Dessine-moi un lièvre (et un aviateur)

Au rayon “roman noir”, les femmes de lettre romandes se comptent sur les doigts d’une main gantée. Mais les rares aventurières qui se risquent à tremper leur plume dans l’encre noire le font avec un tel talent qu’on ne doute pas qu’elles donneront vite envie à d’autres d’explorer les humaines ténèbres (c’est pas pour rien que ténèbres s’écrit au féminin pluriel, crénom de tonnerre!). Je salue, ici, le travail de Marie-Christine Horn: et j’ai reçu “Le cri du lièvre”, son dernier roman, comme un uppercut. (suite…)

Lire la suite