Découverte forcée du génome

 

 

Nous en sommes arrivés au coronavirus omikron. Le dernier dont on avait parlé était le delta. On a donc enjambé dix lettres de l’alphabet grec depuis epsilon jusqu’à xi. Ces lettres ont bien été utilisée pour désigner des variants plutôt moins contagieux qui ne se sont pas répandus.  On n’en a donc pas soufflé mot, mais cette débauche de mutations a bien eu lieu. En dehors de l’apprentissage de l’alphabet grec par l’opinion publique, la découverte forcée de la génétique par bribes constitue un considérable progrès de notre culture, obligée d’intégrer le mécanisme détesté de l’évolution.

Le fondateur de la science génétique fut l’excellent moine Gregor Mendel qui étudia la généalogie des petits pois dans le potager de son monastère, sans s’occuper de déterminer si les lois qu’il découvrait s’appliquaient aussi aux animaux. Car sa première étude sur les souris fut arrêtée par son supérieur, légitimement inquiet : les souris sont des mammifères, donc plus proches que les petits pois des humains. Or, ceux-ci se considèrent comme des êtres à part que l’on ne peut enfermer dans un destin déterminé par la statistique et la chimie : ils se contemplent comme libres et responsables.

L’invention du terme « génétique » revint au biologiste anglais Bateson (1861-1926), qui l’utilisa pour la première fois en 1905. La génétique contemporaine date de la découverte de la structure en double hélice de l’ADN réalisée par Watson et Crick en 1953. Cela constitue une révolution culturelle, semblable à celles de Galilée ou de Darwin. La vie apparait comme une manifestation de la chimie du carbone, sans rien de surnaturel. Par la découverte de la multitude des exoplanètes, on se convainc de plus en plus qu’elle apparait ailleurs, partout où les conditions physico-chimiques sont réunies.

La vie évolue constamment grâce à la flexibilité de son support, la longue molécule d’ADN, qui collecte des bribes apportées de l’extérieur, précisément par les virus. Cela nous enseigne que nous, comme espèce qui se situe présomptueusement au sommet de la vie et qui la dépasserait même par la conscience, nous sommes le fruit du hasard des mutations et de la nécessité de la survie des mieux adaptées à l’environnement. A ce titre nous fonctionnons comme les virus, les bactéries, les animaux : la vie déploie sans cesse un éventail de possibilités dont les plus aptes émergent par l’élimination des autres.

Un virus plus contagieux prend la place d’un précédent qui l’était moins. De son point de vue, un virus se perfectionne continuellement, d’autant plus vite qu’il a à disposition un réservoir d’humains qui ne sont ni vaccinés, ni immunisés par une infection antérieure : cette fraction de l’humanité se comporte comme un bouillon de culture où se propager, se multiplier et s’améliorer jusqu’à devenir irrésistible.

Il est donc intéressant que l’humanité intériorise petit à petit ces données élémentaires sur notre existence et qu’elle en tire des conclusions réalistes. La Nature n’est pas un monument construit jadis, une fois pour toutes. Le grand phénomène de l’évolution continuera indéfiniment. Rien n’est acquis, tout fluctue. Rien ne garantit la pérennité de notre espèce. Sa disparition ne ferait qu’ouvrir le champ aux autres vivants ou à des agents infectieux plus perfectionnés. Jadis les Européens avaient appris à vivre avec la variole au prix d’une mortalité infantile endémique : lorsqu’ils débarquèrent dans les Amériques, les indigènes furent massivement éliminés par contagion.

Si nous comprenions cela, nous reviendrions de loin. Journaux et magazines continuent à publier imperturbablement des horoscopes qui prétendent prédire le destin des humains à partir de la position des planètes et qui sont désirés par la fraction la plus crédule des lecteurs. Ce ne sont pas seulement des ignorants qui croient que nous sommes gouvernés par le ciel. Le 31 octobre 2006 sur le plateau de l’émission de télévision Infrarouge, je fus confronté à Elizabeth Teissier « astrologue, écrivain, journaliste, docteur en sociologie de la Sorbonne à Paris ». Je découvris une assemblée de notables, avocat, médecin, journaliste, politicien, professeur d’université, tous adeptes de l’horoscope. Ainsi, l’astrologie n’était pas – comme je le croyais jusque là – un jeu de société, une croyance vague, mais l’expression la plus voyante de la névrose sourde ravageant les couches instruites de la société, méfiantes, voire hostiles aux sciences naturelles et démunies de religion.

Autre anecdote significative : lorsqu’en 2001 le parlement fédéral commença à discuter de la loi OGM, on organisa une matinée d’information donnée par un spécialiste. A sa troisième phrase un des élus eut l’honnêteté intellectuelle de l’interpeller : « Vous parlez d’une molécule d’ADN. Mais qu’est-ce que c’est qu’une molécule ? » La commission en charge de la science comportait en son sein des membres qui ignoraient tout de la Chimie, qui ignoraient même qu’elle existât. Quelle conception avaient-ils du phénomène de la vie ? Comment discuter raisonnablement d’un choix politique délicat lorsque l’on vit dans l’univers conceptuel des siècles antérieurs ?

Contraints et forcés nous commençons à sortir de la fantasmagorie, de l’ignorance, de la crédulité pour nous rapprocher d’une vision réaliste des phénomènes vitaux. La raison est austère et la superstition séduisante. Certes la science n’épuise pas le réel mais l’ignorance ne l’effleure même pas. La votation du 28 novembre est encourageante : le front de la connaissance, de la lucidité et du réalisme l’a emporté largement. Les futures mutations du virus règleront le sort des dissidents. La Nature est bien faite.

Dans l’enseignement obligatoire on n’en fera donc jamais assez pour initier les enfants aux sciences naturelles. Comme on renonce à leur imposer l’orthographe, on dispose de davantage de temps pour annihiler les vieilles légendes et pour leur enseigner la vie, telle qu’elle est dans sa splendeur et sa cruauté. Alors, la génération suivante se vaccinerait plus volontiers et éviterait la création de variants.

 

Jacques Neirynck

Jacques Neirynck est ingénieur, ancien conseiller national PDC et député au Grand Conseil vaudois, professeur honoraire de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), d'origine belge, de nationalité française et naturalisé suisse. Il exerce la profession d'écrivain.

55 réponses à “Découverte forcée du génome

  1. L’OMS a indiqué avoir sauté les lettres grecques nu et xi, parce que la première crée une confusion phonétique avec new en anglais, et parce que la seconde est un patronyme couramment porté par les Chinois… surtout l’un d’entre eux!

    1. Le grand chef de l’oms a été officiellement remercié par le président Xi pour l’anniversaire de sa femme, en Chine l’épouse porte également le prénom de son mari et c’est le 20 novembre que l’oms a annoncé le nouveau nom du variant !

      Le Président Trump avait stoppé les subventions américaines en faveur de l’oms en indiquant que les USA n’avaient pas à financer une ong qui est à la botte de la Chine, Biden avait immédiatement annulé le décret de Trump, et voilà comment l’oms remercie les USA qui versent 50 fois plus de fonds à l’oms, en offrant un cadeau d’anniversaire à la femme du président chinois. Les chinois sont très superstitieux et parait-il que la femme a reçu ce cadeau en remerciant directement le Chef de l’oms !

        1. “Le dernier dont on avait parlé était le delta. On a donc enjambé dix lettres de l’alphabet grec depuis epsilon jusqu’à xi”

          dixit Jacques Neirynk !

  2. « La votation du 28 novembre est encourageante : le front de la connaissance, de la lucidité et du réalisme l’a emporté largement. »

    Je pense que c’est surtout un mélange de peurs et de désir de retrouver l’insouciance perdue qui a motivé la majorité du peuple à accepter l’initiative. On peut aussi y ajouter les aides promises par l’Etat.

    Bref, je vous trouve extrêmement optimiste en affirmant que la lucidité et le réalisme l’ont emporté largement.
    Pas sûr que la culture scientifique ait grand-chose à voir avec les résultats du 28 novembre.

    1. Personne n’en est sûr mais on peut déjà se réjouir que les mesures défendues par les experts n’aient pas été rejetée.

  3. Ce c’est qu’à la fin que l’on comprend où vous voulez en venir. Dommage, on aurait apprécié un peu de fraîcheur philosophique ou un appel à la réconciliation et on retombe dans la récupération à court terme.

    Après avoir accepté que la nature décide, vous persistez avec la même arrogance dans une approche technologique pour la contrer. Un peu d’humilité de la part de notre espèce serait pourtant un bon départ pour survivre à long terme.

    En bon scientifique, j’en suis revenu aux faits (statistiques Covid OFSP et internationales): si l’on avait laissé faire ce virus, les populations très âgées auraient été décimées, les moins âgées un peu moins. En dessous de 30 ans, l’impact est quasiment nul. Cette réalité se vérifie encore aujourd’hui avec une très forte augmentation des cas dans la tranche moins de 18 ans et aucun décès.

    La majorité de la population hospitalisée a plus de 60 ans, vaccinées ou non.

    L’espèce humaine n’était donc pas menacée, nous avons simplement contré temporairement une évolution que le hasard tentait de nous imposer. C’est bien mais cela ne résoud pas le problème mais ne fait que le déplacer.

    “Dans l’enseignement obligatoire on n’en fera donc jamais assez pour initier les enfants aux sciences naturelles… alors, la génération suivante se vaccinerait plus volontiers et éviterait la création de variants.”

    Eh bien, c’est totalement raté: la majorité de la population non-vaccinés a moins de 30 ans. Eh non, ce ne sont pas des sonneurs de cloches, Mais cette jeunesse se renferme maintenant sur elle-même. Elle a passé bien plus de temps sur les réseaux sociaux qu’avant et sa capacité d’analyse s’est plutôt errodée au contact de fake news. La population de 18-30 ans a d’ailleurs rejeté la loi Covid. Avec l’extension du pass, certains jeunes ont déjà décidé d’arrêter un sport ou alors de courrir se faire contaminer pour l’obtenir. Si on devait demander le pass pour aller à l’école (comme dans certains pays) alors le niveau d’éducation baisserait encore.

    Quand au variants, s’il fallait une preuve que notre approche de vaccin ciblé sur une protéine donc obsolète en quelques mois est un échec, nous l’avons sous nos yeux: si un nouveau variant bien plus létal y compris chez les jeunes émergeait, il décimerait la population alors que nous serions toujours à présenter nos pass démontrant les 5 doses précédentes. C’est assez pathétique.

    Le vote récent n’a fait que démontrer qu’une population influencée et normée suit le mouvement sans trop discuter (c’est comme cela que fonctionne la publicité). C’est un phénomène connu de tous les sociologues. La croyance a même été trop loin car, une grande partie de cette population, n’ayant aucune formation scientifique, n’a toujours pas compris comment le virus se propage, pense que le vaccin les protège et a enlevé le masque dès la 2ème dose.

    Traiter ceux qui n’ont pas voté comme vous de personnes moins évoluées qui doivent retourner à l’école et s’adapter au vaccin pour survivre, c’est probablement la pire chose à faire dans notre contexte. En cas de retournement de situation, nous ferions face au chaos. Les premières annonces sur Omicron ont d’ailleurs révélé la capacité de girouettes de certains. Ce n’est pas la bonne approche pour convaincre 40 % de la population.

    La capacité de survie implique une capacité d’analyse et d’ouverture qui s’est perdue dans notre monde obsédé par le profit et la standardisation. Il ne faut surtout pas trop se poser de questions: toujours plus de la même chose puisque cela a fonctionné. Donc 2, 3, 5, 10, 20 doses…. 1, 2, 5, 10 vaccins ? Et toujours prisonniers chaque année de la pandémie à Noël…

    C’est comme cela que beaucoup d’entreprises ont disparu: elles ont été incapable d’écouter les quelques voies dissidentes qui avaient vu juste. On se demande ensuite comme elle ont pu passer à côté d’un truc aussi gros.

    Je pense, tout au contraire de vous que la sortie de crise, sera soit le fait de l’évolution (un variant très contagieux mais bénin) ou alors peut-être d’une minorité de scientifiques (pas des sonneurs de cloches) qui verront quelque chose que les autres n’ont pas vu ou voulu voir. Le plus grand défi sera alors de savoir les écouter et de les protéger des conflits d’intérêts car ils pourraient menacer certains marchés.

    Je peux vous citer des centaines d’évolutions technologiques où celui qui l’a emporté n’était pas le plus efficace mais celui qui servait des intérêts politico-économiques. Nous en avons ensuite payé les conséquences.

    Dans la cas du virus, par contre, la survie passe peut-être par une remise en question de ce choix et la promotion d’une solution vraiment efficace (qu’elle soit vaccinale ou autre). Vous devriez entretenir votre curiosité plutôt que de rester confiné dans vos certitudes.

    1. Si nos “élites” sont incapable de résoudre un phénomène médical par la médecine, dès lors, ils utilisent le médical pour atteindre leurs objectifs politiques !

      Ces faux vaccins administrés à grande échelle vont provoquer des catastrophes, car ces produits, n’empêchent pas la contamination et, contrairement aux rumeurs officielles, n’empêchent pas les évolutions de la maladie, si il n’y avait pas eu tout ce vacarme d’incompétances, ce virus fabriqué par les mêmes qui en tirent des profits colossaux serait depuis 1 an aux oubliettes !

      Personne n’a réellement été informé sur les fonctionnements des système de reproduction de cette famille de virus et personne n’a non plus expliqué comment fonctionnent les différents acteurs présents dans notre système immunitaire, alors ça caquette, ça caquette et ça caquette encore !

      1. Le virus n’a pas été fabriqué exprès et les vaccins ne sont pas faux. Ce commentaire atteint une haute densité de fausses informations qui malheureusement seront crues par ceux qui les souhaitent.

  4. Votre texte me fait penser à un mouton à 5 pattes. Vous y mélangez allégrement l’étude de la nature et l’expérimentation sans conscience du style manipulation génétique.

    Connaissant vos opinions à ce sujet, ça ne me surprend pas. Et vous avez tout à fait le droit de les avoir et de les exprimer. Mais les discours transhumanistes me laissent perplexe: comment ne pas réaliser que autant la nature est bien faite et complexe, autant nous sommes très loin d’en comprendre tous les mécanismes et il est dangereux de se prendre pour le créateur et de vouloir modeler ainsi le vivant. Cela me semble un manque total d’humilité.

  5. Ceux qui sont contre tout ont, me semble t il, une sorte d’anomalie de perception de la réalité biologique terrestre les empêchant de comprendre ce qui se passe et, comme les croyants jadis, font référence aux textes officiels, comme la bible, la constitution et les lois. Or ces textes rédigés par des humains sont là pour tenter d’organiser et encadrer notre vie en commun et sa défense. Nos connaissances scientifiques (biologiques, physiques, chimiques) ont été acquises pour améliorer notre sort. Ce qui est tout de même surprenant c’est que cela ne semble pas avoir été compris et contesté au nom d’une liberté toute philosophique. Le résultat de la dernière votation est plutôt rassurante pour l’optimiste que je suis.

  6. Avez-vous conscience de ce que ce genre d’idées ont produit au XXe siècle?
    Relisez ce que Hitler disait sur les sciences naturelles. Il préconisait aussi de beaucoup développer l’étude de la biologie et les sciences naturelles pour lutter contre les superstitions:

    “Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. […] Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison […] Il n’est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité […] Tout bien considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.”

    Vous allez vous enfermez dans des réflexions mortifères. Regardez l’histoire!
    L’être humain a déjà essayé de se passer de la morale (chrétienne ou autre) avec la biologie, c’est une voie sans issue.
    C’est une voie vers la catastrophe!

    1. La morale n’existe pas en dehors de ce qui est nécessaire pour la société. Jadis les homosexuels étaient exécutés au nom de la morale de l’époque et les femmes adultères lapidées. Nous nous dégageons de certaines prescriptions qui ne sont plus adéquates en fonction de ce que nous savons. L’application des prescriptions du Lévitique ou du Deutéronome serait contraire aux lois existantes.
      La biologie ne nous enseigne pas une morale mais elle nous dit ce qui est obsolète dans les catalogues existants.

      1. Ce que vous dites fait froid dans le dos…
        C’est qui “nous savons”?
        Et vous prétendez créer une nouvelle société, meilleure, sur de telles bases, complètement discriminantes?
        Allez donc la faire avec vos amis dans votre coin!
        La vie n’est pas cruelle. C’est votre vision de la vie qui l’est.

    2. Samy@ Merci Samy de nous rappeler par cet écrit d’Hitler que “la science sans conscience n’est que ruine de l’âme”. Le genre de démarche pour construire scientifiquement une doctrine est en soi une dangereuse forme de religion, ce genre “d’hommage à la raison” et à la nature (l’usage de la violence comme une forme de darwinisme) par les Nazis a été voué à l’horreur et à l’échec avec la guerre à outrance et le génocide de populations entières. Les religions comme la science sont de nobles outils si utilisés avec humilité et discernement. Le seul enseignement des sciences naturelles ne peut à lui seul suffire à former de meilleurs êtres humains, c’est seulement l’équilibre entre des matières enseignées très diverses et la qualité de l’enseignement dispensé qui peuvent aboutir à ce résultat.

  7. Je ne suis pas votre optimiste.
    Un anglais de confession musulmane a dit, que si il y a si peu de Nobel provenant de pays musulmans, c’est que les étudiants préfèrent suivre un cursus économique plutôt que scientifique, parce que la science ne colle pas avec l’islam enseigné. Il donnait l’exemple du Pakistan.

    La science sera toujours mis en doute si elle ne correspond pas à ce que l’humain souhaite entendre, pour des raisons religieuses, idéologiques ou révolutionnaires.

    Concernant les mutations, si elle ne correspond pas à ce qu’il veut entendre, le citoyen niera les mutations.

    Des scientifiques ont perdu du crédit en parlant à tort et à travers, et ça rejaillit sur les autres. Ils peuvent donner des opinions personnelles, mais alors sans jamais avancer l’étiquette scientifique si ils ne parlent pas de leur domaine. Un scientifique, ce n’est pas un génie qui connait tout sur tout, pourtant beaucoup de gens le croient. Quel est le crédit d’un médecin qui parle de fin du monde ? Et bien pas plus que le boucher. C’est aux climatologues de confronter leurs conclusions.

    Les scientifiques doivent être rigoureux pour redonner en eux, la confiance de la population.
    La qualité de la réflexion ce n’est pas le savoir. Beaucoup de scientifiques sont rigoureux, mais quelques uns se perdent, notamment dans le thème du changement climatique (géologue qui nie, Nobel qui voit l’apocalypse, …) : A chaque domaine son scientifique.

    Un curé qui n’est pas “parfait” voit son message devenir inaudible. De même, le scientifique doit être “parfait” pour que son message passe.

    1. C’est bien Watson et Crick qui ont découvert la structure de l’ADN. Bien qu’ils furent 4 dans leur équipe (les deux premiers ainsi que Franklin et Wilkins), c’est Watson et Crick qui finalement élucidèrent les mystères de l’ADN. Comme souvent, d’autres chercheurs avant eux avait pavé la voie: Pauling (qui tentait en vain de prouver l’architecture en triple hélice plutôt que double) et Avery, qui démontra que l’ADN était la molécule agent actif de l’hérédité. L’ADN fut découvert encore avant, en 1869, par Miescher, chercheur suisse.

  8. Monsieur,

    J’apprécie beaucoup votre courage et votre lucidité.

    Un nouveau variant dangereux du virus apparaît tous les 6 à 8 mois et se répand en 3 à 4 semaines sur toute la planète en prenant l’avion ou le bateau. Si rien n’est entrepris pour parer à ce mécanisme de dissémination extraordinairement rapide on peut déjà annoncer la prochaine vague meurtrière avant la fin 2022. Il est certain qu’il faut contrôler les flux dans les aéroports et les ports de manière rigoureuse afin de briser la chaîne à son maillon faible même si ça déplaît aux voyageurs inconditionnels du déplacement aérien et maritime. La preuve de leur non infectiosité doit être faite avant qu’ils ne disparaissent dans la nature.

    Enfin la levée des brevets concernés, en cas de pandémie, devrait être automatique.

  9. Pour une fois, je partage votre point de vue. Il est probable qu’un variant non létal du virus parvienne à nous immuniser et rende le vaccin superflu. A ce moment-là, la COVID ne disparaîtra pas, mais à l’image des refroidissements, grippes et autres infections saisonnières, elle ne fera plus peur. Restera à convaincre la pharma et l’OFSP d’arrêter de se la surjouer comme actuellement où l’on ferme les frontières avec les pays n’ayant qu’une personne atteinte du variant Omicron, ce qui est contre productif.
    Oui, j’espère que ce variant est le bon, celui qui nous immunisera sans douleur ni confinement.
    Mais quel manque à gagner ce serait pour la pharma!

  10. On peut lire un très bon article ce matin dans le temps concernant les variants et notamment le fameux Omicron.

    Tout d’abord parce que, pour une fois, au lieu de marteler des certitudes, le panel de scientifiques parle surtout d’inconnues: on ne sais pas. Il y a des pistes et des scénarios mais il faut observer et apprendre avant d’agir tout en appliquant un principe de précaution. Le vaccin est d’ailleurs évoqué comme mesure de protection contre les formes graves quel que soit le variant, sans que l’on puisse confirmer un niveau actuellement.

    Mais le thème central est bel est bien la sélection donc le processus d’évolution. Il est notamment avéré que le niveau de protection de la population contre le virus (immunité acquise par vaccination ou par la maladie) exerce une pression selective.

    Pas besoin d’un PhD pour comprendre: le virus mute très rapidement, notre système immunitaire le combat et seuls ceux qui survivent peuvent alors être transmis car un virus ne peut pas se répliquer en dehors d’un hôte contrairement, par exemple, aux bactéries.

    Le virus devient donc plus résistant pour survivre: comprenez contagieux car il existe aussi un processus selectif qui fait que le variant qui se répand le plus prend le dessus sur les autres.

    Pas bien compliqué tout cela et pourtant durant cette campagne, combien de fois me suis-je fait traiter de sale complotiste en tentant d’expliquer cela à des gens qui ne parlaient que de “pass” sanitaires pour continuer à pouvoir aller au bistrot sans masque. Ah, l’obscurantisme est partout !

    Le coeur de cette confusion réside dans le fait que l’on a promis initialement d’éradiquer rapidement ce virus grâce aux vaccins. Combien de fois avons-nous entendu le terme “sortie de crise” ou “revivre comme avant” en évoquant la variole ou la polio ?

    Or, il ne faut pas confondre l’utilisation du vaccin comme un outil pour réduire la dangerosité du virus (éviter les formes graves, les hospitalisation, sauver des vies) et une stratégie de lutte contrer le virus à long terme (“éradication”).

    Le vaccin n’empêche donc pas de contracter le virus et de developper une forme symptomatique contagieuse. Il n’empêche pas la réplication du virus donc le processus d’évolution qui amène de nouveaux variants (même si c’est plus lent, il n’est pas pressé donc ça ne change rien). Surtout que ces vaccins ont des taux moyens de protection plus faibles que d’autres vaccins contre la transmission. Le virus continue donc à circuler largement malgré la vaccination.

    De plus, le taux de reproduction du variant Delta étant 2.5 fois supérieur à la souche originale, le virus circule plus rapidement qu’au début de la pandémie dans la population vaccinée. Sans masques, l’usine à variants toune à plen régime.

    Ce qui vraiment intéressant (et pourrait réconcilier partisants et opposants), c’est plus l’aspect qualitatif que quantitatif de cette sélection: le vaccin excerce une pression sélective qui fait émerger les variants les plus contagieux. Or si le critère n’est pas la létalité, il est possible que les adaptations du virus le rendent de moins en moins dangereux. Une immunité de groupe redeviendrait alors possible.

    Ce scénario est évoqué avec prudence par ces experts mais il n’est pas à écarter. Une des inconnues reste la durée de la mémoire immunitaire contre ce sérotype. Elle n’est pas formidable et c’est que qui explique ces fréquents rappels qui pourraient bien remettre en cause la stratégie vaccinale à moyen-long terme. Il est donc bien trop tôt pour le dire.

    Mais la véritable leçon sur l’adaptation, c’est cette croyance que notre supériorité technologique nous protège de tout surout si un intérêt commercial se greffe dessus. Malgré cette pandémie, nous continuons à sélectionner des souches de bactéries de plus en plus résistantes par un usage massif d’antibiotiques dans le seul but d’améliorer le rendement.

    Des rapports alarmants sont publiés chaque année sur ces souches résistantes qui tuent déjà dans les hôpitaux. Mais on fait même encore un usage massif des antibiotiques de derniers recours dans certains cas. Par rapport à cette pandémie, le retour des infections bactériennes sans possibilité de traitements serait d’une magniture incomparable.

    Encore la faute aux sonneurs de cloches ? Aux incultes de la biologie à l’école incapables d’évoluer ?

    Eh bien non, ce sont bien nos élites économiques, au nom de la science, qui décident de notre monde. Le vrai problème, c’est notre avidité sans mesure qui épuise la planète. Nous adapter, c’est envisager une autre société et nous en sommes tous simplement incapables.

  11. La grande partie de nos gènes est appelée non codante ( gènes poubelle) , parce qu’ils ne codent pas pour des protéines et qu’on ne sait pas encore à quoi il servent , ou tout au moins, on commence seulement à en comprendre leur rôle ! D’autant que l’on sait maintenant que l’environnement joue un rôle dans l’interprétation des gènes ( épigénétique ).
    (…)
    De nouveaux concepts apparaissent et sont tout autant nouveaux pour les spécialistes que pour les citoyens lambda !
    Alors inutile de jouer les sachants quand l’ignorance est toujours plus grande que la connaissance !!!
    ET , aller trifouiller dans cette jungle en utilisant des ciseaux moléculaires me parait bien présomptueux avant de comprendre l’ensemble de ce puzzle géant !

  12. Les notions générales de science naturelle que vous exposez dans votre article ont pourtant été enseignées il y a cinquante ans déjà au secondaire, puis au gymnase, et maintenant certainement encore mieux grâce à ces fantastiques moyens de visualisation en réel ou en représentations animées.

    C’est la question que je me suis le plus souvent posée, déjà avant l’apparition du virus : « Comment des idées fantaisistes ont-elles pu prendre le dessus progressivement, même chez des personnes disposant d’une bonne base d’instruction ? » La science, à tout niveau, n’est pourtant pas une matière sèche comme peuvent l’être les maths s’il manque les capacités suffisantes, il est possible de découvrir la science déjà à l’âge de sept ou huit ans, et je ne crois pas qu’à cet âge les enfants actuels sont différents de ceux d’il y a soixante ans, comme moi qui posais beaucoup de questions, projetais de forts rêves, et étais pressé de comprendre. Quel est le phénomène qui a été à l’origine de la dévalorisation de ces rêves chez le jeune enfant plein de curiosité, emporté par ses rêves certes, mais pas moins avide d’explorer la réalité, et il le montre bien en demandant souvent ce qui est vrai ou non.

    Je n’ai pas suivi l’évolution de l’enseignement, depuis trop longtemps pour comprendre comment cet abandon d’intérêt a pu être possible. J’ai mes souvenirs de professeur remplaçant au secondaire, où durant les premières semaines j’oubliais le programme tant les questions des onze à douze ans tombaient, et au lieu d’expliquer ce qu’était le C.O.D. et où il fallait placer le s, à la fin de l’heure j’étais à court de craies à cause du sous-marin atomique qui occupait toute la surface du tableau noir : depuis le périscope jusqu’au moteur atomique, la leçon de grammaire s’était transformée en cours d’optique, de mécanique, de chimie… Pour le bonheur de mes jeunes élèves et le mien ! Mais moins pour le directeur qui fronçait les sourcils : « Arriverez-vous à suivre le programme ?.. J’ai des doutes, mais vous apportez de si bonnes choses à nos élèves, j’ai des échos de toutes parts, y compris des parents qui parlent de vous avec enthousiasme… J’ai donc décidé de vous garder, vous êtes conscient que je prends un risque ?.. »

    Si la curiosité pour les sciences, les vraies, pas celles sans réalité au-delà des rêves, si cet attrait s’amenuise chez l’adulte, nous allons tristement endormir le désir de découverte à l’âge où il est le plus fort. On pourra penser que j’exagère, mais en poursuivant sur ce pauvre chemin des sciences imaginaires, demain les pommes des arbres seront sèches et n’importe qui sera promu enseignant, ce sera la mort de l’école ou pire, on apprendra la bêtise qui ne fera même plus rire. Peut-être est-ce notre destinée de quitter l’humanité pour devenir d’intelligents légumes en communion avec la nature.

    1. Je faisais partie des élèves nuls en maths et pas plus passionnés que ça par les leçons de science.

      Avec le recul, j’ai compris que ce qui m’ennuyait était que les cours répondaient surtout à la question « comment ça marche ? ».
      Hors la question que je me posais était « à quoi ça sert ? ».

      Notre époque est clairement passée à la question : « combien ça rapporte ? ».
      Dans ce contexte, je ne suis pas sûr que les réponses apportées par l’école passionnent les gamins de 2021.

  13. Les membres du Congrès et du Sénat américain et je pense qu’ils ne font partie que d’une infime partie des privilégiés qui n’ont nullement besoins de se faire shooter pour obtenir des “green pass” récemment imposés par le gouvernement à toute la population des USA !

    Ouf, j’avais eu peur !!

      1. Si vous pouviez vérifiez les infos avant de chaque fois de me dire que mes infos sont gratuites et non crédible ?

  14. L’agence Reuters, leader de l’information mondiale, a pour patron James Smith qui s’avère être membre de la direction de Pfizer depuis 2014 et aussi un de ses plus gros actionnaires.

  15. La science de plateau TV n’est qu’une ridicule caricature d’elle-même. Mettre face à face l’astrologie et la science, non mais sans blague! Ce serait plus intéressant de mettre des scientifiques face à face. Mais depuis 20 mois, force est de constater qu’on a réduit au silence tous les contradicteurs potentiels en
    utilisant soit un déchainement médiatique soit une censure totale. Il est effrayant d’être le témoin d’un tel effondrement, d’une telle déliquescence de la pensée raisonnante qui à court d’argument qualifie de Fake tout ce qui vient challenger une vision souvent trop simpliste du réel.

    Censurés par les médias mainstream (cantonnés à Crowbunker pour le CSI), ces voix dissidentes s’insurgent contre la dérive en cours. Car il est facile pour le médiocre, de se dissimuler derrière le paravent de la “science”, mais cette science poubelle, pervertie par des conflits d’intérêts n’a plus rien de scientifique. Pour exemple, l’immunité naturelle acquise après avoir été en contact avec le virus, est discréditée par ceux qui promeuvent l’immunité artificielle conférée par la vaccination… L’argent de BigPharma ruisselle et corrompt tout ce qu’elle touche, l’argent de la fondation de Bill et Melinda Gates & du Gavi financent d’une manière tentaculaire de nombreux médias, nos Universités, les HUG, la recherche médicale, etc. Il est facile de constater que les intérêts des grandes corporations ne sont pas forcément : le vrai, le beau et le juste, mais que c’est surtout l’objectif de gagner des trillons de $ qui constitue la vraie motivation derrière le philanthropisme de façade.

    Si nous prenons de la hauteur, nous pouvons voir l’effondrement moral de notre société (les valeurs qui inspirent la transcendance et l’aspiration vers le haut), notre mode de vie dégénéré est en train de détruire la vie même sur cette planète. Persister dans la direction du transhumanisme (que vous idolâtrez d’une manière quasi religieuse) causera notre chute et nous finirons par nous autodétruire, immanquablement. Oui, la Nature est bien faite. Tout ce qui n’est pas aligné sur les lois du vivant finira par disparaître, absorbé par l’entropie grandissante que ces technologies artificielles produisent. Oui, les futures mutations du virus règleront le sort des dissidents (pas les dissidents auxquels vous pensez), mais les dissidents de la Science de la Vie, c’est là mon intime conviction.

    P.S. : Non les OGM ne constituent aucunement une voie de sortie, au contraire, ils précipitent la chute. Comme vous semblez méconnaitre le lien vicieux entre OGM/pesticides et climat, je vous recommande de vous intéresser au concept de “bio-séquestration” des sols en agriculture régénératrice (c.f. Projet Drawdown), etc.

        1. Je n’ai jamais envisagé une carrière politique qui m’aurait empêché en quoi que ce soit de dire la vérité dans la mesure où je la connais. Ce film ne m’a pas empêché d’être réélu deux fois à Berne.

    1. Si vous chercher encore les incohérences liées à cette manoeuvre totalitaire, vous pouvez y passer des mois, des années, y en a une qui me fait également presque sourire, ils ont dit qu’il fallait injecter une seconde dose 3 semaine ou 1 mois après la première, et maintenant ils disent d’attendre minimum 3 à 6 mois entre deux doses, que si l’on observe pas ce laps de temps, cela pourrait être dangereux !!

  16. Donc, il y a un virus, on fait un vaccin, le virus mute, celui qui résiste au vaccin se transmet, le virus échappe au vaccin, on refait un vaccin, le virus mute, celui qui résiste au vaccin se transmet, le virus échappe au vaccin, on refait un vaccin…

    … ça s’appelle tourner en rond. C’est une forme d’évolution très énervante pour la population à long terme.

    Autre cas de figure: il y a un virus, on fait un vaccin efficace contre la transmission, le virus ne se transmet pas et finit par disparaître car s’il ne se transmet plus, il ne peut plus muter suffisament pour s’adapter.

    Les laboratoires ont choisi la 1ère solution bien plus intéressante pour l’humanité.

    Mais dans cette répétiton du même, chère à mon pote Friedrich Nietzsche, il peut y avoir des couacs: un vaccin encore moins efficace une année avec re-confinement total et arrêt de l’économie (raté dans l’évolution du vaccin) ou alors le virus ne s’adapte pas au vaccin et finit pas disparaître.

    Je crois moins à cette 2ème version car un pré-requis est la vaccination multi-doses de toute la planète en moins d’un avec une version n du vaccin…

    Bref, nous sommes encore bien loin d’un miracle technologique qui démontre notre capacité d’adaptation.

    1. Le technique ne fait pas de miracle mais elle rend possible certainse choses qui sont souhaitables. Pas n’importe quoi.

    2. ”La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent.” Albert Einstein

      La stupidité n’est pas exclue dans le cadre de ce constat !

  17. Un bon conseil pour nos chers lecteurs, au vu de la vague hivernale qui a déjà débarquée, habillez-vous bien, mettez minimum 2 ou 3 pullover, pour ne pas que les autres prennent froid !!

  18. Israel, l’inoculation sur les enfants est un véritable fiasco, moins de 1% des enfants après 10 jours qui ont suivi l’autorisation, il doit y avoir un grave problème !!

    En Israel, certains pro-vax déconseillent vivement de ne pas injecter cette substance aux enfants, ces mêmes médecins qui vaccinent contre les autres maladies, les voilà qu’ils se mettent à hurler dans tous les sens, car ils savent qu’en Israel où les enfants sont plus que roi que si il arrive un accident à un enfant, qu’ils vont se faire trucider dans la minute qui suit !

    Autre exemple israélien, ils ont ordonnés le port du masque dans les écoles, trouvez-moi un seul élève qui porte le masque dans sa classe, impossible, alors le gouvernement a envoyé des pions pour faire respecter cet ordre imbécile, le résultat est que les élèves ne les regardent même pas, dans le pire des cas, certains mouilleurs mettent le masque sous le menton, basta !

    Ces escadrons de pions ont finis après 1 semaine d’abandonner leurs missions, dégoûtés et le gouvernement abandonne leur attitude de petits dictateurs dans un silence minable, dans les pays animés par des cultures méditerranéennes, toucher aux enfants relève du sacrilège le plus absolu et avoué !

    Le nombre de conséquences graves dues à ces inoculations quasi forcées chez les jeunes est extrêmement inquiétante, aucun média ne communique à ce sujet, la FIFA a déclaré 183 cas de morts subites sur des stades depuis un an, la moyenne était précédemment de 43 en six ans selon les chiffres de la FIFA à Lausanne ! 43 divisé par 6 = 7,16, 183 divisé par 7,16 = 25,53 !

    Le taux de morts subites (en général, myocardites et péricardites) est plus de 25 fois supérieur depuis l’inoculation de ces substances particulièrement dans les milieux sportifs professionnels très, très, très largement inoculés. Le Japon a interdit immédiatement le produit moderna pour cette raison, d’autres états ont suivis, le taux de myocardites et péricardites explose dans la jeunesse et personne n’ose en parler, c’est hautement criminel, raison pour laquelle la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen vient de demandé l’abrogation du code de Nuremberg, cette info est passée à la trappe des médias consensuels, de plus l’époux de cette présidente omnipotente et omniprésente est rien de moins que le PDG de moderna Europe !

    Que du beau monde, a savoir que Madame Von der Leyen n’a pas été inoculée avec ces produits OGM.

    Tout comme bill gates, soros, le PDG de pfizer (pas fou) ainsi que l’ex depuis 3 jours, PDG de tweeter qui fait censurer tous les tweets anti-pass et anti-pfizer, il est pas beau l’exemple qui nous vient de nos cieux aux ordres de blackrock et d’un certain schwab ?

    1. Si je comprends la fine pointe de votre pensée, l’épouse du PDG d’une pharma n’a plus le droit de faire une carrière politique puisqu’elle utiliserait celle-ci pour promouvoir les intérêts de cette firme. Apprenez que des personnes se lancent en politique parce qu’elles ont des convictions même si vous ne parvenez pas à imaginer que cela existe.

      1. Le problème Monsieur, c’est que son époux a été mis en place à la tête de moderna après que son épouse soit nommée à la présidence de la commission européenne et qu’elle ait refusé de se faire inoculé, même avec le produit qu’elle a commandé par centaines de millions d’unités à moderna, sans doute, sur un contour de l’oreiller !

  19. Faites l’expérience vous même, rendez-vous dans un hôpital cantonal, Genève, Lausanne ou autre, accédez au secteur Covid, et demandez à chaque patient si il est inoculé !

    Vous verrez, avant de vous faire jeter, comme l’a fait une copine, sur les 15 qu’elle a eu le temps de poser la question, tous avaient été inoculés avec la soupe soi-disant vaccinale !

    100%

    1. On connaît la chanson… l’amie d’une copine qui … se cache derrière un compte facebook complotiste.

      Je vais vous décevoir. Cette copine sur laquelle vous avez un crush est sans doute un mec poilu, soit un troll qui se marre à vous faire gober n’importe quoi.

      1. Tient, vous avez au moins évité d’utiliser le terme “complot” !

        Maintenant concernant les fantasmes, autre forme de chercher une diversion face à un phénomène qui s’oppose à la contradiction. Vous pourriez simplement dire que nous n’avons pas le même avis, je ne fais que décrire ou transmettre des avis qui ne sont pas ceux largement établis, certes, mais nul besoin de les balayer d’un seul coup rhétorique à caractère condescendant, voir acéré !

        Vous ne partagez pas mes observations, quelque part tant mieux, voudriez-vous uniquement débattre avec des avis acquis ?

        J’attendais de votre part, un peu plus de consistance qu’un simple “fantasme” !

        Oui, les fantasmes existent, aucun doute, mais dans ce cas pourquoi ce refus de les étudier ?

        De comprendre d’où viennent leurs substances, leurs origines et leur raison d’être. Quantité de vérité ont été qualifiées de fantasmes avant d’être reconnues et acceptées, c’est même le propre de l’évolution. Dès l’apparition de chaque nouveau phénomène auxquels l’humanité s’est confrontée, il me semble avoir été plus prudent de s’éloigner des certitudes une peu trop hâtives et orchestrées par des systèmes de croyances trop établis. Pendant des siècles il n’était pas autorisé de déclarer que la terre était sphérique. Donc, pour beaucoup, il ne s’agissait que d’une sorte sentiment loin d’être d’être une certitude acquise et hiératique. Ce sont les sentiments restés cachés derrière les certitudes qui ont fait avancer les sciences et les découvertes, des sortes de fantasmes, comme vous le dites !

  20. Je dois le répéter encore et encore, on a jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité apparaître des complots venant du peuple, pr définition, c’est un luxe réservé aux “élites” et souvent, justement contre le peuple ! Il faudra expliquer à certains comment un complot puisse achever sa cible en étant largement partagé par une quantité suffisante de personne et largement publiquement répandue ? Dans ce cas, ce ne pourra jamais être un complot, mais un soulèvement populaire, vouloir accuser le peuple de complot est absurde et le répéter en boucle, relève, encore, d’une autre contorsion de ce que certains désigne comme l’intélligence !

    Si il y a “complot” il ne peut que venir des “élites” contre le peuple du point de vue linguistique, ou entre personnes faisant partie de cette même “élite”, dans l’autre sens, c’est dialectiquement impossible !

    Donc un beau zéro de français à A.

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