Le climat stabilisé à l’initiative de Christoph Blocher

 

Selon ce leader de l’extrême droite helvétique, la transition climatique relève de l’hystérie collective, bien entendu propagée par les médias. Enfin, cette révélation, après celle si réconfortante de Donald Trump, nous rassure. Les spécialistes scientifiques du climat n’arrêtent pas de prétendre que l’émission de CO2 engendre un effet de serre. En février 2019, l’Organisation météorologique mondiale a annoncé que les années 2015 à 2018 ont été les plus chaudes depuis les premiers relevés effectués en 1850. En 2018, la température moyenne de la planète se serait établie à 14.7°C, dépassant de 1°C celle de l’ère préindustrielle et de 0.38°C la moyenne des années 1981-2010.

Grâce à Christoph Blocher nous découvrons maintenant que ce ne sont que de grossiers mensonges. Ces prétendus scientifiques sont des imposteurs, colportant de fausses nouvelles pour se rendre intéressants et obtenir des crédits de recherche. Ils diffusent des images truquées de la banquise arctique pour faire croire qu’elle fond. Ils montrent de photos manipulées pour démontrer que les glaciers fondent.

D’où proviennent le financement de telles arnaques ? Selon certaines sources bien informées, ce seraient les fabricants de canons à neige qui réussissent ainsi à vendre leur matériel à des stations de sports d’hiver alors que les chutes de neige n’ont jamais été aussi abondantes que cet hiver. D’autres sources mentionnent les entreprises de construction de digues qui ont fait croire au public mal informé qu’au XXe siècle, la mer aurait monté de 17 cm sous l’effet du changement climatique. Le niveau marin aurait encore gagné en moyenne 8 cm de 1992 à 2015 et localement jusqu’à 23 cm. Il suffit de se rendre sur sa plage habituelle pour se rendre compte qu’il n’en est rien.

D’ailleurs le Conseil fédéral, le meilleur gouvernement du monde, ne prend aucune mesure. N’est-ce pas la preuve qu’il s’agit bien d’une hystérie collective ! De même le Conseil national, le plus éclairé des parlements, vient de refuser la loi sur le CO2 par une alliance révélatrice entre la gauche et la droite. Le citoyen moyen peut donc dormir sur ses deux oreilles. Nos autorités, qui veillent sur tout, ne se préoccupent pas de cette arnaque intellectuelle.

Il était temps que le meilleur des Suisses révèle cette vérité à ces concitoyens. Ceux-ci savent qu’il a construit sa fortune à partir de rien, par sa perception aigüe de la réalité économique, par sa lucidité, par son esprit d’entreprise. Quelqu’un qui a réussi à ce point sa vie professionnelle ne peut pas ni se tromper, ni nous tromper. Dans les conférences internationales, la Suisse doit maintenant montrer le bon exemple et s’opposer à toutes les mesures proposées pour lutter contre un prétendu réchauffement climatique.

Jacques Neirynck

Jacques Neirynck est ingénieur, ancien conseiller national PDC et député au Grand Conseil vaudois, professeur honoraire de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), d'origine belge, de nationalité française et naturalisé suisse. Il exerce la profession d'écrivain.

40 réponses à “Le climat stabilisé à l’initiative de Christoph Blocher

  1. Peut-être faudra-t-il désormais disposer de l’indépendance personnelle de Christophe Blocher pour avoir la possibilité de contester la propagande totalitaire qui fait rage et qui prétend nous contraindre à changer tous nos modes de vie sous peine que la planète soit en feu demain matin.

    Il y a une hystérie de fin du monde qui rappele la “grande peur de l’an mil”. Chacun est sommé de se convertir et de faire pénitence (en versant un bulletin vert dans l’urne un prochaines élections). Et si l’on ne se prosterne pas dans un geste de vénération on sera écrasé sous les sarcasmes du Grand Inquisiteur Neirynck.

    Si on est journaliste, fonctionnaire, étudiant, on n’a qu’à bien se tenir: contester le dogme réchauffiste peut coûter très cher. Le bannissement, la mort sociale, l’exclusion. Seul un milliardaire comme Christophe Blocher est invulnérable à cette répression omniprésente et étouffante, car il est riche. Mais ceux qui dépendent d’un salaire doivent se soumettre.

    Même si c’était vrai que la planète se réchauffe comme on nous le dit, ces procédés ne seraient pas tolérables.

    Merci monsieur Blocher d’oser parler et dire ce que vous pensez.

    1. Ce commentaire rejoint une hypothèse du blog : la crédibilité d’une personne dépend de sa fortune. Trump et Blocher peuvent dire n’importe quoi en suscitant tout de même l’attention de tous et l’adhésion de certains. En revanche, les chercheurs scientifiques mal payés ne sont donc pas crédibles.

      1. Ce n’était pas du tout mon propos. Je voulais dire au contraire qu’il serait souhaitable qu’on puisse avoir un débat civilisé et rationnel, arguments contre arguments, sur ces sujets, et non pas un climat (c’est le cas de le dire) de terreur intelleçtuelle, de chasse aux sorcières où les sceptiques de la Thèse officielle sont condamnés d’avance, jugés hérétiques et relapses, dénigrés, intimidés et menacés. Et tous les medias jouent le jeu de cette propagande. C’est un climat insupportable qui rend tout débat impossible.

        La fortune d’un homme ne donne aucune crédibilité dans le débat de fond. Mais cela permet de dire son avis sans crainte des représailles. C’est celà uniquement que j’ai voulu dire.

          1. Non, votre avis est sincère. Vous croyez à ces thèses. D’autres scientifiques renommés les contestent. Mais par un article comme celui-ci vous participez à la répression des opinions dissidentes.

          2. C’est pourquoi je me suis permis de vous taquiner en parlant du Grand Inquisiteur Neirynck, avec tout le respect qui vous est dû.

  2. Monsieur C. Blocher, milliardaire émérite, ayant réussi à détourner un parti agrarien pour en faire un parti nationaliste suisse aux idées surprenantes à donc rejoint un groupe de « conspirationistes ».
    Dorénavant, chaque parole du tribun ou de l’UDC devra être soumise à un contrôle par Checknews, et toutes les photos issues de l’UDC devront être analysées avec TinEye et Google image.
    L’avantage des données scientifiques c’est qu’elles sont vérifiables par différents groupes partageant le même état d’esprit qui est de comprendre, alors que les conspirationistes se limitent aux croyances avec lesquelles ont peut broder tout et n’importe quoi, même avec un simple clic.

    1. L’argument de Delaplanete est typique de ce climat insupportable. Delaplanete en appelle à une police de la pensée. Les opinions climato-sceptiques ne doivent pas être discutées et contrées au besoin par des arguments. Non, elles doivent faire l’objet d’une censure. Leurs paroles devront être au préalable contrôlées par Checknews, leurs photos analysées avec TinEye et Google image. C’est l’Inquisition high-tech. Torquemada aurait rêvé de ces moyens techniques pour violer les consciençes.

      1. Cher Monsieur « trop c’est trop », je crains que mes mots ont été mal compris. Concernant le climat et ses variations d’origines terrestres ou extra-terrestres, ne me pose aucun problème, alors que le gaspillage borné des matières premières avec leurs conséquences néfastes sur notre environnement est problématique. Il est évident que dans le futur, nos besoins en énergie seront assurés uniquement par le solaire. Il est capable de subvenir aux besoins, comme cela pourrait déjà être le cas actuellement si tous les toits suisses étaient équipés de cellules photo-voltaïques.
        Certains médias ont besoin d’exagérer les faits signalés par le GIEC, mais en Suisse l’UDC n’a jamais été aussi habile et surtout pas gênée d’exagérer les faits à des fins bassement électoralistes. Les élites de l’UDC, comme cela a été relevé par la presse, ne se sont jamais préoccupés d’environnement et l’ont encore prouvés récemment au parlement. Les derniers propos de CB me sont donc apparus, une fois de plus, en plein décalage avec notre réalité terrestre, qui reste unique dans notre système solaire.

  3. M. Neirynck , pas mieux que Blocher ou Trump, ne connait les causes des changements climatiques. Il confond les années El-Nino 2015-2018 avec les effets du CO2 qui n’a pas attendu les experts du GIEC pour apporter un peu de chaleur sans laquelle nous n’existerions pas !
    Faut-il rappeler une fois de plus que sans l’effet de serre de l’atmosphère, en particulier des GES (H2O, CO2, CH4, O3, …) la Terre serait 33°C plus froide depuis des milliards d’années ! Sans le CO2, pas de vie sur Terre , le carbone autant que l’oxygène sont extraits de ce gaz originel .
    On ne peut pas mesurer exactement in vivo les effets de chaque gaz, mais des expériences en laboratoire ont montré que ces effets démarrent avec une faible concentration , 10 ppm pour le CO2 et par rapport à la situation présente (400 ppm), 100 ppm apporte déjà 80% de l’effet actuel, 200 ppm 90%, 300 ppm 95% , 400ppm 100%, 500ppm 104% , … , la courbe n’est pas linéaire . Le GIEC lui-même estime à moins de 2 watts/m2 le forçage radiatif du CO2 anthropique sur les 150 watts/m2 de la totalité de l’effet de serre global , soit environ 1% .
    Les variations de températures mesurées directement ou à travers les indices vieux de millions d’années sont liées à plusieurs phénomènes , dont les plus célèbres correspondent aux cycles astronomiques décrit par Milankovitch auxquels on doit les périodes interglaciaires tous les cent mille ans dans laquelle nous vivons actuellement depuis dix mille ans et qui a eu lieu il y a aussi 125’000 ans sous la période éémienne , avec une élévation du niveau des mers de plus de 100 mètres !
    Les variations constatées au cours de l’holocène sont beaucoup plus modestes (+- 1°C) mais très bien reconstituées avant que nous brulions des hydrocarbures , mais encore mal comprises parce que l’énergie contenue dans les océans n’est étudiée que depuis quelques décennies seulement .
    Les satellites ont commencé à scruter notre planète que depuis 1979 mais nous savons que les glaciers avancent et reculent depuis des milliers d’années . La fonte des glaces permet de retrouver et dater des fossiles de plantes ou d’arbres ayant poussé avant la dernière avancée il y a des siècles …
    La capacité thermique des océans représente mille fois celle de l’atmosphère et évidemment joue un role prépondérant dans les fluctuations mesurées depuis le XIXème siècle. Tous les pics de température enregistrés correspondent aux oscillations océaniques (AMO, PDO, ENSO) qui commencent seulement à être pris en compte. L’indice AMO (oscillation multidécénale atlantique) était positif en 1880, 1940 et depuis la fin des années 1990, négatif vers 1910, 1970 et on peut s’attendre à ce qu’il le redevienne vers 2030 …
    Ce qui ne doit pas nous dissuader de poursuivre la transition énergétique nécessaire à long terme puisque nous devrons bien nous passer des énergies fossiles épuisables, polluantes et nocives pour la santé et l’environnement..
    L’énergie solaire, très amplement suffisante pour tous nos besoins sans nous restreindre, est gratuite et illimitée dans le temps . Elle n’attend que nos capteurs pour être disponible à nos prises électriques et comme chacun sait, le prix de la technologie diminue avec le temps …
    Pour la Suisse, les technologies vertes apportent en plus l’indépendance (chère à l’UDC) et des places de travail pour l’avenir, bonnes pour l’économie ! Y renoncer nous rendra dépendant des produits étrangers pour les décennies qui viennent.
    Il ne suffit pas de regarder par la fenêtre pour prendre des décisions hâtives , mais comprendre un peu mieux les tenants et aboutissants pour se préparer aux événements futurs.

  4. Comme toujours Hubert Giot argumente honnêtement et remet les choses en perspective. Voila comment on devrait débattre, et non par l’anathème et l’excommunication comme le font les Torquemadas du climat.

    Personnellement je ne suis pas un scientifique mais je fais quelques constats empiriques qui me rendent tout à fait réfractaire à cette propagande dont le but est essentiellement politique et électoral.

    Constatation No 1: Je ne peux pas oublier l’hystérie qui avait été entretenue par les écolos, et les medias de propagande, il y a quelques années, au sujet de la “mort des forêts, qui était soi disant due aux “pluies acides”. En fait on a découvert qu’il s’agissait du bostryche et on a pu traiter le problème. Il n’en reste pas moins qu’on avait dejà assiste à un début de manipulation. Celà m’empêche de croire bêtement tout ce qu’on nous raconte aujourd’hui. C’est comme dans l’histoire de la chèvre de monsieur Séguin.

    Constatation No 2: On a pu me démontrer que là où le glacier du Rhône s’est retiré, on y a trouvé des mélèzes. Celà prouve que ce glacier a déjà connu plusieurs fontes et té glaciations successives au cours des mille années précédentes. Fait que Hubert Giot nous confirme. Donc… On se moque de nous.

    Constatation No 3: Dans la campagne actuellement en cours sur le thème de “l’urgence climatique” on constate tous les marqueurs habituels d’une opération de regime change ou révolution colorée selon les manuels de déstabilisation wue tout le monde connaît: instrumentalisation de la jeune autiste Greta Thunberg par les grands de ce monde (Davos), création de groupes d’agitation et propagande sophistiqué comme Extension Rébellion, plusieurs autres signes qui ne trompent pas.

    Il s’agit donc manifestement d’une opération oligarchique de bourrage de crânes à grande échelle, utilisant les technique de Otpor et autres organisations de spin doctors dans le but de créer artificiellement un sentiment de panique et d’urgence absolue, pour faire basculer brusquement (to “spin”) l’opinion dans le sens des partis” Verts” .

    Le but de l’opération? C’est tres évident. Il s’agit de combattre ainsi, par des arguments irrationnels, la poussée “populiste” aux prochaines élections (européennes, et elections fédérales en Suisse). C’est le brise lame du pouvoir mondial contre le réveil des peuples qui ne veulent pas mourir noyés dans le tsunami migratoire (lui aussi organisé, c’est bien évident).

    C.Q.F.D.

    1. Jusqu’à maintenant 100% convaincu que le changement climatique résulte des activités humaines, je trouve toutefois ce débat intéressant. Une question que je me pose sans avoir une idée de la réponse est pourquoi tous ces scientifiques qui nous alertent sur l’inéluctabilité du réchauffement climatique défendent une position qui ne peut que nuire à la toute puissante économie. Si l’on devait croire à la théorie du complot et imaginer que ces experts sont en fait au service d’un dessin occulte, comment imaginer que les puissances qui nous manipulent promeuvent une vision du futur si contraire à leurs intérêts (consommation débridée, croissance infinie, individualisme, …). Eclairez-moi s’il-vous-plait !

      1. La raison de ce comportement, selon moi, est que l’urgence climatique a été considérée par les pouvoirs mondialistes comme le seul argument de propagande capable, s’il est accepté par la masse, de convaincre les gens de consentir à la mise en place d’une dictature mondiale: pour “sauver la planète”.

        Une fois que ce gouvernement mondial centralisé sera en place, aux ordres de la haute finance, alors on nous parlera beaucoup moins de l’urgence climatique. On ne gardera cet argument que dans la mesure où cela permet de justifier certains éléments nécessaires au pouvoir mondial: par exemple une taxe carbone mondiale, des mesures de contrôle de l’opinion publique, etc.

        1. Intéressant. Je vous remercie de votre réponse. Faut-il opposer ce qui reste tout-de-même une croyance à un nombre considérable de mesures et d’observations validées par la science. En plus, si la science sur cette problématique a raison, c’est à terme l’effondrement de l’Humanité qui est en jeu.

          1. Je n’ai pas affirmé que les études scientifiques sont fausses. J’ai juste dit que je suis sceptique. Mais même si les études les plus alarmistes étaient vraies à 100%, il n’en resterait pas moins que nous devons combattre de toutes nos forces cette opération politique de viol des consciences dans un objectif de dictature mondialiste.

            S’il y a un problème de réchauffement, et si ce problème est réellement dû à l’homme (ce dont je doute) et non aux taches solaires ou à d’autres raisons, alors prenons des mesures. Mais dans le respect de la souveraineté de notre pays et de toutes les nations.

            Le mondialisme, voilà l’ennemi!

            Et si voulez vraiment mon opinion personnelle je pense que le remplacement des populations européennes par des populations d’autres continents est un problème plus grave, aux effets plus irréversibles et dramatiques, que les problèmes climatiques dont je ne pense pas qu’ils dépendent de notre volonté.

            Il n’y a ucune raison de faire primer la question climatique, qui est peut-être existentielle, sur la question migratoire, qui est À COUP SÛR existentielle.

            Et c’est pourquoi dans cette affaire, monsieur Blocher à – une fois de plus – raison.

    2. Si vous cherchez des arguments pour, car vous devriez, étant donné que vous demandez un débat, il faut les deux cotés, lisez les études du GIEC, et faites vous une idée comparative.
      Vous ne prenez que des arguments qui vous arrangent, ce n’est pas comme cela que l’ont doit se faire une idée.
      C’est aussi simple de voir que certains glaciers fondent beaucoup plus vite depuis l’ère industrielle. Mais je n’en conclue rien, juste avec cet argument.. Je cherche plusieurs sources d’informations, ce que vous devriez faire si vous voulez avoir un avis éclairé.
      Il y a beaucoup d’études sur le climat qui sont d’accord pour dire que l’homme est en train de chambouler la planète, pourquoi ne pas les prendre en compte et automatiquement les mettre de côté ?

    3. Cher Trop C’est Trop,

      Vos commentaires sont riches et bien écrits, et constituent une bonne illustration de la rationalisation climato-sceptique. Néanmoins j’ai remarqué quelques failles dans votre argumentation. Je vais donc tâcher d’en couvrir les points essentiels dans ma réponse.

      Tout d’abord, vous faites mention d’observations locales pour tenter de réfuter un modèle expliquant une tendance à l’échelle du globe. A cela, vous ajoutez une comparaison avec des phénomènes passés bien différents de ce qu’on observe actuellement (les périodes glaciaires, et le fait que le climat varie naturellement). Ces arguments, souvent repris par les climato-sceptiques, témoignent à mon sens d’un manque de comprehension des mesures présentées et de la méthode scientifique en général, le tout agrémenté d’une pointe de mauvaise foi: certes le climat change naturellement, mais quelle est la probabilité que les observations actuelles soient non-corrélées avec l’activité humaine? Trop faibles hélas selon une écrasante majorité des scientifiques. Et s’il est vrai que les scientifiques peuvent se tromper, cela fait plus de 30 ans que les tendances climatiques suivent les modèles de réchauffement qui étaient déjà présentés à l’époque. La probabilité d’erreur est là encore extrêmement faible.

      Ainsi, le réchaufement climatique dû à l’activité humaine est une certitude indépendante des opinions personnelle. En revanche, je ne cautionne aucunement la censure ou l’exclusion sociale de ceux qui sont en désaccord avec ce point. Jusqu’à present, je n’ai trouvé nulle trace d’une telle exclusion. Bien au contraire, les lobbies des matières premières sont les premiers financeurs du climato-scepticisme à l’image de l’industrie du tabac lorsque les dangers de la cigarette ont commence à être compris, et certains médias se font une joie de leur donner la parole. Ceci n’est pas un problème en soi, tant que l’on ne tombe pas dans l’agression verbale, et je serai heureux d’engager un débat constructif avec qui voudra, en évitant les termes minimalisants telles que “propagande” ou “dogme” alors qu’on ne parle que d’interprétation de données.

      Concernant la crise migratoire, si elle me semble clairement profiter à certaines nations qui souhaiteraient voir l’éclatement de l’Union Européenne, je ne vois pas comment elle soutien votre argumentation. Au contraire, ne faudrait-il pas prendre des mesures pour éviter la montée des eaux afin de ne pas bouleverser encore d’avantage la démographie des pays en voie de développement de par les déplacements de population? Il est intéressant de voir qu’à long terme, vous opposer à la lute contre le réchauffement climatique pourrait contribuer à la “noyade des peoples” comme vous l’appelez.

      Je finirai par conclure sur le fait que, même si “l’hystérie climatique”, comme vous aimez l’appeler, s’avérait infondée, ne serions-nous pas gagnants à changer le status-quo néo-libéral en faveur d’une économie davantage centrée sur l’humain et son environnement? M. Blocher, de son côté, en fervent représentant d’un capitalisme focalisé sur le profit à court-terme, a tout intérêt à ce que l’équilibre actuel des pouvoirs se maintienne le plus longtemps possible, d’où sa volonté à attaquer les mouvements progressistes et, pourquoi pas, à se présenter en victime lorsque des “Fact checkers” s’expriment pour lui signaler les défauts dans son argumentation.

      Ma pensée est certes un brin idéaliste, mais je considère important d’imaginer le monde dans lequel nous voudrions vivre afin de prendre les mesures nécessaires pour s’en rapprocher. Je vous souhaite de faire de même.

      Cordialement,
      Léo

      1. Cher Léo, je vous remercie de vos compliments. Mais mes modestes constations au sujet du réchauffement climatique, n’ont aucune prétention à trancher la question. J’ai bien dit que je ne suis pas un scientifique. Je me contente de constater un certain nombre de faits troublants (l’affaire du bostryche, les mélèzes du glacier du Rhône notamment) qui m’incitent à me méfier profondément des arguments de propagande excessifs que nous subissons. Mais je ne prétends pas que je connais le sujet. Quelqu’un qui connaît le sujet c’est Hubert Giot.

        Mon propos est autre. Ce que je dénonce c’est l’opération politique de conditionnement de l’opinion. Et les méthodes de terreur intellectuelle, visant à intimider les dissidents. Je dénonce également les techniques de manipulation de l’opinion. Ce sont des méthodes typiques du pouvoir profond: utilisation des réseaux sociaux, big data, création d’organisations comme Extension Rébellion avec un savoir faire professionnel en matière de propagande, instrumentalisation d’idiot(e)s utiles comme Greta Thunberg et d’autres. Je ne mettrais pas monsieur Neirynck dans le lot, parce qu’il n’est pas idiot. Disons que c’est un intelligent utile, tout comme notre glorieux prix Nobel Dubochet.

    4. Cet article expose, en les interprétants au deuxième degré, des moyens de persuasion auxquels recourent ceux qui veulent gagner leur combat contre les opinions scientifiques, sans soucis d’honnêteté intellectuelle ou d’honnêteté tout court. Parmi ces procédés, il en est un qui n’a pas été mentionné, bien connu des régimes totalitaires qui savaient « assainir » une population de ses éléments contaminants. Le procédé apparaît bien clairement entre les vagues de votre discours : Vous traitez Greta Thunberg d’autiste, et les milliers de jeunes de son âge qu’elle sensibilise le seraient donc aussi. Quand bien même les arguments que vous apportez se veulent droits, vous recourez au procédé qui consiste à déclarer malade les personnes qui vous gênent pour leurs opinions : Salement malhonnête…

      1. Greta Thunberg est atteinte du syndrôme d’Asperger. C’est une forme d’autisme léger. Elle s’en est vantée elle-même en disant que cela lui permettait de porter des idées brisantes en restant insensible aux oppositions qu’elle suscite.

        Pour ma part cette jeune femme ne m’est pas du tout antipathique. Je reconnais son charisme et je pense qu’il est probablement nécessaire d’avoir un “grain” pour jouer le rôle de prophète. Je constate simplement qu’en sa personne nous n’avons pas du tout affaire à une héroïne affrontant le pouvoir au risque de sa vie ou de sa liberté, mais bien à une personnalité bizarre, mise en avant par les puissants (exemple: les participants du symposium de Davos) parce que c’est dans LEUR intérêt à eux. Elle est donc instrumentalisés et si tel n’était pas le cas, on n’aurait jamais entendu parler d’elle.

        Je tiens à préciser que je suis tout à fait convaincu de la nécessité de préserver l’environnement. Ce qui m’indigne c’est qu’il est absolument évident que nous sommes en présence d’une opération de propagande, dans un but politique: créer un “climat” moral, y compris par l’intimidation des consciences, pour pousser au pouvoir des partis pseudo écologistes, et ce, parce que ces partis sont les plus zélés valets du mondialisme. Il s’agit aussi, par la manipulation, de tuer le réveil populaire des forces dites “populistes”. Le pouvoir mondial espère qu’en conditionnant habilement l’opinion dans le sentiment d’une urgence climatique absolue, on fera accepter par les peuples la création d’un gouvernement mondial. Et ça, c’est une imposture, et ça me débecte.

  5. Moi, honnêtement et très humblement, je me suis rendu pendant la semaine de pâques a ma plage de prédilection, mis à part la soupe de plastiques et aux différents détritus tout comme le disparition total de toute forme de vie marine, je n’ai pas remarqué aucun changement du niveau ou de la température de la mer. J’ai comme même annulé mon voyage en croisière afin d’éviter toute représaille du monde politique qui n’utilise ces moyen de transport ni l’aviation privé par principe de précaution!

  6. Je remercie tous les participants à ce débat passionnant que je me réjouis d’avoir lancé. Pour avancer un peu plus loin, je pose une question supplémentaire : est-ce que la science est une opinion comme une autre? Est-ce que la mesure de la température de la planète a été faite par des relevés au moyen de thermomètres ou bien en humant l’air du matin? Est-ce que les relevés de la calotte glaciaire arctique ont été fait à l’estime? Est-ce que la teneur au CO2 de l’atmosphère relève de l’imagination de celui qui a fait l’analyse? En un mot est-ce que des mesures et des calculs ne valent pas plus que la conviction de tout un chacun sur base de discussions privées?

    Si on estime que la science est une opinion comme une autre, alors il faut cesser de la subsidier. La Confédération dépense 4 milliards par an pour la recherche et la formation. Si cela ne sert à rien, il faut cesser de le dépenser. Si des spécialistes du climat, dûment payés par nos impôts, inventent des mesures et faussent des calculs, alors il faut les sanctionner. Est-ce cela que les climatosceptiques demandent ?

    J’ai servi un quart de siècle à l’EPFL et je puis assurer que mes collègues travaillent au plus près de leur compétence et de leur conscience. S’ils mettent en garde contre les conséquences graves de la transition climatique, je les écoute avec attention et respect. Je ne me permets pas de considérer qu’ils propagent une hystérie collective. C’est indécent de les accuser à ce point ou de refuser de les écouter.

    1. Votre question est intéressante touche à la base de la plupart des débats actuels sur “l’opinion” scientifique. En théorie, si on applique purement les méthodes de pensée critique aux données mesurées lors d’expériences et d’observations, nous pouvons valider (ou invalider) différentes hypothèses afin d’établir les meilleurs modèles pour expliquer le monde qui nous entoure.
      En pratique, la science est très souvent biaisée. Cependant, être biaisé ne signifie pas qu’on a tort mais qu’il faut prendre en compte les biais dans notre interprétation des données, ou les éliminer au travers de méta-analyses.

      Comment cela se traduit-il lors de débats sur l’interprétation des dites données, comme c’est le cas ici? Dans notre cas, nous devrions accepter le consensus d’une communauté scientifique pour autant qu’elle soit constituée de groupes variés et indépendants, qui ne soient pas tentés d’adopter une opinion commune motivée par un intérêt matériel ou idéologique. Nous devons aussi être prêts à changer notre point de vue si suffisamment de nouvelles données venaient contester l’opinion générale. C’est pourquoi il est vital de continuer à soutenir la recherche et l’éducation afin qu’elle reste fiable et à jour. L’Histoire tend à confirmer ce point, de par le nombre de crises qui auraient pu être évitées si les preneurs de décision avaient écouté les experts au lieu de les ignorer.

      J’ajouterai finalement que, en Suisse, nous avons tendance à considérer le scénario du pire afin de nous y préparer (d’où le nombre hallucinant d’abris souterrains dont nous disposons). Cela nous pousse à accorder plus d’importance aux hypothèse pessimistes telles que le réchauffement climatique: mieux vaut être trop préparé que pas assez!

      En conclusion, n’ayons pas peur d’écouter les experts, et ne prenons pas de risques inutiles.

  7. On pourrait ajouter que c’est très dangereux de prétendre qu’une certaine option politique, et une seule, à l’exclusion des autres, est validée scientifiquement. Bien sûr il faut toujours tenir compte des faits scientifiquement avérés. Mais ici nous assistons à une tentative d’imposer une politique partisane “verte” (pas nécessairement le parti des verts, mais tous les partis sont sommés de se soumettre à la doxa verte) qui prétend que pour sauver la planète il est impératif de passer au plus vite à une véritable gouvernance mondiale, contraignante et coercitive. Donc, sous prétexte de certaines conclusions scientifiques, même valables, on fait un saut dans un autre registre qui n’a plus rien de scientifique mais est en réalité idéologique. On passe à un autre niveau qui consiste à exiger la fin des nations, la fin des souverainetés et un gouvernement mondial. C’est une escroquerie intellectuelle. C’est ça qui est inacceptable.

    Les textes du GIEC (si on les étudie, mais qui a le temps de se livrer à cet exercice?) illustrent mon propos. Il y a deux parties. Une première partie contient des recherches scientifiques, plutôt sérieuses, ne concluant pas formellement et laissant une certaine marge d’appréciation. Jusque là tout va bien. Mais il y a un deuxième rapport, celui-ci destiné aux responsables politiques. Et ce deuxième rapport n’a plus rien de rigoureux scientifiquement. Il va très au delà des conclusions modérées du premier rapport et, par des raisonnements tendancieux, il conclut à la nécessité d’un catalogue de mesures contraignantes, qu’impérativement les gouvernements sont enjoints d’appliquer sous peine de voir la planète flamber. C’est une démarche absolument déshonnête. Par un intense lobbying le pouvoir mondial, relayé par les médias qui appartiennent aux mêmes groupes d’intérêts, diffuse essentiellement les conclusions, hautement contestables du deuxième rapport, qui se démarque substantiellement du ton mesuré du premier. Et en plus on intimide les opinions publiques par des moyens sophistiqués de propagande, pour la contraindre à se soumettre. C’est cette arnaque là qu’il faut dénoncer.

    Et puis souvenons nous: il y a déjà eu dans l’histoire une école de pensée qui s’est parée des plumes du paon de la scientificité. C’était le marxisme. Le communisme se voulait déjà un “matérialisme. scientifique”. La réalité de la vie et l’application pratique du système a prouvé qu’il ne s’agissait que d’une idéologie totalitaire, et délétère, au nom de laquelle on a martyrisé des dizaines de millions de personnes.

    À partir du moment qu’on prétend parler au nom de la “science” on a toujours raison. On a le droit de contraindre le reste du monde. Ceux qui pensent autrement sont excommuniés au nom de la science. C’est une dérive très dangereuse.

  8. Je tiens à rebondir sur les dérives médiatiques et scientifiques évoqués par Trop c’est Trop.

    Dans ce débat fort intéressant, nous sommes tous d’accord qu’une opinion sur ce thème doit se fonder sur les rapports scientifiques dont leur sérieux a été maintes fois prouvé. Par contre, parmi les solutions qui sont proposées, il y a un tri qui se fait pour ne retenir que celles qui correspondent à ses propres convictions.

    J’ai été sidéré de voir la réaction de la “société bien pensante” lorsque l’Agence France-Presse avait republié un graphique (en 2018) paru dans Environmental Research Letters (en 2017), dont son contenu indiquait qu’avoir un enfant en moins réduisait 6 fois plus l’emprunte carbone que toutes les autres mesures réunies (ne plus prendre l’avion, abandonner la voiture, devenir végétalien, …).

    Les valeurs du graphique n’ont pas été remises en question, mais quand on lit l’interview de la démographe et professeur de climatologie Martine Rebetez, l’idée de faire un enfant en moins est simplement balayée car jugée provocatrice. C’est un fait révélateur où lorsque la science devient politiquement impopulaire ou contre les valeurs judéo-chrétiennes, la majorité des scientifiques se murent dans le silence, ou du moins n’osent pas s’affirmer contre l’avis populaire.

    Pour justifier son opinion, Martine Rebetez affirme 2 éléments :
    – il n’y a pas d’explosion démographique en Suisse.
    – quelques millions de personnes dans les pays pauvres n’émettent quasiment pas de gaz à effet de serre comparé à quelques centaines chez nous.
    Et de conclure qu’il vaut mieux faire des enfants et être heureux tout en changeant notre mode de vie pour qu’elle soit “plus sobre”.
    (sources : https://www.rts.ch/info/monde/9904610-faire-moins-d-enfants-pour-sauver-la-planete-solution-ou-provocation-.html)

    Donc si ça ce ne sont pas des déclarations 100% idéologiques… et vu qu’il n’y a pas eu d’autre personne du milieu qui s’est exprimé sur le sujet, je partage ma crainte avec Trop c’est Trop sur les menaces de l’idéologie totalitaire.

    1. J’apprécie le ralliement à ma cause de Nicolas Besson, mais je me demande s’il est tout à fait sur le même longueur d’ondes que moi.

      1. Je n’ai pas contesté en soi les théories scientifiques affirmant qu’il existe un certain réchauffement climatique. Je me suis humblement déclaré incompétent pour trancher cette question, mais je constate que les conclusions du GIEC sont fortement contestées par d’autres scientifiques dont certains très éminents.

      2. Je suis sceptique sur la théorie, qu’on nous assène, que ce réchauffement est dû à l’activité humaine.

      3. Je ne suis pas du tout opposé à ce que l’on change peu à peu nos modes de vie pour diminuer la pollution et la production excessive de CO2.

      4. Je considère la campagne actuelle d’affollement programmé des masses et de viol des consciences par la propagande comme une opération politique menée par des mercenaires utilisant des techniques de manipulation post modernes et on constate qu’ils sont suivis par une masse immense de décérébrés moutons de Panurge.

      5. Je suis convaincu que cette opération a été déclenchée par le pouvoir profond dans le but de briser le salutaire réveil des peuples qui, tels les gilets jaunes en France et les partis dit ”populistes” dans tous les pays européens, veulent se débarrasser de la dictature de l’Union Européenne, de l’immigration et du mondialisme. De cela je n’ai pas les preuves mais j’en mettrais ma main au feu sans hésiter et les techniques d’une organisation comme Extension Rébellion sont en elles mêmes une confirmation suffisante, pour tout observateur lucide un peu au courant de la guerre psychologique menée actuellement par les puissances oligarchiques impériales du nouvel ordre mondial.

      5. Enfin, concernant l’idée évoquée par Nicolas Besson que la solution serait, notamment, de ne plus faire d’enfants, parce que toute personne venant au monde dans les pays développés est un producteur de CO2 en puissance, alors là cela me paraît absurde. En effet le problème le plus grave actuellement et qui doit être résolu en priorité, est celui du changement de population, nos peuples étant remplacés progressivement, en Europe, par d’autres peuples venus d’Afrique et d’ailleurs. Migrations voulues et organisées par les mondialistes à la Soros dont cela fait partie du plan de détruction ethnique des populations européennes. ll s’agit donc de fermer nos frontières et aider ces gens, par une politique de co-développement intelligente, à rester chez eux pour se développer au lieu de venir chez nous où ils n’ont rien à faire. Pour cela il faut aussi maintenir un renouvellement démographique des peuples autochtones par des politiques natalistes comme celle du président Orban en Hongrie. Si nous ne faisons plus d’enfants, le résultat sera que le renouvellement démographique se fera par les enfants de toutes les négresses (j’emploie intentionnellement ce mot par protestation contre les tabous dont nous devons de toute urgence nous libérer) qu’on a laissées s’installer en Europe par mégarde. Et le résultat sera que la Suisse ressemblera au Congo dans une génération. Et vraiment, ce n’est pas ça qui ralentira la fonte des glaciers.

      1. Monsieur Trop…, vous êtes un “nègre” et ce sont des “négresses” qui vous ont permis d’exister, comme tout homo sapiens sapiens.

      2. Cette dernière intervention élucide un mystère : que le populisme ait pour fond de commerce la xénophobie, c’est constitutif de son surgissement, mais pourquoi en arrive-t-il à nier l’évidence de la transition climatique. Quel est le rapport? “Trop c’est trop” m’a éclairé : d’une part il est impossible de gérer l’atmosphère de la planète sans une autorité mondiale devant laquelle devra s’effacer l’indépendance des Nations ; d’autre part cette transition va déclencher des migrations très importantes qui vont effectivement, de gré ou de force, modifier la population de tous les pays. Il y a donc un lien ténu mais existentiel entre la xénophobie et la transition climatique. Les deux attitudes relèvent du déni de réalité. Car, comme le dit Guillemette, les seuls authentiques Homo sapiens sapiens sont les Africains tandis que les Européens sont des bâtards de Sapiens et de Neandertal.

      3. J’aimerais qu’on m’éclaire à propos du “pouvoir profond”… je veux des noms !

  9. Ce débat que Monsieur Jacques Neirynck a declenché avec son article est en effet très éclairant. Il fait tomber beaucoup de masques. Ici monsieur Neirynck nous dévoile le plan mondialistes en toute clarté, avec une franchise digne d’éloges. Non seulement il s’agit pour les mondialistes de fonder au nom de “l’urgence climatique” une “autorité mondiale”, ce qui confirme mon analyse. Mais en plus il y a la volonté de faire accepter comme inéluctable des migrations massives qui feront que plus jamais l’Europe ne ressemblera à l’Europe.

    Au passage j’apprends que je suis un bâtard de Néanderthal et d’Homo Sapiens et que le métissage des bâtards comme moi avec des races négroïdes purifiera la race Sapiens, car les négroïdes, (d’autres disent congoïdes) sont des Sapiens Sapiens purs.

    Merci professeur Neirynck pour cette tres intéressante information scientifique, que j’ignorais. Mais je ne pousse pas le racisme au point de vouloir augmenter le degré de pureté de la race Sapiens sapiens. Je pense d’ailleurs que si on faisait un sondage on s’apercevrait que la majorité des européens souhaitent rester des bâtards de Néanderthal et de Sapiens.

    1. Monsieur « Trop », j’ai été surpris en bien en lisant les commentaires qui se succèdent dans cette colonne : Un débat positif qui reste dans le sujet, des opinions développées et assez bien exposées, y compris les vôtres. Malheureusement, je déplore qu’autour de cette table ronde où chacun a pu s’exprimer dans un bon climat, les noirs ou « l’idiote Greta Thunberg atteinte du syndrome d’Asperger » ne sentiraient pas à l’aise. Il suffit d’admettre que l’emploi du mot « nègre » ou ses dérivés, dans le contexte d’un débat d’idées, peut être blessant pour une catégorie de ses semblables, et consentir à l’effort de renouveler son vocabulaire. L’énergie que vous investissez dans votre apport positif à ce blog vaudrait bien un petit plus. Votre travail d’analyse laisse apparaître que vous disposez d’un bon Q.I. et n’êtes pas dépourvu de sensibilité. Sachez que les autistes révèlent parfois ces deux qualités à un niveau qui dépasse de haut la moyenne, leur handicap touche d’autres fonctions qui leur rendent la communication difficile. Ils ne sont pas si loin de vous que vous le pensez. J’espère que ces quelques lignes vous inciterons à mieux accueillir, de manière générale, des personnes qui ont les mêmes besoins que nous pour vivre…

      1. Cher Dominic, vos bonnes paroles me vont droit au coeur. Enfin quelqu’un qui me comprend. Quel bonheur! Mais je dois avouer que vous avez probablement raison. Je suis probablement atteint du syndrôme d’Asperger, comme la charmante Greta Thunberg, et meme plus qu’elle, si ce n’est carrément autiste. Car décidément je suis totalement insensible à l’unanimisme des moutons de Panurge politiquement corrects, mondialistes, réchauffistes, et patati et patata.

        1. Vos capacités de raisonnement vous permettent d’élaborer un discours sur un sujet donné, mais malheureusement vous ne savez pas vivre avec les autres, et cela ne doit pas vous faciliter la vie quand vous souhaitez entrer dans une discussion. Quand bien même certaines de vos opinions peuvent être partagées, vous devez vous sentir très seul, déjà avec des gens de même couleur, même culture ou encore même orientation politique, qui vivent à deux pas de chez vous. Bonne chance à l’étranger, pour vous c’est ici. Ceci est mon dernier commentaire dans ce blog.

    2. Dans ses dernières contributions, Trop c’est Trop exprime sa crainte de voir la population européenne – et celle de la Suisse – radicalement transformée par le déferlement des migrants.
      Nous sommes face à un problème insoluble sous plusieurs aspects:
      1/ une transition douce telle que la mentionne Trop c’est Trop (son point 3) est la seule concevable dans nos sociétés si considérablement dépendantes des énergies fossiles. Elle est toutefois tout aussi considérablement insuffisante pour éviter un réchauffement climatique qui dépassera largement les 2 degrés à la fin du siècle et ultérieurement.
      2/ la population mondiale continue à augmenter, notamment fortement en Afrique. Cela rend entre autre impossible l’accroissement de surfaces forestières pouvant capturer une partie du CO2 que nous émettons.
      3/ un consensus mondial sur un plan visant à réduire à 0 nos émissions de gaz à effet de serre à partir de 2050 est tout simplement impossible: on ne peut obtenir des pays développés qu’ils divisent d’un facteur 10 leur niveau de vie. Attendre des pays en développement dont la population est en croissance constante qu’ils renoncent à construire de nouvelles centrales à charbon dont la durée de vie est d’un demi-siècle est illusoire. Enfin, certains pays – je pense à la Russie – sortiront/aient plutôt gagnants du réchauffement climatique. La mise en place d’un gouvernement mondial semble hautement improbable, sauf à imaginer que les États-Unis, la Chine, la Russie, les pays musulmans puissent s’entendre sur un tel objectif.
      4/ est-il matériellement possible pour l’Europe d’éviter de se faire submerger à terme par l’afflux de dizaines de millions de réfugiés climatiques ? Voudrons-nous vivre dans une société qui élimine chaque année des centaines de milliers d’êtres humains se présentant à ses frontières ? Par le recours à des drônes pilotés par intelligence artificielle ? Je suis désolé de dépeindre une situation apocalyptique et parfaitement politiquement incorrecte.
      Il apparaît que la seule manière de préserver l’identité raciale ou culturelle chère à Trop c’est Trop serait de se mobiliser avec une intensité inimaginable contre le réchauffement climatique.
      Après avoir pris connaissance des considérations chiffrées telles qu’exposées par un Jean-Marc Jancovici, par exemple, et m’être convaincu de l’impossibilité de modifier significativement la trajectoire empruntée par nos sociétés depuis le 19ème siècle, ma conclusion est que l’Humanité se dirige inéluctablement vers l’effondrement, avec pour conséquences une population mondiale divisée par 2 ou 3, un volume de souffrances au niveau planétaire totalement gigantesque, un retour à une organisation de type moyenâgeuse, la disparition de l’Europe (et de la Suisse bien entendu). Encore pour Trop c’est Trop, dans ces circonstances, peut-on faire autrement que de renoncer à procréer ?

      1. @Jean-Pierre Schnyder

        Un petit conseil, cher Monsieur: renseignez vous pour savoir combien de morts ont causé les guerres inutiles pour la “démocratie” voulues par les grandes consciences qui maintenant veulent nous imposer un gouvernement mondial au nom du “climat”, guerres qui ont déclenchées sans respecter le droit international en Irak, en Afghanistan, en Libye, etc. et qui ont dévasté ces pays.

        Ce sont des millions de vies humaines qui ont été sacrifiées d’un coeur léger, pour la bonne cause, au moyen de manipulations médiatiques et de mensonges comme ceux qu’on nous sert maintenant sur le climat. Des millions de vies humaines, et ce sont ces guerres qui ont eu pour conséquence (voulue!) le déferlement des migrants en Europe.

        Alors voyez-vous, je pense que pour sauver les vies des populations européennes et pour éviter les guerres raciales qui ensanglanteront notre continent dans quelques années si on laisse venir tous ces gens, on n’aura pas besoin de sacrifier autant de vies humaines que dans ces guerres pour la démocratie.

  10. Il y a dans les principes qui régissent l’Union Européenne un très judicieux concept qui est celui de “subsidiarité”. Selon ce principe, le pouvoir de décision doit être exercé au niveau où il se révèle le plus efficace. Certains problèmes n’ont clairement que des implications purement locales et peuvent/doivent donc être traités à ce niveau; d’autres ont une dimension nationale et il faut les aborder à ce niveau; pour d’autres, c’est le niveau continental qui s’impose et pour d’autres encore, et le dérèglement climatique en fait incontestablement partie, le niveau est mondial. Est-ce si difficile à comprendre et admettre? Il n’y a aucun “complot” ou “plan machiavélique” là-derrière; c’est de la pure parano de le croire ou vouloir le faire croire.
    D’ailleurs, où les “nationo-populistes”, anti-mondialistes, etc., mettent-ils alors la limite de la “fragmentation” des responsabilités politiques? Au niveau des nations actuelles (qui ont d’ailleurs pas mal évolué/changé au cours des siècles)? Mais pourquoi serait-il plus acceptable de remettre une partie des responsabilités/pouvoirs “à Berne” (particulièrement pour les Vaudois, qui ont été longtemps sous le “joug” bernois :-)!), plutôt, dans certains cas où cela se justifie, qu’ “ä Bruxelles” p.ex.? Et on pourrait aussi appliquer le “raisonnement” à l’échelon inférieur. Personnellement, je me sens complètement vaudois (et même un peu bernois par les origines de ma famille) ET suisse ET européen (mon héritage culturel, linguistique et religieux), et par ailleurs je suis pleinement membre de LA (unique) race humaine. Je n’ai pas à, et ne veux pas, dissocier mes loyautés.

  11. Je viens de visionner une courte vidéo de 10 minutes qui décrit de manière très convaincante pourquoi l’Humanité est incapabls de modifier sa trajectoire qui la conduit à l’effondrement. Je vous recommande vivement de prendre connaissance de cette information qui ne fait qu’exprimer ce que noos savons tous, de manière plus ou moins consciente.
    https://youtu.be/r6ezBMIny3Y

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