Ni pour, ni contre, bien au contraire

Je conseille à celles et ceux qui jugent inutile l’apprentissage du latin et du grec d’aller faire un tour sur les réseaux sociaux. Chaque jour, on y constate que connaître les origines des mots éviterait (peut-être) une ribambelle de commentaires oiseux. J’en veux pour illustration ce commentaire d’un utilisateur de Facebook: “Ceux qui votent non ne sont pas forcément homophobes. Faut arrêter l’étiquetage de ceux qui sont contre l’homosexualité”. En passant, je remercie le journaliste David Lemos d’avoir signalé cette perle sur son compte Twitter.

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