles serait de savoir à quel moment le fœtus est considéré comme un être vivant. Point d’éthique dans votre article, uniquement un jugement moral.

    1. Vous vous trompez Monsieur. Le fœtus est évidemment un être vivant. La question serait plutôt de savoir s’il est un être humain.
      Quant à votre proposition sur la réinstauration des bûchers, elle est absurde. D’une part, elle présuppose qu’il ne peut y avoir de débat sur une question scientifique ; d’autre part, vous affirmez implicitement, par cette provocation simpliste, que la technique fondée sur la science a toujours raison. Ce que même les hommes de science sont disposés à contester.

    2. @ Hugo M , vous écrivez “Point d’éthique dans votre article, uniquement un jugement moral”.. Sachez que l’angle ethique ou l’angle moral , c’est la même chose… tous deux relèvent du domaine des moeurs :
      ethique : (ethos en grec = moeurs;) morale 🙁 mores en latin = moeurs)

    3. A vrai dire, dès qu’un texte est placé à deux marches plus haut que la moquette, certains choppent le vertige, ce qui rend sa compréhension inaccessible à eux. La hauteur des idées de l’auteure fait peur, l’épaisseur de son propos ne passe pas. Des commentateurs réclament des termes sans nuance, comme “avortement”, car ils veulent trancher dans le vif pour savoir où se trouve la limite de l’acceptable. Très souvent les anti-avortement (qualificatif très moche!), ne sont personnellement ni concernés ni consternés par l’interruption d’une grossesse, puisque dans leurs milieux cela n’arrive que rarement, et demeure, le cas échéant, ultraconfidentiel. Ils pensent juste pouvoir gagner quelque points de bonus pour s’en servir dans l’au delà, en supposant que le Seigneur serait “anti”, comme eux!

  20. On est dans une société où tout va trop vite ! Le droit à l’avortement doit être beaucoup mieux réfléchi ! Les médias en parlent très superficiellement. Les regrets sont à vie ! Les séparations brutales. Les progrès ne sont pas toujours bons pour les humains … Surtout dans le domaine de la médecine.
    Il y a deux initiatives sont en cours pour minimiser le risque de la décision regrettées hâtées trop souvent : ww.24heuresderéflexion.ch (dormir dessus !)
    Et pour les avortements tardifs car il y a beaucoup de possibilités de traitements, de soutien, de vie différente (trisomie21 ou autres) mais se sont des bébés viables : ww.sauverlesbébésviables.ch
    HEEEEE LES HOMMES ! C’EST AUSSI VOTRE RESPONSABILITE !

    1. Les progrès médicaux ne sont pas bons?!??!? Ok… La Science c’est le mal, vite réinstaurons le bûcher!

  21. Avant de quitter ce blog, comme je l’ai décidé pour tous les autres, et de remercier sincèrement Madame Sandoz de m’avoir donné la parole, j’aimerais dire ceci: Entre l’horizon barré d’incertitudes et de freins intellectuels – surtout dus à l’emprise de privilégiés, de lobbyistes voire d’obscurantistes – et des pulsions de vie pour mettre au monde des enfants vivants, cultivés, épanouis et tôt indépendants, il y a de la place pour l’observation et l’acceptation d’une loi votée à une forte majorité (72.2%) le 2 juin 2002. L’Etat, même fédéral, ne se pratique pas à la carte pour des exceptions. Les lois sont faites pour toutes et tous. Certes, le droit n’est pas une science exacte. La morale non plus. J’invite à regarder sur Arte la série “En thérapie” de Nakache et Toledano & al., surtout la IIe saison. L’une des analysantes y aborde la question ici interrogée. Bon été à tout le monde!

    1. Si il y a encore une seule personne qui maintient que la Suisse, la France, les USA fonctionnent avec des scrutins démocratiques, que les machines dominion implémentées dans ces pays ne sont pas là pour tricher avec les bulletins, je l’attend avec du lourd !

      En Suisse et ce n’est pas nouveau, ils trouvent toujours des techniques pour introduire des bulletins “fait maison” pour obtenir les résultats souhaités par une bande de “privilégiés”, je l’avais déjà constaté à Lausanne, dans les locaux de la police de la Palud, où des émissaires en costards venaient dans le local des urnes vers les 01:00 du matin avec des valises remplies de bulletins et repartaient pareil, le flic qui était de piquet était un camarade d’école, mais à l’époque, déjà, tout le monde s’en fichait !

      A Genève, ils ont été pris la mains dans le sac, “une tempête dans une verre d’eau” qu’ils ont finit par conclure.

      A chaque élection ou vote, ils laisses d’énormes traces dans le beurre, à chaque fois c’est enterré dans la minute.

      Ca fait des décennies qu’ils bourrent les urnes ou maintenant qu’ils passent au travers des machines dominion avant d’afficher des résultats, aux USA, une enquête continue de progresser, il y aurait eu plus de 10 millions de bulletins introduis illégalement et de manipulations des machines de comptage, 3 états ont déjà, après enquêtes, confirmés que les votes étaient en fait en faveur de Trump, ça commence seulement maintenant à chauffé, plusieurs vidéos circulent avec des milliers d’images montrant des personnes payées par les démocrates qui bourrent les urnes, une autre enquête montre les liens entre le virus covid et les élections US de 2020 !

      En France, des dossiers sont constitués par des partis mécontents, qui démontrent qu’il y a eu des tricheries de grande ampleur au niveau des transmissions centralisées des résultats, c’est tellement énorme que ça semblerait passer !

      Il y à peine un semblant de “démocratie” et comme disais Coluche, si le système de votation fonctionnait démocratiquement, ça ferait longtemps qu’il serait interdit”

        1. Ou je bascule, ou tout est en train de basculer !

          J’ose espérer devoir vous donner raison !

  22. Parlons “médecine”, c’est bien, pendant ce temps ils organisent leurs croisades de seringues dans les locaux genevois de la mafia onusienne, tout transmis en direct vers Davos, où l’autre bande associée de pieds nickelés budgètent leur prochain coup pour en finir avec l’humanité !

    Merci Madame la professeur de détourner l’attention avec votre sujet, important, je vous l’accorde, mais ayant infiniment moins de conséquences sur l’avenir de la population !

    Bravo encore la Suisse d’avoir coordonné la soumission de la santé mondiale à une organisation aussi corrompue et criminelle … à Davos !

  23. A Davos, gros arrivage de prostituées, en partie venant d’Ukraine et alentours pour accompagner les soirées cocaine/champagne des élites de ce bas monde peuplé de sans-dent !

  24. Parler d’avortement lorsque l’on voit comment les gamins sont médicalisés avec des neuroleptiques dès l’âge de 3 ans si leur comportement dérange les réformistes de gauche du milieu scolaire. Il n’est pas question, surtout pas, de saisir un enfant avec autorité pour une remise à l’ordre, pas question, par contre, leur enfiler des ritalines et autres saloperies, les injecter avec des saletés sans nom au nom d’un rhume n’ayant pas rendu un seul môme malade, là, c’est du pain béni.
    Une civilisation qui est passée du catéchisme obligatoire aux dictats trotskistes en à peine 2 générations, quel cocktail !

    Aux USA, pays n’ayant qu’une courte avance dans cette funeste hécatombe, récolte dans ses premières pages, les matières médicales de leur psychiatrisation infantile et leurs effets secondaires.

    Le continent européen, sous la houp des apprentis frankenstein américains, va se prendre une vague semblable, déjà que les quidams, fruits du new-age se poignardent pour un regard soutenu ou par manque de cigarette, pendant que nos druides de service resserrent ou desserrent la vis sur les loi sur l’interruption de grossesse.

    Personne n’y comprend plus rien à rien, pas la peine de sombrer dans les afféteries aux tournures caudataires pour comprendre la forfaiture érigée par une bande de séniles hors-sol.

    En 2022, les agriculteurs ayant succombés aux trébuchets des sirènes de l’agrochimie roulent avec des tracteurs de 1’000 chevaux flanqués de roues de 3 mètres de diamètre pour remplir les poches des copains de klaus schwab. Les terres de nos pays sont mortes, il faut labourer à plus d’un mètre de profondeur, une épaisse couche argileuse et nos pays passent de sècheresses à inondations et les gaulois s’en prennent aux cieux !

    Madame Sandoz, si vous pouviez demander aux petites mains du journal LeTemps d’arrêter de bloquer mon pseudo sur leur plateforme, ce serait un peu moins désagréable, merci

  25. Dans un passé pas si lointain, on reconnaissait un “noble” ou “aristocrate” à 10 km, ils roulaient en calèches ou carrosses, ils se recouvraient de perruques, de rubans, de dentelles, se poudraient la face (et pas les naseaux), embaumaient leur saleté corporelle avec des effluves odorantes, j’en passe, mais ils pouvaient à loisir se sentir différent de la populace reconnaissable à ses guenilles et ses infections de vermines.

    Aujourd’hui, comment distinguer un bill gates et un employé des postes ?

    Un employé des postes qui roule en mercos, se paye un même lacoste de bill, qui a une tv de 2 mètres de diagonale et qui se paye un resto 5 étoiles pour fêter son anni de mariage avec sa compagne !

    Alors, ils se distinguent en amenant leurs stocks de coke, de jeunes filles importées de Moldavie, de leurs chaines de tv, de leurs journalistes tenus en laisse, de leurs balais d’hélicoptères et de leurs médaillons avec le portrait de klaus en lieu et place de leurs croix, leurs croissants de lune et leurs étoiles. Pour se distinguer de la gangue, ils ont la Suisse et leur Davos !

    Mais qui paye pour les 5’000 soldats et les passages horaires de FA-18 de l’armée suisse financée par les contribuables ?

    Ca tellement gueulé dans les rangs, que le commandement de cette sauterie ont changé la date, les soldats en avaient marre de passer 10 jours dans la neige et la glace à -15° !

    2022, silence généralisé sur Davos !!!

    Fini les glorioles oligarques dans les tabloïds vendus à la populace !

    Alors, soudain on se penche sur des changements cosmétiques sur les avortements !

  26. La ligne Romont-Davos fonctionne, le petit incident est clos, merci à la complicité de nos cadors de l’information, Ulf Mark vient de faire une apparition attendue dans l’arène select des bourla, schwab et gates, sans parler de leurs admirateurs. Un peu cabossé quand même, Ulf Mark, mais Bolso n’est pas venu, il se contentera d’une parade à Sotchi, il a toujours préféré les charmes du caviar que ceux du gruyère et ses cornichons, mais la coke venait de ses plantations ou transitait par ses pistes fluviales amazoniennes. Mais qui est-ce qui a averti les douanes helvétiques de cette cargaison remarquée et ayant forcé les filières sicilienne d’ouvrir boutique dans des alpes aux tempes grisonnantes. Oui, cette année à Davos, ça parle italien, plus exactement sicilien, comme quoi les moeurs sont changeantes dans ces altitudes.

  27. On parle beaucoup du corps qui s’élabore dans le doux ventre de la mère , mais trés peu de l’ame … , dont la valeur et la clarté n’attendent point le nombre de jours ou de mois passés … Permettez un autre tableau pour la fête des mères , inspiré par la belle Audrey Hepburn … Merci pour elles … Serge , Montpellier , France , le 28 mai 2022 . ( beau soleil ) ttps://www.galerie-com.com/oeuvre/-la-fete-des-meres-2022-…-insp.-by-audrey-hepburn/484573/

    1. Evoquer la fête des mères n’est plus souhaitable par le nouveau ordre mondial aseptisé les minorités sexuelles. Les enragés veulent la remplacer la fête des mères par la fête des êtres humain, enfin quelque chose qui ressemble à ça.

  28. ” Souvenez-vous, si vous avez un jour besoin que l’on vous tende la main, que vous en avez une au bout de votre propre bras. En vieillissant, souvenez-vous que vous en avez une seconde : la première sert a s’aider soi-même et la seconde à aider les autres… ” Audrey Hepburn ttps://www.instagram.com/p/CeGEuWmt7oe/

  29. Droit à l’enfant ?

    Ou

    Droits de l’enfant ?

    ttps://www.24heures.ch/toute-femme-meme-avec-un-trouble-autistique-a-le-droit-de-devenir-maman-311608484584

    Notre monde va mal…

  30. La formule d’E. Macron, “d’argent magique”, s’imbrique dans la logique d’un scénario puzzle pas si futé que ça. Bien sûr que l’on découvre de nouveaux éléments à chaque nouvel épisode, mais le tableau funeste de cette tragédie mondiale finit par dessiner les contours de ce qui apparaît comme une série B d’un niveau plus que douteux.

    Les brigades trotskistes et socialistes vont continuer inlassablement le sabotage de la société démocratique occidentale, ils sont alliés avec tous les parias de la planète, les ukronazis sont l’un de leurs principaux alliés dans le contexte actuel. Plus de 30 laboratoires ayant développés plus de 654 miasmes mortelles sont actuellement passé sous contrôle de l’armée russe. Ne vous étonnez pas de voir ces prochains temps, des épidémies accompagnées de pénuries, cette histoire de variole qui apparait en totale synchronisation avec les ouvertures des sauteries de wef et de la réunion des membres de l’oms, leur but commun ; Mondialisé l’autorité en matière de médecine, les états doivent désormais se soumettre sans la moindre forme d’opposition possible aux crétins de l’oms, qui eux-mêmes se soumettent à des pouvoirs obscurs, fini les nations, fini les aristos emballés de taffetas et autres brocarts reconnaissables de château en château, cette noblesse qui avait fini par accepter certains devoirs. Là, les oligarques nomades, parcours les palaces, les envahissent avec une ponctualité relative et s’entourent de soldats républicains. Ces sans foi ni loi profitent bien de nos acquis, mais ils savent trier le grain de l’ivraie, ils ne s’embarrassent pas des dépends, ils ne font que d’accaparer les biens sans rien laisser, ils dépècent la bête encore vivante. De plus, ils n’ont pas de goût, ils sont vulgaires et corrompent les états, ce sont des parasites. Comme leur jeu devient évident, qu’ils ne forment pas des armées, ils sévissent en nous laissant l’adition, eux ne font que se servir. L’unique gouvernement mondial est géré par des algorithmes pipés de mckinsey, de blackrock, de nestlé et d’autres papautés auto-instituées.

    ll suffira qu’un besos ou qu’un gates décrète que l’avortement deviennent obligatoire et vous verrez l’ensemble de la bassecour caqueter à l’unisson !

  31. On y est ! Ils recommencent leurs ignobles mensonges ! Alors que jusqu’à présent la simple prise d’un antibiotique comme la Doxycycline guérissait de la Variole du Singe voilà que l’on vient nous raconter qu’il n’existe AUCUN TRAITEMENT !!! Et que seuls des vaccins US sont autorisés ! Comme pour le Covid, ils interdisent les antibiotiques ! On est face à des charlatans sans le moindre signe de vergogne !

    1. Les antibiotiques sont inutiles contre les virus et ne sont administrés que pour traiter les complications bactériennes. Une majorité de la population est déjà protégée contre cette maladie grâce à la vaccination antérieure contre la variole (protection croisée). Il n’y a, pour l’instant, pas de quoi fouetter un chat.

      On peut s’interroger sur la tempête médiatique qui s’est à nouveau déclanchée surtout après la publication du bouquin de Bill Gates et son équipe “GERM” (Global Epidemic Response and Mobilisation). Encore un autre délire.

      Mais il existe suffisamment de faits scientifiquement démontrés pour permettre à une partie de l’élite scientifique de se battre et faire valoir leur point de vue. Nous aurons alors une chance d’éviter de tomber dans la folie de l’an dernier.

      Mais raconter n’importe quoi les décrédibilise et donne des armes à leurs adversaires en permettant de mettre tout le monde dans le même panier. Les conséquences pourraient alors être importantes.

      Il faut s’en tenir aux faits pour informer la population de manière crédible. Il n’y pas besoin d’en rajouter tant certains mensonges ont été grossiers.

      Par contre, si vous avez des études sérieuses, des références ou toute autre information vérifiable à partager, je me réjouis qu’elle enrichisse ma compréhension de la situation.

      1. La variole n’est pas la seule cause des dégâts cutanés qui pose problème dans cette affection !
        Donc, les antibiotiques dans des pathologies virales sont très souvent utilisés, car les inflammations ou infections virales sont presque toujours accompagnées d’infections bactériennes !

        Secondo, c’est débile de dire que les antibiotiques n’agissent pas sur les virus, vous n’y connaissez rien en médecine, c’est la honte !

        Ensuite, il s’agit d’un variant de la variole, un vaccin adapté pour un variant ne se fait pas en 2 semaines, il n’est pas non plus encore connu si les cas contaminés par la variole du singe, (ou du chameau) aient été vaccinés contre la variole avec les vaccins classiques. Car depuis une dizaine d’années, les vaccinations contre la variole ne sont plus obligatoire et de moins en moins pratiquées. Donc nous ne savons pas si le vaccins classique fonctionne contre ce variant, mais il est fort probable que ce variant soit résistant au vaccin.

        Pour finir, il est déconseiller de vacciner n’importe comment pendant une épidémie, sans entraîner des complications, voir des réactions létales.

        Actuellement les personnes atteintes de ce variant de variole sont traités avec de la doxycycline dans la plupart des cas.

      2. “Une majorité de la population est déjà protégée contre cette maladie grâce à la vaccination antérieure contre la variole (protection croisée). Il n’y a, pour l’instant, pas de quoi fouetter un chat.”…… La vaccination contre la variole a été arrêtée en 1972(*) en Suisse… donc les personnes qui ont moins de 51 ans ne sont pas protégées… je l’ai toujours déploré car on sait que ces “petites bêtes” ne sont pas forcément mortes, qu’elles sont tapies on ne sait trop où et peuvent se “réveiller” si tout à coup le terrain , “l’atmosphère”, leur devient favorable (il y a aussi des souches en laboratoires qui servent à la recherche sur l’amélioration du vaccin … sous la vigilance de l’OMS….. ) (*) A l’époque , et les années précédentes, on avait tous appris à l’école les méfaits et l’histoire de cette maladie.. “avec les images” dans nos livres …. c’est à cause – ou grâce- à ces images horribles, que les populations étaient toutes favorables à ce vaccin !!
        Vous dites, Albert O que les antiobiotiques sont inutiles contre le virus.. certes, contre le virus lui-même, mais pourquoi ne les seraient-ils pas contre l’infection cutanée ( pustules .. donc pus) ( produite par ledit virus ?

    2. Calme.

      1. Merci de reconnaître que vous êtes antivax, et pas antivaccin ARN. Pendant la Covid, le vaccin contre la variole était brandi par votre camp comme vaccin traditionnel et sûr. Pourquoi tournez votre veste?

      2. Vu votre âge, vous êtes déjà vacciné contre la variole, non ?

      3.
      “Il n’existe aucun traitement spécifique contre cette maladie, étant donné qu’on en guérit généralement au bout de trois semaines”.

      Par contre, en janvier 2022, l’Agence européenne du médicament (AME) a approuvé – uniquement pour des “circonstances exceptionnelles” – la prise d’un autre médicament. Un antiviral, baptisé “Técovirimat”.”

      Sur le Tecovirimat:
      ttps://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(22)00228-6/fulltext

      1. On les connait, ils obligent systématiquement d’utiliser des nouvelles molécules pour le compte de big-pharma.

        La variole humaine provoque des éruptions vésiculo-pustuleuses sur la peau, mais peut également se développer de manière interne et atteindre les reins, les articulations, le cœur et le système nerveux (encéphalite, neuropathies…). L’encéphalite de la variole survient dans environ 1 cas sur 500.

        Lorsqu’une personne est infectée par la variole, toute forme de vaccination est inutile et proscrite !

        Sachez-le

  32. Enfin, un courageux scientifique explique tout ce qu’il faut savoir sur les vaccins ARN.

    Allez le voir, c’est un vrai lanceur d’alerte. A écoutez jusqu’au bout.

    ttps://m.youtube.com/watch?v=7AkeA0-duz4

    1. Bon exercice de vulgarisation/communication: jeune, cool, sympa et rassurant. Beaucoup de choses vraies mais aussi des simplifications/exagérations qui amènent malheureusement le mensonge.

      “Un vaccin n’empêche pas à 100 % de contracter une maladie. Les échecs vaccinaux existent. De même, tous les vaccins n’empêchent pas la transmision d’une maladie”.

      C’est pour cela qu’on a fixé des standards (60 % d’efficacité minimum contre une forme symptomatique). Or, aucun vaccin n’atteint cet objectif contre SARS-Cov2. En fait, c’est un bel échec: plus de 90 % des personnes vaccinées ont développé la maladie a des degrés plus ou moins graves.

      La protection du vaccin contre la transmission était tellement mauvaise que les scientifiques ont publié des études pour tenter d’alerter les politiciens.

      Certes, le vaccin a sauvé des vies dans les groupes à risque et c’était là son utilité. Mais son utilisation devait être ciblée sur ces populations et il fallait ficher la paix aux plus jeunes. A partir du moment où on savait que contrôler la circulation du virus était presque impossible et que le vaccin n’était utile que contre les formes mortelles, cette histoire de pass-vaccinal devenait une hérésie totalement disproportionnée. D’aileurs, le virus a trouvé le moyen de contourner nos bricolages et d’infecter la majorité de la population en janvier.

      Ajoutons, la faible durée de l’efficacité, les rappels fréquents et la quantité d’effets secondaires non négligeables dans les populations peu à risque qui auraient dû donner lieu à une adaptation immédiate des indications.

      Si la vidéo semble conclure à l’innocuité de la protéine S, comment expliquer la multiplication d’effets secondaires cardio-vasculaires et neurologiques dans une population jeune atypique (myo/péricardites, AVC, embolies, thromboses veineuses, GB, etc). Et je ne parle pas là, comme le suggère le présentateur, de personnes grabataires qui décèdent d’autres causes ou de jeunes qui ont des accidents d’avion mais de cas documentés et correlés à la vaccination.

      La vérité (comme le poison) est souvent une question de dosage. Le système immunitaire est complexe et assume la difficile tâche d’arbitrer ce qui faire partie du “soi” du “non soi”. SARS-Cov2 est un virus dangereux et capricieux. Cela donne une idée de la difficulté pour mettre au point un vaccin. L’erreur est humaine et il faut rester humble pour continuer à progresser.

      Au fait, le Portugal s’est tapé une 6ème vague qui n’a que peu intéressé la presse internationale. D’ailleurs, le port du masque avait été rétabli récemment. Ils en sont au pic (30’000 cas pas jour) mais ça commence à refluer. A noter que le taux de vaccination au Portugal est un des plus élevé au monde (plus de 98 %).

      Cette 6ème vague est dûe aux sous-variants BA.4 et BA.5 malgré la vaccination et les infections antérieures. Il s’agit donc d’une “mise à jour” de l’immunité pour contrer les mutations du virus qu’aucun vaccin n’est capable de faire: on constate l’émergence d’une nouvelle souche dominante tous les 3-4 mois. Un peu court pour une mise à jour des vaccins.

      Heureusement, peu de formes graves mais on constate une augmentation des hospitalisations et de la mortalité dans les groupes à risques malgré la vaccination. ça peut donc être un problème pour des pays comme la France où les urgences saturent même sans Covid.

      En Afrique du Sud, où ce variant est apparu, la vague a été plus courte et moins importante malgré un taux de vaccination bien plus faible.

      Bref, on arrive aux limites du vaccin pour sauver des vies et il ne faudrait pas être confronté à une souche plus dangereuse. Il faudra peut-être changer d’approche et mettre au point des traitements efficaces (comme ces inhibiteurs de la protéase 3CL, mais là aussi les résultats dans la vie réelle sont inférieurs aux données des tests cliniques).

      Car la vaccination comme arme à long terme contre un corona comme SARS-Cov2…?

      Eh oui, les choses sont plus complexes que cette vidéo ! C’est ce qui fait la beauté de la science.

      D’ailleurs, si vous avez des questions plus précises et pointues sur certains de ces points, je serai ravi de vous donner plus d’informations.

      1. Richard, encore un détail et pas le moindre : Si l’on isole une population contre toute forme de contamination pendant une période prolongée, comme ce fut le cas avec les absurdes mesures mises en place uniquement pour forcer les injections de ce produit aujourd’hui reconnu inefficace et dangereux, le fait d’isoler les personnes et les contaminations naturelles font que leur système immunitaire n’est plus sollicité et que ce passe t’il lorsque le système immunitaire n’est plus sollicité, et bien c’est comme avec les muscles et comme avec le cerveau (pour preuve), il s’atrophie, s’affaiblit, parfois jusqu’à devenir dangereux pour les cellules du métabolisme vital.

        C’est l’une des cause de plusieurs désordres appelés “auto-immunes”, c’est pareil avec les enfants trop protégés pendant les 2 ou 3 années où ils construisent leur immunité. Ces enfants surprotégés sont handicapés au niveau de l’immunité, voir développent des processus immunitaires débilités, c’est à dire que l’immunité se retourne contre les cellules et les autres bactéries et micro-organismes présents dans le corps.

        Alors, que disent-ils ?

        Et bien qu’il faut encore injecter leurs doses maléfiques chez les plus immunodéprimés, un véritable gâchis d’une bêtise sans limite !

        Et plus ils injectent leur saleté et moins l’immunité fonctionne, ce qui ne les empêche pas de s’obstiner sans laisser la moindre once de logique monter à la surface !

        1. C’est une bonne remarque. A partir du moment où la circulation du virus ne représentait plus un risque pour les personnes vulnérables (pour diverses raisons: vaccin, immunité acquise ou variant moins létal), empêcher la mise à jour d’une immunité collective était contre-productif voire plus dangereux.

          Je suis donc assez d’accord avec vous sur ce point.

          Il est aussi possible que d’autre maladies comme la grippe fassent des dégâts en 2023 pour les raisons que vous citez. Mais 2022 ne s’est pas trop mal passé malgré le retour à la “normale”.

      2. Bonjour Richard P, avec retard j’ai pris connaissance de toutes les réflexions des internautes et de la vidéo. Donc Richard P, question:
        Expliquez-nous comment il se fait que certain(e)s patient(e)s chroniques (> 50 ans) exempté(e)s de ladite “vaccination très spéciale” et avec valeurs sérologiques hors-normes en permanence n’ont jamais été contaminé(e)s par le virus d’origine et/ou ses variants, variants qui se “reproduisent” comme des lapins …… ? Articles avec facteur d’impact élevé de préférence.
        Il sera très intéressant de croiser-confronter les avis reçus de ci, de là en plusieurs langues.

        Dans cette dégoûtante affaire où même les États se sont complètement plantés, j’ai la nette impression que ce sera aussi long de récupérer toute la vérité, rien que la vérité que lorsque j’ai procédé pour moi-même dès 1974 (encore mineure) + une quinzaine d’années, avec en parallèle les non-dits, les tentatives de contrecarrer l’émergence des petits secrets bien gardés et tout le toutim.

        Vous voyez bien, ce couvercle hermétique que la Science met sur la Vérité lorsque la “Vraie” Vérité dérange tellement qu’elle en devient scandaleusement chronique …….

        Entre-temps, je vais poursuivre mes virées également chroniques (en réalité jamais stoppées en regard des tests restés négatifs) et ce matin je repars plus au Sud tant la condescendance helvétique m’irrite avec ses traditionnels standards exaspérants “oui mais vous comprenez” .

        Dans l’attente de lire vos hypothèses, une belle semaine. eab

        1. C’est une très bonne question et, comme vous le faites remarquer, il est dommage que l’on ne mette pas plus d’effort pour comprendre pourquoi certaines personnes échappent à ce virus: nous aurions alors d’autres pistes pour des traitements ou des vaccins vraiment efficaces.

          On a entendu l’hypothèse que certaines personnes auraient développé une bonne immunité suite à l’exposition fréquente à d’autres coronavirus. Cela reste a démontrer.

          C’est toute la complexité de ce virus qui reste peut rester bénin, voire asymptomatique pour certains et mortel pour d’autres. L’âge et d’autres facteurs jouent un rôle mais notre système immunitaire et ce virus gardent encore de nombreux mystères.

          Mais je suis content que, vu votre parcours, la vie ait décidé de vous épargner des conséquences parfois terribles de cette pandémie en général (et pas seulement celles du virus).

          Je vous souhaite donc tout le bonheur possible ainsi que de nombreux voyages comme vous semblez appréciez.

          Au plaisir de vous à l’occasion.

          1. Tout d’abord, mille excuses Prof. S. Sandoz – nous avons à nouveau dévié du titre de ce chapitre de votre blog.

            Merci beaucoup Richard P, tout simplement. Cela fait grand plaisir de lire des commentaires respectueux avec de vraies idées de fond. Dans toutes les matières, cette saine modération m’a beaucoup manqué.

            Dans les circonstances actuelles, je n’ai pas d’illusion particulière: L’idéal des Pharmas, Pôles médico-scientifiques et Politiques (PPP) reste la conception d’un Humain Bobet Obéissant (d’ailleurs HBO.com pourrait penser à une série utile sur ce sujet) dont le cerveau est lavé-reformaté dès le premier cri. Seuls les PPP tout en haut de la Pyramide ont le droit de réfléchir et d’imposer. Les HBO des étages inférieurs et de la base devraient se taire et/ou être éliminés. Tous les moyens sont et/ou seront bons pour y parvenir.
            Sauf que ….. si une base se fracture gravement, du style tremblement de terre sur bouleversement climatique majeur, les premiers à tomber de très haut seront les PPP.
            Anéantissement-Reconstruction-Annihilation-Relèvement-Destruction-Réédification-Abolition- Régénération etc.etc. sont comme une série que nous regardons en boucle et font partie de l’Histoire de l’Humanité.
            Alors entre deux courants férocement opposés, n’oublions jamais de nous faire plaisir, de la manière qui nous conviendra au mieux. Et si nécessaire, dans une discrétion « presque calculée » puisque l’étalement excessif du privé semble devenir une “règle”.
            Portez-vous bien, eab

    2. Si vous avez besoin de vous rassurer avec ce genre d’arguments qui éludent systématiquement les véritables questions, et bien contentez vous comme vous le pouvez !

      Ceci dit les vraies questions sont facilement démontrable, par exemple, la plus haute contamination, jusqu’à 500’000 cas par jour, c’était juste après la troisième dose, mais voyez la courbe vous-même :
      ttps://fr.statista.com/statistiques/1104154/nouveaux-cas-coronavirus-france/

      Vraiment très efficace les “vaccinations”, en Israel où une quatrième dose a été entamée, ils ont dû arrêter d’urgence les injections, selon les immunologues israéliens, non seulement ce “vaccin” ne protège pas des contaminations, mais il les provoque !

      Nul besoin pour autant de devenir grossier comme votre triste personnage de foire, ni besoin de faire des liens avec le jet-ski, plusieurs centaines de milliers de personnes âgées sont mortes seules dans leurs EMS sans soin qui auraient pu être sauvées !

  33. Ce sont les mêmes qui lâchent des virus dans la nature, cette fois un virus qui s’en prend majoritairement aux jeunes et ensuite, ils viennent faire la morale, ils poussent même la morale a autoriser l’avortement jusqu’au 9ème mois, je le répète, certains woke sont pour “l’avortement” après la naissance, nous sommes face à des menguelés en culottes de cuir et casquettes de l’onu.

    Madame Sandoz a raison, même si il y a tellement de violations en préparations dans les canaux législatifs mondialistes, mais voyant qu’ils vont se prendre des branlées, malgré le fait qu’ils bourrent les urnes, qu’ils financent les “sondages”, les voilà qu’ils ont peur, très peur, car rien n’y fera, ils seront très vite dépassés et ont intérêt de trouver des planques sur d’autres planètes !

  34. Bonne fête à toutes les mamans !

    Oui, nous nous raccrochons à des événements d’origine 100% commerciale, cette fête des mères est très certainement la conséquence d’une de ces américanisation mercantile, mais ça n’en reste pas, une fête célébrant nos mamans.

    Les mêmes qui, jadis, ont introduit cette coutume sont ceux qui ont trouvés mieux en voulant remplacer les mamans par “ceux qu’on aime” !!

    Si ils ne sont pas en train de développer des bébés éprouvettes ou nés d’hommes, c’est que j’ai loupé quelque chose, soudain ils sont aussi préoccupés par les normes liées à l’interruption de grossesse, bien sûr que le lien est plus que visible. Ils prévoient à moyen terme dans leur business plans que la commercialisation de bébés ogm et synthétiques arrivent bientôt sur les marchés !

    De nombreux labos travaillent comme des malades pour fabriquer des enfants, donc, les mamans ne représentent plus qu’une concurrence pour la bande de Davos.

    Bonne nouvelle, 120 pays sur 176 ont rejetés en block la proposition de loi mondiale d’imposer l’oms dans le cadre des traitements, notamment en cas de pandémie. Ils reportent la cession au mois de novembre !

  35. Pourquoi êtes-vous la seule à vous voir opposer des correctifs/factchecking du journal ?

    Pourtant, les politiciens de gauche expriment dans les blogs de sacrés âneries…

  36. Un seul comprimé de Técovirimat 5mg coûte 320.– chf !

    La dose quotidienne est de 600mg = 120 x 320.– chf soit 38’400.– chf par jour pour le traitement !

    Voilà de quoi ils parlent entre actionnaires à Davos !!

  37. Merci Corto pour ta franchise … 17000 scientifiques te soutiennent , toi et les collectifs de femmes ” oû est mon cycle ” … : ttps://odysee.com/17000-scientifiques,-r%C3%A9v%C3%A9lations-massives–Vivre-Sainement:244c16b6348c6ad38c8db21091c47090e4468b64

  38. Trés bonne nouvelle en effet que la plupart des pays aient rejeté la loi mondiale sur les pandémies … Heuruesement vu le fiasco de la dernière … A la vue de la video des 17000 , on comprend bien qu’ils voudraient nous refaire coup similaire … Comme dans un Moebus , la techno science voudrait s’accaparer aussi la Vie … C ‘est pour cela que je fête les Méres … Pour bien montrer celles qui la produisent en toute beauté … en la nourrisant de leurs sangs … A ce sujet , merci d’apprecier un autre tableau … : ttps://www.galerie-com.com/oeuvre/-la-fete-des-meres-…-fete-de-la-vie-…-2022-/484648/

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