Le formulaire de traçage du Covid, est-il rempli en toute honnêteté? La question mérite d’être posée

Après avoir effectué un test de dépistage du COVID-19 et en attendant les résultats – en général dans les 24 heures –, il faut se préparer à noter les noms et coordonnées de toutes les personnes avec qui vous avez été en contact à moins de 2 mètres pendant plus de 15 minutes, dans les 48h avant le début de vos symptômes et jusqu’à aujourd’hui.

Sachant qu’en livrant leurs identités (en cas de résultat positif), elles seront contactées par le service du Médecin Cantonal qui leur demandera de respecter les mesures d’isolement pour ne pas infecter leur entourage. Ainsi il est probable que vos amis, collègues et connaissances, devant se confiner à nouveau à cause de vous, vous en tiendrons rigueur.

Alors pour éviter ces désagréments et de mettre tout ce monde dans l’embarras, il est fort à parier que tous les formulaires ne sont pas remplis avec la même justesse.

Le livreur qui ne donne pas le nom du chauffeur pour ne pas le pénaliser, l’employée qui se garde bien de dévoiler l’identité d’une collaboratrice dont le poste de travail jouxte le sien par peur de se faire renvoyer sont des exemples entendus autour de moi, mais aussi les cas de conscience comme pour ce club de sport qui aurait dû fermer si, lors de la soirée d’accueil des nouveaux membres, l’un des participants avait été testé positif plutôt que négatif, ou encore l’indépendant qui demande de surtout ne pas le dénoncer au cas où, car s’il devait à nouveau fermer boutique, ce serait pour toujours.

Tout en sachant que les conséquences seront difficiles à gérer, il faut néanmoins remplir le formulaire honnêtement, sans omissions. Et aux entreprises de donner des directives claires à l’interne pour que les employés ne craignent pas de perdre leur travail. Le traçage est l’une des mesures clés pour freiner la propagation du virus et si nous ne tirons pas tous à la même corde pour le bien commun, nous aurons du mal à le contenir.

Emily Turrettini

De nationalité américaine et suisse, Emily Turrettini publie une revue de presse sur l'actualité Internet depuis 1996 et se passionne pour les nouvelles tendances.

12 réponses à “Le formulaire de traçage du Covid, est-il rempli en toute honnêteté? La question mérite d’être posée

  1. J’ai déjà eu le covid et je suis guéri. Donc je ne peux plus attraper cette maladie ni la transmettre. Je suis immunisé. Mais même si je ne l’étais pas, jamais de la vie je n’irais moucharder dans un formulaire pour nuire à autrui. Car cette épidemie est terminée en Europe. Il n’y a pas de 2ème vague. Il n’y a plus du tout de mortalité. Ce n’est plus qu’une grippe saisonnière. C’est fini, f. i. fi ! n. i. ni !

    Le pouvoir en place entretient la peur pour imposer la vaccination obligatoire. On nous impose le masque pour nous habituer à être soumis comme des zombies. Ne nous laissons pas réduire à l’état de cobayes par le lobby Pharma et le gouvernement qui lui est soumis. Refusons le traçage qui est un mensonge de Big Brother pour nous déshumaniser et nous contrôlér comme du bétail. Refusons les mensonges du pouvoir et de Big Pharma. Refusons les vaccins dangereux

    1. Vous en êtes guéri? Tant mieux pour vous, et alors? Que croyez-vous prouver? 80 % des personnes infectées en guérissent, et même mieux que de la grippe saisonnière, paraît-il. Oulbiez-vous les 20 % restants? Madame Turrettini a donc tout à fait raison.

      Better rat than dead, no?

  2. Je n’oublie pas les 20% restants, mais si dans l’ensemble la mortalité n’est pas plus forte que celle de la grippe saisonnière, alors c’est un abus de pouvoir injustifiable de continuer à entretenir la peur et infliger toutes ces brimades et restrictions aux citoyens. Ou alors, c’est qu’il faudrait instaurer le couvre feu, suspendre les libertés individuelles, tracer tout le monde, mettre l’économie à l’arrêt et imposer le port d’un masque aussi en cas de grippe saisonnière.

    C’est un devoir civique de résister à tous ces abus de pouvoir.

    Regardez, au Québec ils ont le courage de faire des manifs pour leurs libertés. Çe ne sont pas des moutons comme en Suisse.

    https://m.youtube.com/watch?v=SJErTMf1z18

    1. Le confinement strict de mars et avril derniers a permis de ramener la courbe des infections et de la mortalité presque à zéro. Nous en avons toutes et tous payé le prix. Parmi ses résultats plus spectaculaires, en conséquence du “grounding” quasi généralisé des flottes aériennes et de la réduction du trafic routier, en quelques semaines l’air est redevenu respirable et, à part ces jours derniers où la température n’a guère dépassé les normes saisonnières, le thermomètre n’a pas atteint les vingt-six degrés dans la région lémanique. On se serait presque cru revenus à une vie normale. Or, ne nous promettait-on pas un été encore plus torride que celui de l’an dernier?

      Mais depuis le déconfinement partiel et le relâchement qu’il entraîne, la courbe des infections et des décès ne cesse d’augmenter et fait craindre en Europe et ailleurs une deuxième vague. Si le confinement a provoqué des drames certains, n’a-t-il pas aussi ouvert des possibilités insoupçonnées pour bien d’autres et, oui, de nouveaux espaces de liberté? En viendriez-vous à nous le faire regretter?

      1. Evidemment que je regrette ce qui s’est passé.

        C’était un désastre:

        -On a proclamé l’état d’urgence, c’est à dire la dictature
        -On a suspendu toutes les libertés individuelles
        -On a ruiné l’économie et les finances publiques

        Et tout ça pourquoi? Pour rien. En effet, nous savons qu’il existait un médicament dont l’efficacité est prouvée: l’hydroxychloroquine. Il fallait laisser les médecins soigner avec ce médicament et ne mettre en quarantaine, exclusivement que les malades. Ainsi on aurait évité une catastrophe dont nous allons devoir payer le prix pendant des générations.
        Et pourquoi on a interdit aux médecins de soigner les patients?

        Eh bien c’est très cimple: car notre gouvernement est aux ordres du lobby pharmaceutique qui veut pouvoir sortir des médicaments très chers et des vaccins, très chers aussi. L’hydoxychloroquine ne coûte que 1.5 frs. Donc l’industrie pharma ne veut pas de ce médicament car avec ce médicament elle ne fait pas de bénéfices. Elle nous prépare des médicaments qui coûteront des centaines de francs. Leur efficacité n’est pas prouvée. Leurs effets secondaires ne sont pas encore connus. Tandis que l’hydroxychloroquine est connue depuis 80 ans et on connaît tous ses effets secondaires. On sait qu’elle est sans danger.

        Un pays africain comme le Mali de 19 millions d’habitants n’a eu qu’environ 100 morts du Covid. La Suisse qui a 8 millions d’habitants en a eu plus que 2’000. Pourquoi? Le Mali a de la chance: il n’a pas d’industrie pharmaceutique pour lui interdire, comme en Suisse, de soigner les gens. En plus au Mali tout le monde a l’habitude de la chloroquine, qui est utilisée couramment pour traiter le paludisme. Donc, les autorités sanitaires maliennes ont traité tout le monde avec la chloroquine et ils n’ont quasiment pas eu d’épidémie.

        On aurait pu, et du faire la même chose chez nous qu’au Mali, comme l’avait préconisé le Dr Raoult, spécialiste mondialement connu. On aurait pu éviter 2000 morts inutiles. En France 25000 personnes sont mortes pour rien, comme l’a dit le prof Peronne.

        Toute cette affaires est un des plus grands scandales de l’époque moderne. On espère que les coupables seront jugés et condamnés selon l’art 128 du code pénal qui punit la mise en danger de la vie d’autrui.

  3. En plus bien entendu, il n’y a pas de 2ème vague. L’épidémie est finie. Il n’y a plus de mortalité. Les gouvernements mentent pour entretenir la peur et laisser le temps à la pharma de sortir des médicaments, qui seront payés avec nos impôts et nos primes d’assurances maladie. C’est tout. Les masques ne servent à rien et peuvent même être dangereux car ils concentrent les particules fines aérosol derrière le masque alors qu’il faudrait justement faire le contraire. En fait ces masques qu’on nous imposent ne servent qu’à entretenir la peur pour les raisons que j’ai expliquées.

    En plus il y a sans doute aussi une expérience de psychologie des foules qui est mise en place pour tester la capacité des gens à se soumettre comme des esclaves à des directives aberrantes. Ca a l’air de marcher. Les gens se soumettent. Après on leur imposera des vaccinations obligatoires, puis on les pucera.

    Mais pas moi. Jamais je ne les laisserai me vacciner. Only on my dead body!

    Je ne comprends comment vous pouvez vous enthousiasmer de ce désastre M. Renland. Je pense que vous êtes retraité ou vous n’avez pas besoin de travailler. Vous n’êtes aps touché par les conséquences épouvantables de confinement criminel. Vous en parlez donc à votre aise.

    Regardez svp cette vidéo. J’espère que cela vous ouvrira les yeux.

    1. “En plus bien entendu, il n’y a pas de 2ème vague.”

      Vraiment?

      “Singapour subit de plein fouet une deuxième vague” – Le Temps, 20 avril 2020 (https://www.letemps.ch/monde/singapour-subit-plein-fouet-seconde-vague-covid19)

      “Une deuxième vague de confinements traverse le monde” – Le Devoir (Montréal), 14 juillet 2020 (https://www.ledevoir.com/monde/582384/covid-19-trop-de-pays-prennent-la-mauvaise-direction-dit-l-oms).

      “L’épidémie est finie”, dites-vous encore. Ah, bon?

      Le Temps: “Le directeur des CDC aux Etats-Unis prédit qu’une seconde vague de Covid-19 l’hiver prochain pourrait être pire que la première…”

      Suerie Moon (Codirectrice du Global Health Centre à l’Institut de hautes études internationales et du développement à Genève): “C’est une vraie inquiétude. La plupart des pays n’ont pas les capacités suffisantes de dépistage, ni le système de surveillance et les équipes en place pour vraiment tracer le virus en temps réel. Ce qui jouera un rôle majeur, c’est la manière dont les gouvernements lèveront les mesures de confinement. S’ils le font progressivement, avec un contrôle efficace, cela peut bien marcher. La Suisse, à ce titre, peut être fière de la politique menée. Aux Etats-Unis en revanche, la remise en question du confinement par certains citoyens pourrait accélérer la pandémie. Tout est une question de confiance dans les autorités. Si elle est là, le public suit. Sans cela, c’est très compliqué.”

      («Une seconde vague de Covid-19? Nombre de pays ne seront toujours pas prêts» – Le Temps du 22 avril 2020).

      Les auteurs de ces propos sont-ils tous des manipulateurs et des complotistes? Au moins citent-ils leurs sources, ce que, fait remarquable, vous ne faites pas. N’est-on alors pas en droit de se demander quelles sont vos compétences en épidémiologie, en virologie ou comme médecin?

      1. Il est vain de discuter avec vous D. R. Vous êtes de mauvaise foi. Tout comme ceux que vous citez, qui sont tous des mondialistes solidaires du projet de gouvernement mondial par la terreur des pandémies, et/ou ayant des conflits d’intérêt car représentant l’establishment médico pharmaceutique.

        Evidemment, il n’y a pas de 2ème vague, du moins pas en Europe. Et encore moins en Suisse.

        1. En effet, discuter avec quelqu’un qui se retranche avec héroïsme derrière un pseudo pour débiter avec la régularité d’un plan quinquennal des inanités qu’il est à l’évidence incapable de justifier est une inutile perte de temps. Je cesse donc de vous répondre, vous laissant à vos tristes élucubrations complotistes.

  4. La méthode coué a ses limites. Répéter à l’envie qu’il n’y aura pas de deuxième (et souhaitons seconde) vague ne va pas l’empêcher de déferler. Ceux qui disent que la maladie est devenue moins agressive en comparant le nonbre de cas (qui augmente) avec le nombre de décès (relativement stable et bas en Suisse) oublient que la courbe des décès a deux semaines de retard environ car c’est le délai qu’il faut à la maladie pour vaincre…

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