La migration une réalité, l’intégration une nécessité

René Longet

Licencié en lettres à l’Université de Genève, René Longet a mené en parallèle d’importants engagements, dans le domaine des ONG et du monde institutionnel, pour le vivre-ensemble ainsi qu'un développement durable. Passionné d’histoire et de géographie, il s’interroge sur l’étrange trajectoire de cette Humanité qui, capable du meilleur comme du pire, n’arrive pas encore bien à imaginer son destin commun.

4 réponses à “La migration une réalité, l’intégration une nécessité

  1. Vous faites aussi dans le Teasing, cher René?
    Oui, entre le train des neiges et le village méridional? perso, pas compris????

    1. Cher Monsieur Wilhem
      Il n’y a pas de lien entre les deux photos, celle avec le “train des neiges” est l’image générique du blog. Celle du village méridional? En apparence tout via bien dans ce village, en réalité de nombreuses maisons sont abandonnées, l’agriculture locale est à la peine, la population diminue. Elle fait allusion à la phrase de ma note qui évoque ces situations. Le lien avec le thème? En Europe d’aucuns se demandent si la migration ne pourrait pas aider, répartie de manière bien dosée, à redonner vie à ces régions qui se meurent, plutôt que d’entasser les migrant.e.s dans des camps (cf Calais) ou les sans occupation positive dans les villes. Une fausse bonne idée peut-être mais une réflexion qui mérite d’être menée. La poursuite sur tout le continent de la concentration sur les villes interpelle…

      1. Cela explique peut être que les campagnes ne sont pas comprises. Ce ne sont pas des zones potentielles de résidence secondaire pour les citadins ou des territoires au bénéfice exclusif de grands groupes agro-alimentaires.
        Les migrants dont vous parler, majoritairement de petits paysans/cultivateurs, voir de petits commerçants, pourraient être affecter dans ces zones agricoles délaissées ou abandonnées, plutôt que de les concentrer dans des îlots sous contrôle policier et soutenus par diverses aides, avec les risques de délinquance connus. Cela coûterai moins chers et serait plus utile, pour tous le monde. Votre idée est bonne.

      2. Bonjour et merci de votre réponse, car il n’apparait pas de texte, d’où mon allusion au teasing.

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